Forum de FilmDeCulte

c'est entendu, Jean Charpentier est un gros ringard.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Pas forcément. Autant le plan de la caverne je n'aime pas, autant la maquette du train, par exemple, j'adore. Il ne cherche à aucun moment à faire du beau, et ça ne (me) dérange aucunement.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

De toute façon, à la base, c'est pas moi qui parle de beauté...pour moi le(s) problème(s) du film n'est (ne sont) pas là.

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Je vais m'en sortir par une pirouette : je pense que, comme pour Rollerball par exemple, ce n'est pas un film sur lequel on peut trancher facilement car il fait appel à une grande part de notre subjectivité. J'aime ce rouge, j'aime ce scénario qui part en roue libre, j'aime ce récit à tiroirs, j'aime ces personnages caricaturaux, etc. Des détails, pour moi des qualités, qui peuvent apparaître comme de vrais défauts aux yeux d'autres personnes.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Voilà...moi j'y vois un film assez plat où la structure fait figure de fausse bonne idée et où les persos très superficiels sont interprétés par des gros mauvais, la grossièreté de l'ensemble étant exacerbée par la pauvreté des SFX et par la musique bêtement bourrine.
Je ne sauve que le fond et les maquillages.

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y tue ce film!
vous m"avez donné envie, je m'en vais le revoir de ce pas.

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Non.

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Je poste ma liste avant de lire les 7 pages du topic. Peur de votre néfaste influence...

1974 : Dark star
Pas vu…


1976 : Assaut (Assault on Precinct 13)
5/6 – Un scénario simple mais bien construit, la mise en place des gimmicks de Carpenter (musique lancinante et répétitive, des personnages au passé connu des autres protagonistes mais pas des spectateurs, une mise en scène efficace avec une gestion du temps et de l’espace exemplaire, des personnages qui deviennent iconique, archétypaux mais sans caricature… Et bien sûr, l’influence du western, Hawks…

1978 : Halloween, la nuit des masques (Halloween)
6/6 – Naissance d’un genre, le slasher (pas exactement, mais bon… Massacre à la tronçonneuse, je sais, c’est en 1974…) et une maîtrise du sujet totale.

1980 : Fog (The fog)
Vu il y a trop longtemps. A revoir.

1981 : New York 1997 (Escape from New York)
6/6 – Souffrant de ses effets spéciaux très dépassés, ce film reste un bijou. Un sujet quintessentiel, un rythme qui ne faiblit pas. Pas de graisse. C’est du sec, du violent. Call me Snake !

1982 : The Thing
6/6 – Il fait partie de ma petite « ten list ». Dans son genre, il est parfait et même les effets spéciaux passent encore bien. Encore une fois, une merveille de précision…

1983 : Christine
5/6 – Si mes souvenirs sont bons, il ne fut pas très bien accueilli à sa sortie (mais bon, j’étais ado à l’époque… Pourtant, c’est une excellente adaptation d’un roman de King, une des meilleures avec Stand by me selon mon avis perso qui n’engage que moi).

1984 : Starman
Vu il y a longtemps… J’avais accroché moyen (malgré l'immense Jeff Bridges) mais il faut que je le revoie…

1986 : Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin (Big trouble in Little China)
3/6 - Le film sur lequel je m’endors très régulièrement. Pourtant, l’histoire est fun, les acteurs sont bons mais je ne sais pas. Il m’endort un peu…

1987 : Prince des ténèbres (Prince of darkness)
Pas vu

1988 : Invasion Los Angeles (They live)
4/6 – Le scénario est très sympa (pas mal de thèmes politiques intéressants) ; c’est l’interprétation qui pêche un peu à mon sens… Le personnage principal, ben, c’est pas Russel…


1992 : Les Aventures d'un homme invisible (Memoirs of an invisible man)
Pas vu

1995 : L'Antre de la folie (In the mouth of madness)
5/6 – J’avais adoré ; bien flippant dans mon souvenir mais bon, je l’ai vu à sa sortie. Une seconde vision me ferait du bien.

1995 : Le Village des damnés (Village of the damned)
5/6 – J’avais beaucoup aimé (là aussi, à la sortie). Fidèle au livre. J’ai aussi la première version dont ce film est le remake mais je n’ai pas encore pris le temps de le voir…

1996 : Los Angeles 2013 (Escape from L.A.)
2/6 – Déception ; c’est moins un remake qu’une caricature… Je l’ai trouvé bien lourd Carpenter, sur ce coup…

1998 : Vampires
3/6 – J’aime Carpenter, j’adore Wood mais je n’ai pas accroché… Tout sonne un peu toc… Manque de charisme du vampire en chef… Faudrait que jle revoie

2001 : Ghosts of Mars
5/6 – Je sais bien qu’il n’est pas très aimé mais malgré ses défauts (l’interprétation d’Ice Cube entre autre…), chaque vision me conforte dans l’idée qu’on est dans le cœur du film carpentérien. Le héros bad guy, nihiliste et survivaliste, le lieu clos westernien, la fuite, la fin ouverte…

Ca c'est Los Angeles 2013 et New York 1997 !

Euh... Je sais... Relis la fin de mon post sur Ghost of Mars

C'est justement ça, l'essence du film carpentérien. On retrouve ça aussi avec The Thing, Assaut...

Bon, azuma33 meilleur nouveau direct là !

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N'écoutez pas Film Freak

Ca n'avait rien de méchant.

Mais je ne l'ai pas mal pris du tout. Mais en fait, je ne voyais pas trop le sens de ta phrase car c'était ce que je venais d'exprimer aussi, donc...

J'étais dans le doute. J'ai d'ailleurs honteusement éditer ma première réponse qui était une vanne facile (shame on me and excuse me).

En fait, quand j'ai écris à propos de Ghost of mars, je pensais plus, pour le personnage (mal) joué par Ice Cube au personnage de Napoléon Wilson qui est une sorte de prototype de l'immense Snake Plissken.

Je t'envoie le chèque à quelle adresse ?

Ah bah voilà, il est vieux, il a du pognon !