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Pas plus d'un film par réal :
L'Homme qui rétrécit
Une espèce de film idéal des années 50, dont je rêve de voir un jour un remake réussi tant le potentiel est là. J'admire la concision, la brieveté du récit. J'aime aussi ce postulat très 50's (la peur de l'atome) qui n'est plus expliqué que ça et sa représentation (le nuage pailleté). Enfin, comment ne pas citer les effets-spéciaux... Remersion La Dernière séance.
2001 l'odyssée de l'espace
Pas grand chose à dire. Découverte sur un écran minuscule à 12 ans. Je ne comprends pas grand chose mais je suis fasciné, sans doute un peu conditionné par les magazines et livres que j'avais déjà lus sur le sujet. Lecture du roman, inombrables visions, je reste toujours aurant sous le choc devant ce qui est aujourd'hui, à égalité avec un autre (je n'arrive pas à les départager), mon film préféré.
La Planète des singes
Là où 2001 me berce, celui-là, sorti il me semble la même année, me troue le cul. Il n'y a pas une scène dont je me lasse. Rien que celle où Heston parle devant les singes pour la première fois, alors qu'il est emprisonné dans un filet, je la trouve fabuleuse. Et ne parlons pas de la première apparition d'un gorille sur son cheval... Dans ces scènes (et bien d'autres), le film parvient vraiment à nous plonger dans le crâne de ses personnages.
Blade Runner
Un peu comme 2001, qu'en dire ? Là aussi je suis bercé (plus par la version DC 1992 que par celle des années 80).
La Mouche
Un grand film d'horreur, un grand film d'amour, un grand film d'épouvante... Mais aussi, forcément, un grand film de SF puisque tout part de là. Marrant de voir à quel point, formellement, le film clôture une époque dans la carrière du réalisateur.
L'Armée des 12 singes
Loin devant Brazil, dont je reconnais les qualités mais dans lequel je ne suis jamais vraiment entré. Avant tout j'admire la musique. Puis ces allers-retours incessants, cette vision du présent, du futur... Willis dans un de ses meilleurs rôles ?
Soleil vert
J'ai hésité car c'est ultra lourdingue. Le spectre de la surpopulation est quand même montrée de façon bien kitch, avec ses 40.000.000 de newyorkais qui dorment dans les cages d'escaliers. Mais à l'époque ça restait quand même une petite date, l'un des films qui rebondissaient le mieux sur la vague 2001/Planète des singes, bien meilleur que ses contemporains Rollerball et L'Âge de cristal.
Terminator / Abyss
J'hésitais entre les deux, mais je vais conserver le premier qui me semble finalement plus parfait dans son scénario. Comme je l'avais déjà dit ici, j'adore cette boucle que je trouve admirable et parfaite, quelque soit le morceau que l'on choisisse. Puis imposer un personnage, qui plus est dans un excellent film, c'est fort.
RoboCop
Découverte en salle, jamais remis depuis. Flemme d'écrire plus, là.
Minority Report / Rencontres du troisième type
Des deux, je vais conserver le premier, bien que je ne l'ai toujours pas revu depuis sa sortie cinéma. A mes yeux, plus que Matrix et quelques autres, il représente une sorte de nouveau cinéma, de cinéma du XXIè siècle.
J'ai également hésité pour :
Les Fils de l'homme
THX 1138
Stalker
_________________ Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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pour L'homme qui rétrécit, La planète des singes et Soleil vert. J'ai vu ce dernier en salle à sa sortie et j'en garde un souvenir extraordinaire. Je l'avais oublié. Merci de me le rappeler. 
