Forum de FilmDeCulte

Euh euh où ? *réactualise sa boîte mail frénétiquement*

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That's done *smiley réjoui*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Bon alors j'apprends là qu'elle porte Chanel n°5 et ça c'est quand même fou.

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Et puis surtout que Marlon aussi quoi



(oui on va pas faire les cocos à parler d'un truc genre c'est privé mais c'est sur le forum mais pas vraiment)

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Doll, it's a heartbreaking affair

Wow. Alors, ce court, je pourrais trouver ça où?

Ben il est dans la section Foire aux Messages

Mais bon, c'est paaaaaaaaas extra hein?

Lol, je viens de voir ça (les 2 versions d'ailleurs) J'ai pas pigé toutes les répliques mais ça avait l'air sympatoche. Et en effet, big UP pour Bliss avec son gros cock, le plan qui déchire tout !

* bon, je ferme la parenthèse H-S *

Au fait, pourquoi le titre "Red Eye"?

C'est l'expression pour "vol de nuit".

*ah ce deug lointain n'est pas si inutile*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Bon merci quand même hein, sympa...

En fait, je me disais que toi, t'avais pas le pire...

Tu veux parler du "mo-no-logue" ?

Oui entre autre, enfin tous les dialogues quoi...

Un mot : Rachel !

elle tue voilà... bon sinon ça se laisse voir, c'est divertissant sans plus. Sinon Murphy a vraiment une tête hypnotisante il est parfait pour les roles de psychopathe dans ce genre là ou comme celui qu'il joue dans batman.

bon ben un petit Craven sympa qui transforme la toute aussi sympa Rachel McAdams (qui je trouve pourrait jouer la petite soeur de Jennifer Garner) en Nancy (Freddy) et Sydney (Scream), on retrouve les mêmes schémas : relations père-fille distantes, agresseur-intrus domestique, la fille qui court se réfugier dans sa chambre puis se défend activement... moi j'aime bien, 4/6

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Janet

rattrapage pas franchement utile. Bon, c'est clairement meilleur que flightplan, parce que moins prétentieux (pas de message moralisateur chez Wes, pas de gras...) et surtout moins chiant.

Mais l'argument narratif reste gravement débile et jamais crédible. N'empêche, on sent que tout a été fait pour que cette histoire globalement inutile et super-finoche soit racontée au mieux. Du coup, malgré un prologue longuet, on se surprend à rentrer dans le truc et surtout on admire l'économie générale. Quand Flight Plan tentait de meubler le vide avec des effets de caméra à la con dans son coucou hyper-luxueux, Wes filme ses deux acteurs sans se faire chier : champs/contre-champs bavards... et basta. Et bizarrement, ça marche assez bien : toute la tension passe dans les dialogues, tout le suspense se bâtit là. Les gestes sont superflus, ou bien hyper-courts (cf. le méchant coup de boule!). Mais bon, le concept narratif est tellement mince que les rebondissements super-téléphonés (c'est le cas de le dire) gâchent hélas vite le tout (turbulences, communication coupée... et puis quoi? difficile de trouver des trucs crédibles: en avion, il se passe pas grand chose...)

Et à mesure que le film se déroule et se demande comment il va bien pouvoir rebondir pour excèder l'heure de métrage (1h15 de métrage en fait, et dix minutes de générique, et voilà, le film dure 1h25 ! si, si...), ça ne fait que s'aggraver. Lorsqu'on descend de l'avion, on vire dans le grand-guignol (le stylo dans la glotte) et le nawak (oui, volons une bagnole, c'est tellement facile!) happy-endeux (of course) à grosses ficelles (le coup de l'absence de réseau et de la batterie morte, putain...).

Le climax Tom & Jerry dans la baraque, sombre dans le ridicule complet ("ah tiens Cilian, tu étais là?" "oui, et si je n'ai pas tué ton père, c'est parce que je sais bien que je dois mourir à la fin et que je dois échouer dans mes vils desseins...").

Sans parler du final tout pourri à la hop-un-pansement-sur-le-front-je-suis-guérie-et-je-repars-pour-de-nouvelles-aventures...

2/6 généreux, parce qu'au moins, on ne s'ennuie pas.

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