Forum de FilmDeCulte

défouloir massif

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Un doigt au formatage et au conformisme, c'est toujours utile.

Et ici, le doigt est sublime et transcende la beauté du geste.

bof. Elle risque surtout de lui fermer encore davantage les portes

apparemment il est vraiment parti pour faire merde in new-york, c'est chouette
tfaçons il veut plus bosser en france apparemment

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Rien à voir: Zad, t'as un problème avec les majuscules?

(oui je me fais chier au boulot)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Merde in Los Angeles, je crois non ?

C'est triste comme titre.

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ouais faut combiner deux touches c'est fatigant

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Bon j'sais pas ce que vous avez contre le Joon Ho Bong mais je l'ai trouvé super bien foutu, peut être le plus travaillé visuellement.
Pour moi c'est Gondry qui traine un peu derrière avec son histoire dont je me fout royalement et à laquelle je n'arrive pas à m'interesser.
Puis devant Carax avec son court à l'intensité d'un long. Si il nous pond vraiment son Merde in LA ou NY, jsais plus, ça risque d'être assez énorme.

Donc :
Gondry : 3/6
Carax : 5/6
Bong : 4/6

Tokyo! : 4/6

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Pour moi c'est le plus faible des trois mais largement au niveau des courts de Paris je t'aime...

5 au Gondry
4 au Carax
3 au Bong

4/6 donc

Kimi o ai shiteru

Après Paris, je t'aime et en attendant le film-choral consacré à New York, avec notamment les premiers pas très attendus de Scarlett Johansson derrière la caméra, c'est au tour de la capitale nippone de faire l'objet d'une déclaration d'amour filmique avec trois moyen-métrages réalisés par des pointures du septième art, les Français Michel Gondry et Leos Carax, et enfin le Sud-Coréen Bong Joon-Ho. Un casting de choix pour les cinéphiles, limité en nombre, aussi, qui offre le double-avantage d'éviter l'exercice de la compilation dans lequel sombre parfois ces films à multiples talents et de donner aux cinéastes choisis un temps plus long pour développer leur récit. Le programme tient toutes les promesses de sa carte de visite avec trois visions très différentes mais cohérentes de la société nippone, qui interpellent sur la difficulté de trouver sa place au sein de celle-ci. Petit concentré de poésie réaliste à la fin réjouissante, le segment réalisé par Michel Gondry est le plus réussi. Une nouvelle fois, l'auteur d'Eternal Sunshine of the Spotless Mind excelle dans la description d'un fantastique du quotidien, avec un ton mi-amusé, mi-mélancolique, qui colle à la perfection à l'âme de la cité tokyoïte. Leos Carax, lui, pour son grand retour aux affaires après une longue absence (neuf ans depuis Pola X, imagine un Godzilla SDF français qui fait les gros titres des journaux. Grotesque à souhait, Merde ne tient pas la distance. Bong Joon-Ho, enfin, joue sur du velours avec la rencontre insolite entre un "hikikomori", jeune homme qui reste cloîtré chez lui, et une jeune livreuse de pizza qui s'isole à son tour.

Ah ben ué, par rapport au Gondry en tout cas j'ai trouvé le résultat beaucoup plus propre, le travail sur l'image beaucoup plus fournit. Le court en lui même n'est surement pas parfait, mais j'vois mal comment on peut critiquer l'esthétique.

trouvé ça très fade moi.

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J'ai trouvé ça assez bien dans l'ensemble quand même.

Bon, le cinéma de Gondry continu de ne pas me parler du tout (sauf le passage marquant dont parle Zad, je suis assez d'accord), c'est un peu du nawakisme quand même ce film, mais je vais pas pinailler, j'ai passé un bon moment. Et j'adore l'actrice, Ayako Fujitani.

Le film de Carax est juste génial, voilà, c'est de la bombe. Le premier plan séquence est horriblement beau. Tous les agencement autour de cette mise en scène de la laideur, également. Bref c'est beau.

Bon j'ai pas trouvé le Joon Ho Bong si bidule et neuneu (définition zad ?). Mais bon, après le Carax ca fait drôle en effet. Il y a toutefois des belles choses, mais le film pêche car il est trop court, c'est le plus court des trois. Je m'insurge avec JHB !

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neuneu?
mièvre, bêta, discours surappliqué "oh l'incommunicabilité de notre méchante époque!"

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