Forum de FilmDeCulte

Et bah c'est de la merde aussi hein...putain, les films de plateforme rattrapés durant ce confinement, décidément...

En gros, ça se voudrait être Hypertension de Neveldine & Taylor, un ride énergique et transgressif influencé par le jeu vidéo, mais c'est pire qu'Ultimate Game de Neveldine & Taylor, une pseudo-satire dystopique caricaturant le medium susmentionné.

La caricature se croit punk mais se vautre dans la grossièreté, l'érigeant en excuse à un manque total de rigueur (malgré son "handicap", le perso parvient à tout faire, ne galère jamais avec son portable) et d'inventivité (tout cet abatage d'hémoglobine et pas UNE mort marquante), que ce soit dans l'écriture jamais crédible (les réactions de certains personnages, le fait de présenter un personnage comme une badass qui headshot des pros en une balle à 20 mètres avant de nous la montrer DANS LA SCENE JUSTE APRES incapable de ne serait-ce que TOUCHER un amateur alors qu'elle le mitraille à 3 mètres de lui...et ce même amateur qui ne sait pas viser tout le film et devient soudain John Wick dans le climax) ou dans la mise en scène d'ado avec ses ralentis de puceau et sa caméra bourrée (lol venez je tourne la caméra à l'envers en avançant).

"Mais c'est pas un film qui se prend au sérieeeuuuux" sera l'argument-parade débile avancé par ceux qui ont aimé pour justifier la paresse totale du scénario.

Parce que c'est vraiment de paresse qu'il s'agit. Cf. la scène où "notre héros", le faible petit programmeur, se retrouve face à son persécuteur de patron, seulement maintenant il est à bout de nerfs et armés et comment la séquence n'en fait...rien. Dans Wanted, qui n'est pas non plus un film que j'érigerais en modèle mais qui adoptait le même parti-pris décomplexé et un personnage similaire de pion devenant "viril", la confrontation du protagoniste avec son connard de collègue ne se limitait pas à le braquer et l'enguirlander avec un monologue didactique avant de s'excuser.

Et c'est évidemment plus creux que le pire épisode de Black Mirror.

J'ai pouffé de rire quelques fois et Radcliffe m'est toujours sympathique mais c'est 1h37 de rien.

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Pas envie de débattre, mais j'ai trouvé ça divertissant, avec la fâcheuse impression que le mec a manqué de budget pour se lâcher complètement (les scènes d'action sont de plus en plus répétitives et de moins en moins créatives, jusqu'à la dernière qui devient super naze).
Mais sinon je me suis pas ennuyé et j'ai ri plusieurs fois. La zique est bien, la lumière est splendide. Voilà voilà.

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Netflix les gars, Netflix.

Et à lui on lui dit rien...

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Il a dit "pas envie de débattre" aka "he sais que j'ai tort" alors je l'ai épargné.

PS : ses goûts alternatifs sont connus depuis longtemps.

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J'appelle même plus ça des goûts.

Ce troll éhonté.

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Voilà exactement pourquoi j'ai écrit ça, merci de confirmer qu'on ne peut pas parler sur ce forum si on a pas les mêmes goûts que toi (pardon, si on a "tort" et que tu as "raison"). C'est d'un lassant......

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Netflix les gars, Netflix.

Parce que tu es toi-même un modèle d'ouverture?

Lol.
Je suis super fermé mais je crois que je n'assène pas sans cesse ce côté "j'ai raison / vous avez tort"...

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Netflix les gars, Netflix.

Faut saisir le second degré lä...

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Tu m'as donné envie de le voir Cow-boy

Paye ton second degré quand c'est constant. J'aurai presque pu faire un jeu de lettres comme le tien tellement ton "il a tort" finit par être prévisible...

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Netflix les gars, Netflix.

Prends-en toi à Mass.

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#TeamCowBoy.

Le trip est sympa et barré dans la première heure rappelant le grand n'importe quoi de certains films asiatiques. Quelques bonnes idées dans la mise en scènes sous stéroïdes. On ne s'ennuit guère mais ça faiblit dans cette dernière demie-heure où on décroche.

3/6

C’est chaud.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique