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Jack's Jacket

Jack (Adrien Brody) souffre de troubles de la mémoire. Accusé à tort de meurtre, il est incarcéré en 1992 dans un asile pour fous criminels. L'un des psychiatres y expérimente des thérapies barbares basées sur l'isolation sensorielle. Ligoté dans une camisole de force, le patient est enfermé des heures dans un tiroir mortuaire. Mais une chose étrange se produit : Adrien Brody est projeté quinze années dans le futur. Ce n'est pas une hallucination. Pendant qu'il est enfermé dans un tiroir de morgue en 1992, il vit et agit librement en 2007. Il y voit s'accomplir le destin de ceux qu'il aime et de ceux qu'il déteste. Mais il y découvre aussi sa propre tombe et l'année de son décès : 1992. Il ne lui reste que quatre jours à vivre.

Comme dans L'effet papillon et Fréquences interdites, le héros utilise une information recueillie dans le futur pour tenter d'aider ses proches et échapper à un individu nuisible. The Jacket n'est pas écrit avec la même ingéniosité que ces prédécesseurs. De plus, indépendamment de l'artifice du va et vient entre réalités alternées, le récit collectionne les incohérences. Mais la seule chose qui me gène vraiment, c'est l'intrigue émotionnelle qui est pauvrement restituée. Gratitude, complicité, amour, tristesse, tous les temps forts passent assez mal à l'écran, ce qui est un échec majeur dans un tel film.
Tous ces ratés aboutissent ils pour autant à un résultat déplaisant ? Curieusement, non. Le dénuement de la mise en scène (Georges Clooney a produit le film sur son argent de poche de la semaine) et le charisme d'Adrien Brody fonctionnent. Keira Knightley a une belle scène. Pendant une moitié du film, on ne sait pas trop où le réalisateur nous conduit, on échafaude des hypothèses, on est intriguée. C'est un de ces films pas désagréables qui laissent mi figue mi raisin.

3 / 6

PS : je croyais avoir vu un fil The Jacket. Je ne le retrouve plus. Si je l'ai loupé, qu'un modo n'hésite pas à y coller ce post.

Bof.

Je m'attendais à un énorme nanar, mais en fait, ça se laisse voir sans trop de difficultés. Le scenario est pas ultra malin, pas ultra intéressant, juste banal dans le genre. Brody est un énorme acteur, mais il a l'air de s'ennuyer légèrement Keira est assez mauvaise par contre. Elle ne sait que se mordiller la lèvre inférieure... C'est clairement sexe, mais c'est peu.

Le reste est terriblement anecdotique. Comme le film finalement.

Keira Knightley en poivrotte esseulée concourre pour la pire performance de l'année.

en même temps, elle n'a rien à jouer, la pauvre. Quelle imposture, ce film...

Elle est pas terrible mais elle a un role assez pourrave dans un film moyen.

Je pense que Mathilde Seigner dans "Le courage d'aimer" ou Jessica Alba pour l'ensemble de son oeuvre (on attend avec impatience la prestation de ses seins dans Into the blue ) sont largement devant.

Jessica gagne haut-la-main le prix de la scène la plus inutile et putassière pour son strip-tease sur le pont dans Fantastic four.

C'était pourtant sa meilleure scène dans le film.

L'un n'empêche pas l'autre...Quand Jessica jouera à la pochtronne à Oscars, vous aurez des raisons de lui cracher dessus. Je la trouve encore sympatique.

Moi aussi, je l'adore, la Jessica. C'est juste dommage qu'elle sache pas jouer. Mais dans Into the Blue, elle sera parfaite.

Vu The Jacket et j'ai dormi pendant le dernier quart d'heure... Du coup, j'ai du rater les explications finales mais j'ai l'impression que je n'ai pas raté grand-chose... Vraiment bof.

Et oui, Keira joue mal. Mais elle va nous tuer dans Domino.

Il n'y en a pas. Le script voulait juste jongler avec un héros qui améliore son passé avec son futur.

Ok, mais dis-moi juste comment ça finit. Que voulait le perso de Kristofferson? (j'ai cru comprendre qu'il voulait des noms) Et à quoi sert le fils malade de Jennifer Jason Leigh?

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Captain phpBB - kikoo lol mdr !!!!!

Enfin vu ce film que j'attendais beaucoup à l'époque et que j'avais minablement loupé...

Bon, ben c'est pas nul nul, c'est juste moyen. On ne s'ennui jamais, mais c'est pas l'extase non plus.

Par contre y'a quand même de sacrés incohérences temporelles entre ce qu'il se passe en 1992 et ce qui se passe en 2007...

Bref, voilou... un bon film de vendredi soir...

Allez je passe à Kiss Kiss Bang Bang pour le plaisir...

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