Forum de FilmDeCulte

Nietzsche aurait dit "eh bien" car "et bien" n'existe pas.

Friedrich on te salue bien bas.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Alors moi je dis, là, le crime est revendiqué.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Franchement, ta gueule.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Encore une remarque comme ça et je convoque Andrei Zviaguintsev vite fait bien fait!

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Doll, it's a heartbreaking affair

Vas-y qu'on rigole, saleté d'hypocrite.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Putain c'était misérable, ca a autant de gueule qu'un dernier à l'Eurovision (et oui, référence, style, wizz, pourriture teleramesque).

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Tu vas la fermer ta gueule oui ou merde ?

D'une je n'étais pas là, et de deux tout ce que je peux répondre c'est "en quoi est ce condamnable à ce point?". Tu m'emmerdes, je ne vois pas de rapport avec la midinette... Non mais en fait tu m'intimides par ton savoir si monstrueux ansi que ton acuité si impressionnante dans le regard sur le cinéma, tu confonds tout.

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Merde.

Bah t'as fini par répondre. Par contre, c'était pas la peine de perdre ton humour.

Quant à midinette c'est une insulte comme une autre, j'aurais pu dire Noftron ou Marklor.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Hôpital... Charité... Souvenir d'un temps où le forum entier était pourri par les digressions autour de "Florestan"...

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Putain il faut toujours mettre des smileys avec vous. Bon je la refais.



Tu vas la fermer ta gueule oui ou merde ?

D'une je n'étais pas là, et de deux tout ce que je peux répondre c'est "en quoi est ce condamnable à ce point?". Tu m'emmerdes, je ne vois pas de rapport avec la midinette... Non mais en fait tu m'intimides par ton savoir si monstrueux ainsi que ton acuité si impressionnante dans le regard sur le cinéma, tu confonds tout.

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Fermez vos gueules.

Bon il est où cet enculé de russe?

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

On peut modérer un coup là ?

Y a un truc que j'ai pas compris, peut-être suis-je bête : la mère découvre des sortes de sillons sur le parquet des chambres de ses gamins. C'est sensé signifier quelque chose?

Bon sinon, bien aimé le film. La première heure est assez exemplaire, ténue, rigoureuse, intelligente, économe, avec des petits détails qui emportent tout (les mains dans le vide; le verre de bière).
Par contre, à partir de l'apparition du cambrioleur, ça sombre un peu. La partie avec la mère, la cabane, la jetée, etc. est complètement ratée, même si l'évolution "Merde" du père donne lieu à de belles choses.

Ce qui m'a surtout scotché, c'est cet acteur, Teruyuki Kagawa, incroyable de bout en bout, passant de la victime pitoyable au bourreau insupportable, toujours à la lisière de la folie, jouant de son corps comme un acteur burlesque (quand il court, c'est quelque chose).

je sais pas trop quoi dire.
j'ai eu l'impression de voir un grand metteur en scène donner des leçons de cadre et de lumière, des leçons juste monstrueuses, et ceci dès le premier plan, mais sans jamais réussir à m'embarquer dans son film, mais au contraire à m'endormir, à m'ennuyer.

je saurai jamais ce que j'en aurais pensé si je n'avais pas lu le scénario avant.
en tout cas ça confirme ce que j'avais ressenti à la lecture.

rien à dire d'autre, sinon que ça faisait du bien de retourner au ciné après un long temps de break pour se laver les yeux avec de si beaux plans. C'est déjà ça!

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