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J'ai pas trouvé de topic sur le film.



Véronique et Weronica sont nées le même jour, se ressemblent comme des jumelles et se croisent un jour à Cracovie...

Le film est très difficile à appréhender. Car d'une très grande ambition dans le propos et formellement assez complexe à déchiffrer.

Il est ici question de quête, de soi d'une part (il ne sera question dans le film que du ressenti de Véronique, de son sentiment de ne pas être seule) et de l'autre d'autre part (que ce soit ce "double" ou la quête de l'être aimé). Le film sur cette ambivalence constamment en multipliant régulièrement réflexions dans des vitres, des miroirs ou des difformations à travers divers appareils optiques (la boule en verre, l'appareil photo...)

Formellement, c'est d'une très grande minutie et d'une très grande classe. Comme dit plus haut, tout ce qui implique les reflets est splendide, mais la lumière verte/jaune apporte un halo autour du film, une ambiance en décalage appuyée par cette musique entêtante qui ne cessera de retentir pendant tout le film. J'ai très souvent pensé à Lynch. Il y a des parallèles évidents (il me semble) entre ce film et des Lost Highway/Twin Peaks.

Irène Jacob est excellente. Et elle a probablement les plus beaux seins du monde.

Je crois que j'ai aimé...

Vu ce soir, et même avis. Film assez trippant (la musique de Preisner, là, c'est grand), photo et mise en image d'une beauté à se reposer les yeux après.

Et oui, Irène...Ah putain Irène!!!

Après, le film est plutôt ombrageux et je rentre pas toujours à fond dedans. Mais je pense que ça va avec le principe du film, un jeu de piste à multiples ouvertures.

J'ai en fait un peu l'impression que le cinéaste refait le même film que ses précédents, mais en le rendant un peu moins hermétique au grand public. J'ai toujours eu un doute sur ce film, en fait. Je ne sais pas trop quelle note mettre.

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Que lire cet été ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

J'en met pas...J'ai pas vu beaucoup de Kieslowski (le décalogue, bleu et blanc, et c'est tout). Rouge est déjà programmé, dès qu'il revient à la bib.

J'ai revu le film probablement 3 fois après cet avis en bois. Et j'aime de plus en plus. Probablement parce que j'ai vécu le sentiment que Véronique ressent lorsque Weronika meurt.

Voila voila...

zzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Un chouïa déçu lors de sa découverte alors que j'adore Kieslowski. Ca reste un film superbe mais il m'a manqué un truc. Mais il faut que je le revois.

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CroqAnimement votre

Perso j'adore, une des grandes découvertes de ma vie cinéphile et puis un film qui se passe à Clermont dans l'appart d'une de mes ex, ça fait toujours quelque chose

Quoi quoi quoi ?? Tourné DANS l'appart ?

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Oui. L'appart dans lequel dort Irène Jacob. C'était avant moi, ceci dit.

Oui oui à moins que t'ai eu une vie sexuelle trépidante à 9 ans quoi...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'adore. Comptez pas sur moi pour tenter d'expliquer quoi que ce soit, je trouve ça magique, c'est tout. C'est le genre de trucs qui me mettent dans un état second. Je passe tout le film les yeux écarquillés, je reste muet pendant un bon quart d'heure après le générique de fin... et même plus tard je suis incapable d'en parler.

Je ne l'avais pas revu depuis une vingtaine d'années donc c'était une vraie redécouverte. Rien à dire de spécial à dire dessus, hormis louer la lumière à tomber de Slawomir Idziak, la délicatesse floutée, sensible et diffractée de l'ensemble. Après je préfère la première partie, plus fragile et aérée, que la deuxième, davantage scénarisée et enfermée, avec notamment ce personnage de marionnettiste joué par Philippe Volter qui n'est pas très attirant. Mais sinon ça reste assez bluffant, à la fois ésotérique et très en contact avec ses émotions.

Mais en fait si j'écris ce message c'est surtout parce que je suis tombé des nues en voyant que le premier amant français de Véronique était... un Guillaume de Tonquédec tout jeune avec son corps de lâche

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et quelle BO de dingue! Et les seins d’Irene Jacob quoi!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"