Forum de FilmDeCulte

Je t'avais pas lu et il s'avère que je pense exactement la même chose. Et si comme moi, tu en as vu beaucoup durant ton adolescence... ça explique peut être notre ressenti.

Ouais enfin j'ai vu Ca, Les Langoliers, et des bouts du Fléau et j'ai jamais pensé à un téléfilm...

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Damn !!! This is wack !!!!

That is wack.

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Clair, moi non plus...... marrant que les deux qui aient pensé ça l'aient vu en Divx........

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Netflix les gars, Netflix.

lol

Nan mais oui, p'têtre... cela dit c'est aussi le côté rythme bizarre et caméra portée qui m'y ont fait penser. Et les SFX cheap. Je m'attendais limite à ce qu'on me balance les publicités quand il y avait un fondu au noir... Mais je le reverrai avec plaisir en noir et blanc. Et peut-être que le vert des insectes passera mieux.

D'ailleurs Qui-Gon, toi qui te posait la question de savoir comment le chef op pouvait à ce point tourner en couleurs et gérer sa photo pour une éventuelle version en N&B, après avoir vu le film, il y a quand même énormément de passages dans le brouillard, où une vision en noir et blanc accentuerait les effets de contrastes. Bref, par rapport à la version couleurs de The Barber par exemple, je trouve qu'ici c'est plus d'à propos de finir en version dichromatique.

C'est pas faux... mais en même temps il y a d'autres films que j'ai découvert en divx et ça ne m'a pas fait cet effet.

Dieu merci ! Sinon j'espère que tu aurais arrété d'en mater

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Netflix les gars, Netflix.

J'ai un peu dormi mais j'ai bien aimé.

Des bons moments de flippe!

Ma maigre contribution.

J'adore la nouvelle de King et force est de constater qu'on est devant une adaptation très efficace et fidèle. Après, forcément comparé à l'écrit, on y perd en force d'évocation. La maison au bord du lac, les persos, la supermarché rescapé des fifties, c'est tout comme on l'imagine, mais ça finit parfois par pécher avec des effets spéciaux qui ne vaudront jamais le pouvoir de l'imagination.

Par exemple certains ont souligné ce plan avec le méga monstre dont la silhouette se détache. King te faisait comprendre qu'il était tellement immense que tout ce qu'ils en voient c'est un énorme bout de patte qui vient se planter juste à côté et qui semble remonter très haut. Là il paraît ridicule.

Ceci dit le film slalome très bien entre les clichés, Marcia Gay Harden, c'est typiquement le personnage capable de te plomber un film mais qui fonctionne ici. D'ailleurs le basculement de cette petite population dans la paranoïa est très bien construit, comment les clans vont se former et s'affronter en toute bonne foi, ça marche bien.
Ensuite les effets gore bienvenus et pas gratuits : le visage de la fille qui gonfle après la piqûre, les araignées qui sortent des cloques purulentes.

Par rapport à la nouvelle deux déceptions sinon :

Et la fin que je préférais, ici ça fait un peu trop gros malin. Mais j'apprécie l'ironie de voir la femme qu'ils avaient abandonné. Pour info la fin originale c'était ça :

Un spectacle honnête et intelligent mais qui reste trop lisse et sage pour m'emballer totalement.

4,5/6

Bon c'est quand même la mini claque pour ma part, je ne m'attendais à rien du tout.
Et j'ai pris mon pied pendant 1h40, une tension des les premiers plans (j'adore l'orage trop classe).
Des que le film se met en route et que la brume vient encercler le supermarché on est en droit à penser : Merde on va nous resortir tous les clichés de serie B, alors que le film les evite pratiquement tous (pratiquement oui car on a quand même le droit à )
Mais sous fond d'apocalypse dicté par une Marcia gay Harden terrifiante, les choses se mettent en place, et la peur prend place, la psychologie des personnages évoluent. La fin est innatendu et absolument dur enfin bref moi j'étais sur le cul du début à la fin.

Et maintenant j'ai envie de le voir en Noir & Blanc.

4.5/6

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Why there is so much trouble in this world?

DVD édition double commandé hier

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Netflix les gars, Netflix.

J'attends le cheque et je fais de même!

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Why there is so much trouble in this world?

J'ai beaucoup aimé, pourtant en y repensant, y a plein de détails, pour un mec monomaniaque comme moi, qui gachent tout.
Tout d'abord, ben ça ressemble beaucoup à de la série B, donc c'est un peu dur pour moi de rentrer dans le film, pas de noms.
Commence la première scène qui me choque par son absurdité : la maison des personnages se fait défoncer par un arbre, ils viennent de vivre une nuit sans doute assez éprouvante moralement et physiquement mais ils sortent au petit matin frais comme des gardons, le sourire aux lèvres, à plaisanter et à se plaindre de la peinture du père détruite par la tempête alors qu'il bossait dessus depuis un mois. Ca coince pour moi d'emblée, mais je ne me focalise pas dessus sinon ça va tout me gacher.
Le film commence enfin avec l'arrivée assez rapide du brouillard, (question pour les anglicistes, pourquoi Mist plutôt que Fog, y a-t-il une différence entre les 2 ?) et la rencontre avec les autres habitants de la ville. Et là, c'est le drâme...
Je me suis, je ne sais pas comment retrouvé embarqué dans cette histoire, à me sentir extrêmement tendu jusqu'à la fin, par des acteurs très bon et leurs rapports entre eux qui se détériorent crescendo.
J'ai aussi été bluffé par les effets spéciaux et par la beauté de certaines scènes :

J'ai trouvé cette scène particulièrement puissante.
J'ai en revanche trouvé le rapport à la religion assez maladroit, j'ai vraiment senti une sorte de rancœur du réal à l'égard de la religion, tant le trait était forcé. Mais j'ai ensuite pensé à mon intégriste de frère, en me disant que lui, dans une situation similaire, pourrait sans doute devenir plus que le catho borderline qu'il est actuellement.
Et puis, il y a l'explication de la présence du brouillard, bon ça fait vraiment genre faut qu'on explique un minimum au spectateur sinon il va pas être content, ben moi franchement, j'aurai préféré ne rien savoir.
La fin m'a bien entendu scotché, mais je suis immédiatement redescendu avec le : ah ben c'est con, à 20 secondes près...
Malgrè tout ces détails, ben le film marche, plutôt très bien même : 4.5/6
Ce film m'aura rappelé la claque prise dans Cube, il y a quelques temps déjà, même si je pense que Mist doit avoir un budget bien plus important, mais en tout cas, ce fut une belle surprise, dont je serai certainement passé à côté sans ce forum.

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On a frôlé la fissure anale...

Hey, ce coup de pute que tu viens de me faire !!

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