Je tiens à revenir sur cette phrase que j'ai écrite et qui a été très mal lue. Et probablement très mal écrite aussi.
Je tiens à préciser que CE N'EST PAS comment je vois personnellement la femme (transgenre ou pas). Je mets plutôt le doigt sur les standards dictés par la société sur ce que devrait être une femme "acceptable", ou un homme "acceptable". À la lumière de ce que j'ai lu sur le sujet, et de ce que j'ai observé chez la femme de mon pote, je crois que ce peut être un facteur psychologique important dans le fait de changer de sexe. Car une personne compare ce qu'elle est, au fond d'elle, à une image fortement encouragé par la société. Il y a beaucoup de personnes vivant avec des chromosomes très partagés qui ne changent pas de sexe. Alors, il s'agit d'un choix. Et cette question de la pression sociale doit être pris en compte.
Alors dans ma phrase maladroite, je ne partage aucunement les diktats sociétaires reliés au genre. Être une femme, ou un homme, c'est une question complexe qu'on devrait laisser à la nature elle-même. Je critique ce en quoi est basé la possibilité du choix (la binarité de la chose, femme vs homme), et le manque de naturel de la chose,
Cette fameuse phrase maladroite donc:
"Mon problème, c'est que la science, la médecine, donne maintenant la possibilité de choisir. Et que ce choix illusoire est construit par des standards crées par la société, et n'a rien de naturel. Se sentir femme selon ces standards, c'est soit une question d'orientation sexuelle, ou soit d'ordre esthétique, de pillosité, de musculature. C'est avoir envie de porter une robe."
Désolé pour la confusion