Forum de FilmDeCulte

Querelle pas un grand souvenir même si visuellement il m'en reste quand même pas mal d'images "queer" assez iconiques.
J'ai aussi le coffret BR Le monde sur le fil, assez étonnante série SF que j'avais bien aimé sur le moment mais dont je ne me souviens quasiment plus .

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CroqAnimement votre

Critique intéressante de Peter Handke de l'Amour est plus froid que la Mort dans son recueil "J'habite une tour d'Ivoire".
Le film l'intéresse formellement, par manière de mettre en scène les corps et gestes des acteurs, mais il est très réservé sur sa mélancolie qu'il trouve artificielle et conventionnelle. Quelque part il n'est pas si loin des réserves des Straub, malgré la différence politique (Handke pas du tout brechtien).
Sinon pour moi le Fassbinder qui m'a le plus toi touché ce est Effi Briest ( pas loin de la veine films d'époque de Truffaut). Et peut-être un de ses premiers, Le Bouc. Pas vu la série sur Döblin.
A vrai dire je suis attaché à son cinéma plus qu'à un film particulier, car ses films se répondent et chaque acteur signifie quelque-chose, leur permanence fait qu'il n'y a plus de différence entre ce qui relève de l'identité et ce qui relève de l'intention. Bien aimé l'adaptation de Gouttes d'eau sur pierres brûlantes d'Ozon en son temps.

Critique intéressante de Peter Handke de l'Amour est plus froid que la Mort dans son recueil "J'habite une tour d'Ivoire".
Le film l'intéresse formellement, par manière de mettre en scène les corps et gestes des acteurs, mais il est très réservé sur sa mélancolie qu'il trouve artificielle et conventionnelle. Quelque part il n'est pas si loin des réserves des Straub, malgré la différence politique (Handke pas du tout brechtien).
Sinon pour moi le Fassbinder qui m'a le plus toi touché ce est Effi Briest ( pas loin de la veine films d'époque de Truffaut). Et peut-être un de ses premiers, Le Bouc. Pas vu la série sur Döblin.
A vrai dire je suis attaché à son cinéma plus qu'à un film particulier, car ses films se répondent et chaque acteur signifie quelque-chose, leur permanence fait qu'il n'y a plus de différence entre ce qui relève de l'identité et ce qui relève de l'intention. Bien aimé l'adaptation de Gouttes d'eau sur pierres brûlantes d'Ozon en son temps.

Une collègue m'avait fait lire le livre de Theodor Fontane, auteur sur lequel sa fille écrivait une thèse ou un mémoire. J'avais tellement aimé le livre que le film de Fassbinder, adaptation assez rigoriste dans mon souvenir, m'avait laissé un peu froid.

Vu une heure de L'année des treize lunes hier soir (il est sur MUBI) et ça faisait longtemps que je m'étais pas autant emmerdé. Errance ultra bavarde d'un amant éconduit. A peu près rien ne m'a intéressé. Très surpris de voir que c'est souvent considéré comme l'un de ses meilleurs. Je vais essayer de le finir mais frustrante incompréhension.

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CroqAnimement votre

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N'écoutez pas Film Freak

Je vais le finir ce soir pour te faire plaisir... Sinon il y a une scène dans un abattoir où on te montre la mise à mort de vaches et c'est probablement le truc le plus violent vu depuis des années. Ça m'a retourné le bide (et c'est pourtant filmé de manière très simple).

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CroqAnimement votre

Aucun souvenir de cette scène, c'est dingue...

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N'écoutez pas Film Freak

M'en souviens, le film m'a l'air plastiquement beau mais chiant. La scène de l'abattoir, ça doit être rien par rapport à l'équivalent nigérian à ciel ouvert de La Mort du travailleur de Michael Glawogger.

Mec qui donne des avis hypothétiques.

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N'écoutez pas Film Freak

Pas vraiment, je me souviens de la scène de l'abattoir - et d'avoir commencé puis fait un fast-forward. L'avis hypothétique concerne la réaction d'Art Core à la scène dans le documentaire autrichien que je mentionne.

C'est comment ça ?

Je ne pourrais te répondre qu'après l'avoir vu, mais la réputation est énorme.

Merci, je vais me laisser tenter je pense.