Forum de FilmDeCulte

Le Blu US n'est pas zoné et a des STA sur les 2 versions.

merci pour l'info

sinon quelqu'un pourrait me donner une adresse por acheter des BR pas trop cher.

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Ouaip, mais justement, pas de stf... même si pour un film de ce genre c'est pas trop grave. (contrairement à Solaris où j'ai carrément regretté l'achat de mon criterion).

M'enfin globalement c'est du foutage de gueule de ne pas mettre ça sur le bluray.

D'autant plus affligeant que le DVD français du même éditeur contient le film en version N&B...

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Why there is so much trouble in this world?

olala comme je m'en veux de l'avoir raté au cinéma celui là ...

Presque parfait à part l'acteur principal qui manque de qque chose .

5,5/6

IL FAUT que des réalisateurs talentueux s'attaquent aux histoires de lovecraft (dexter ward , la couleur tombée du ciel ...) . IL LE FAUT . (bon je sais que del toro a At the Mountains of Madness dans les cartons mais c'est vraiment pas pour tout de suite ...)

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Je suis tellement d'accord avec toi. Je l'ai découvert dans les mêmes conditions en plus, à la maison. Quant aux Montagnes..., c'est mon seul grand regret avec l'implication de Del Toro sur The Hobbit.

Dexter Ward, c'est mon ambition perso... L'adaptation de O'Bannon étant... comment dire? A chier.

J'ai un très bon souvenir de la nouvelle.

Pour le coup, c'est plus un format roman (même si relativement court) qu'une nouvelle, mais qui est excellente et probablement ce qu'il y a de plus "facile" à adapter. D'ailleurs j'ai toujours pensé que Voldemort avait été inspiré par Joseph Curwen. En tout cas ils partagent les mêmes ambitions...

En tout cas pour revenir à The Mist, voilà un film formidable qui n'a de cesse de bien vieillir. Contrairement à Freak et à l'instar de Hal5, oui je pense que c'est classique en devenir.

Je pense aussi. On ne s'en rend pas forcément compte aujourd'hui, car le film est récent et encore peu vu. Mais je le vois bien de plus en plus cité par les spectateurs et les professionnels. Pour moi, le film fait un peu l'effet d'un Hellraiser en 1987 : une petite bombe de 1er degré lâchée au milieu de la médiocrité ambiante.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
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Ca, c'est un truc qui m'agace beaucoup dans les critiques de films d'horreur (pas forcément les tiennes, Cosmo, je parle en général), c'est que le "premier degré" est systématiquement utilisé comme un argument qualitatif, comme s'il expliquait la réussite du film. Je trouve que ça génère un gros malentendu.

Combien de daubes j'ai du subir parce qu'on en disait du bien à cause de leur "premier degré"? Je préfère me retaper les films d'Eli Roth, haïs par beaucoup de geeks à cause de leur "second degré".

"The Mist" est une bombe de mise en scène. Pas de premier degré.

Ce qui est bien c'est que Karlito s'est remis à regarder des films.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Si je simplifiais à l'extrême, je dirai qu'il est quand même plus dur de réussir un film au premier degré qu'au second.

Il est plus dur de faire King Kong (2005) que Le Retour de la Momie.
Il y a plus de risques pris quand tu t'aventures sur un terrain sérieux, fragile (cf. les scènes d'apprivoisement du gorille par Darrow), que quand tu opères dans le registre du second degré, limite de la parodie (on rit de tout).

Après, je dis pas qu'il est facile de réussir un film au second degré (combien de films ont essayé de faire du Scream après l'excellent Scream?) mais je dirai quand même qu'il est plus facile de rire des codes que de les transcender.
Il est plus facile de faire Starsky & Hutch et Charlie's Angels que Miami Vice (je parle des adaptations, évidemment). Des modèles démodés, devenus des blagues, que certains choisissent de parodier, jugeant l'adaptation sérieuse impossible, mais que d'autres essaient d'actualiser en gardant le même ton, sérieux, premier degré.

Moi j'y vois plus de valeur.
Pour moi, c'est un argument qualitatif. Parce qu'il est plus noble d'essayer (et évidemment de réussir) un tel film plutôt que d'opter pour la facilité du second degré.

Et je dis ça en très grand fan de Sommers, de Roth (que je trouve pas si second degré que ça au final, en tout cas il l'est de moins en moins de film en film, il est plus réflexif que second degré pur), etc.

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Tout à fait, mais je ne parle pas ici de qualité, mais bien d'originalité par rapport à son époque de sortie. Après, même au premier degré, The Mist aurait pu être effectivement foiré. Mais il a cet avantage de ne pas l'être (foiré) ET celui d'aller un peu à contre-courant de ce qui se fait actuellement. Comme ont pu l'être, en leur temps, Hellraiser ou L'Antre de la folie, par exemple. Ou, un peu plus récemment, L'Echine du diable.
Ces films font plaisir, et pas seulement parce qu'ils sont réussis. Ils font plaisir aussi parce qu'ils osent et évitent de foutre, par exemple, des grosses bombasses dans chaque plan (je prends vraiment LE stéréotype le plus bateau du cinéma d'horreur).

Pour reprendre l'exemple de Hellraiser, le film est sorti en pleine époque Vendredi 13 6 / Evil Dead 2 / Freddy 3 / Elmer / etc. Indépendamment de la qualité de chacun de ces films, reconnaissons que Hellraiser "faisait plaisir à voir".

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avec 2 ans de retard

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