Forum de FilmDeCulte

Béatrice Hunsdorfer, femme abandonnée et mère de deux filles, tente de rompre la routine en faisant des rencontres qui sont toujours de courte durée.

Une curiosité réalisée par l'acteur avec sa femme dans le rôle titre, Joanne Woodward, qui incarne une veuve qui vampirise la vie de ses deux filles (une surdouée blonde renfermée, une brunette à l'âge du flirt) et vivote avec l'argent de vieux en fin de vie qu'on lui refourgue dans une chambre qu'elle sous-loue. Le début est assez poussif (Newman est assez nullard dans la mise en scène, mais bon directeur d'acteurs, comme souvent) mais le résultat assez emballant avec une vraie noirceur à la Robert Aldrich, un démontage en règle des rapports familiaux et le portrait sous acide d'une femme qui a tout raté et qui pourrit l'existence des autres avec sa rancoeur.

Ca ressort début Septembre.

4/6

carte ugc acceptée ou pas?

oui c'est accepté.

Ce crevard gagne 3000 euros par mois

T'es loin du compte.

plus les stock options et les primes diversité Handicap International

Pour moi c'est 6/6. Une pure merveille. J'en reparle la semaine prochaine.

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Ok. Priorité numéro 1.

Tu avais vu "Rachel Rachel" ? 6/6 aussi, mais j'avais associé ça à un coup d'éclat isolé... en fait c'est vraiment un grand cinéaste.

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Rien vu de Newman cinéaste.

Je savais même pas qu'il avait fait des films.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Génial !

Entre classicisme et modernité, Paul Newman opère un troublant croisement entre les grands mélodrames américains et un style plus sec, d'une sobrieté qui fait naître une certaine étrangeté... A la fois cruel et serein, ce beau film angoissé dresse le portrait d'une femme névrosée, où la sublime performance de Joanne Woodward évoque Barbara Loden et Gena Rowlands.



6/6

Zell Potts, la fille de Paul Newman.


Roberta Wallach, la fille d'Eli Wallach.

Elles sont très bien toutes les deux.

Elle m'a fait penser à la meuf dans A SWEDISH LOVE STORY. En un chouilla moins bandante.

J'ai pleuré.

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