Forum de FilmDeCulte

C'est quand même super fréquent...

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j'ai beaucoup aimé. Jason Reitman montre en 3 films qu'il n'a rien à envier à son père. Ce film s'inscrit dans la continuité de Thank You For Smoking avec un personnage de Clooney très similaire à celui de Eckart : cynique, misanthrope, charmeur et sensible... Le scénario est extrêment bien écrit s'attaque cette fois-ci aux conséquences de la crise économique et à la psychologie d'un homme en quête d'un sens à sa vie. Drôle, inventif et très bien interpreté, Ivan peut être fier de son fils.
5/6

Et y en a sur TOUS les films quasiment.

Pas crédité de façon aussi "claire" dans le générique de début.

C'est typique de ce genre de "petite" prod. Et c'est toujours le même genre de son. Et c'est relou.

Très sympa, ça réinvente pas la roue mais c'est une bonne petite prod indé, attachante, cynique, galerie de persos unique, toussa.
Reitman Junior commence à bien affirmer son style derrière la caméra, il va finir par nous pondre un chef d'oeuvre, je le sens.
Vera Fermiga est incroyablement sexy (ce plan de dos, pwaaaah, c'est pas une doublure j'espère), George est comme un poisson dans l'eau, et la jeunette m'insupporte (sa gueule, sa voix, son rôle, sa personnalité).

4+/6

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si...

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Janet

Trop tard, je me suis déjà masturbé en y repensant.

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Incroyablement prévisible. J'ai pas vu ces derniers temps un film qui accumule à ce point les poncifs. Heureusement c'est bien joué et plutôt mignon. 2.5/6

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Voilà, j'avais un peu l'impression de voir le Avatar de la comédie dramatique tendance indé (et comme j'accroche moins à ce genre qu'à celui d'Avatar)...c'est très sympa mais c'est grillé à 100m même si j'aime bien la fin douce-amère.
La mécanique impecc du film dans l'écriture et la mise en scène permet une belle efficacité mais également peu de surprises (je préfère Thank You For Smoking), un peu comme la performance de Clooney, il est parfait pour ce genre de rôles mais la prestation est sans aspérités. Je retiens surtout la jolie révélation Anna Kendrick.

3/6

Pendant longtemps, ce film était favori aux Oscars...alors que dans 2 ans, tout le monde l'aura oublié.

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Pour moi, c'est bon, c'est déjà fait.

Grave.

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Ok c'est tout convenu et chiant, romcom de base sans idée et sans vie, ça vaut 2/6 pour le boulot pro de tout le monde.
Sauf qu'en plus ça se veut un peu politique, ça veut poser un regard sur le monde d'aujourd'hui. Ce regard c'est une certaine tendresse pour le bourreau, qui fait son boulot consciencieusement, avec du coeur, mais qui a le blues. Le film n'ira pas plus loin que ça, la compassion, ne questionnera rien et s'arrêtera à 2 remarques, en gros "c'est un sale boulot mais quelqu'un doit le faire", et "tu sais ce qui compte ? C'est l'amour" Yoplait style.
Au milieu de tout ça, y'a les employés virés, filmés comme un casting de roomates, sans aucune consistance, sans autre but dans ce film que de se faire sentir mal le (la) bourreau, un gadget tire larme (et encore), misère utilitaire et ressort scénaristique bien pratique, avec un suicide bien senti au 3ème acte pour l'épiphanie finale.
Le regard social du film a autant de poids et de morale qu'une pub Ushuaïa.

Du coup 0/6

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Pré Carré

Sans oublier deux points :

- le licenciement est montré comme une façon de rebondir et de réaliser ses rêves de gosse ;
- la différence de vie est montrée du doigt, fortement critiquée. En gros, vivre seul, c'est mal et puéril.

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Ca c'est plutôt illusoire quand même...c'est pas comme si on découvrait à la fin du film que le mec qui avait abandonné ses rêves de cuistot avait fini par ouvrir son resto après s'être fait virer...c'est surtout un échappatoire qui montre la malice du perso de Clooney.


Oui, ça c'est maladroit.

Moi ce que j'ai trouvé très pourri c'est la chanson du générique de fin, ou plutôt le message du mec qui la chante.
"Salut Jason, je m'appelle Kevin. Je me suis faitv virer et j'ai écrit cette chanson parce que je sas plus très bien où j'en suis. J'espère que tu sauras l'utiliser dans le film".
Honteux.

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ça donne presque envie. C'est marrant j'aime bien les deux Reitman, justement car je les trouve plus complexe que ce que l'on en dit réellement.