Forum de FilmDeCulte

Dire que j'ai suradoré ce film est un faible mot. Je l'aime tellement que j'ai pas forcément les bons mots. Si vous l'avez vu, vous savez de quoi je parle, sinon, trouvez vous ce film. Ca m'a fait pensé au chef d'oeuvre de Levinson, Liberty Heights, autre film "mémoire d'enfance", également très touchant.

Michael Tucker dans le rôle du père, est extraordinaire. Ce plan où il bat son gamin pour s'arrêter en écoutant la radio, puis tenant son gamin fort, avec les larmes, la scène du taxi...Pfiouuuuu. Et Seth Green quoi!

Et puis tous ces acteurs qui reviennent, tous ces gens qui sont les héros de Woody, jusqu'à la chanson finale, qui m'a supra ému (la guest qui tue).
A ranger avec le haut du panier, et futur dvd à la maison, obligé!

6/6

1987, l'année de Woody, 2 6/6!

Encore 5 films, dont 3 là à disposition.

J'avais trouvé ça tout juste gentillet, dans mon souvenir. Chef-d'oeuvre pour toi ?

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Oui, moins fort que Radio Days, mais je trouve le film terriblement attachant, Le cast est classe, la photo et la musique sont impressionnantes.

Y a un truc spécial dans ce film, ça tient à peu de choses, mais je trouve que Levinson avait réussi à créer une ambiance, un truc palpable. Donc oui, j'adore.

Je plussoie, énorme souvenir de ce film.

en 2023, je l'ai regardé comme le fablesman ou le belfast de woody allen, ce qui mettait en relief une caractéristique impressionnante du film : à quel point il n'est nulle part dans le film. lui, enfant, on remarque à peine qu'il est dans la pièce. il ne fait preuve d'aucune qualité particulière. quand on lui prête attention, c'est pour lui dire qu'il est nul. le contraste avec belfast est donc fort sur ce point, brannagh passant le film à se dépeindre comme le petit garçon le plus mignon, drôle, intelligent, clairvoyant, sensible, affectueux et précieux du quartier. fablesman aussi se regardait avec beaucoup de tendresse et d'admiration pour lui-même, mais la différence qui m'a marqué avec celui là est plus la différence de lu regard posé sur ses parents : là où steven les glorifiait, voulait faire un film à leur gloire - même leurs faiblesses sont au fond les faiblesses de gens formidables -, woody regarde ses parents et sa famille comme des gens moyens, vraiment pas extraordinaires, qui ratent, une famille un peu merdeuse mais au fond chouette et attachante.

à côté de ça, c'est un super film de souvenirs, qui raconte une palanquée d'anecdotes vraiment drôles et chouettes (ce qui n'est pas forcément le cas de tous les films de souvenirs...), parfois en un plan, parfois en une scène, parfois sur plusieurs scènes jusqu'à ce que ça constitue le portrait d'une époque, d'une famille, d'une communauté.

mineur, mais vraiment hyper chouette.

Gros souvenir de la scène finale (comme quoi l'argument "le film ne dit rien de la guerre et de la politique" est pauvre et ambigu : c'est ce que le spectateur connaît déjà qu'il attend - oubliant que le personnage en sait moins) et de celle du reportage sur la fille tombée dans le puits.

La même année Woody Allen tournait September mélo en huis clos Tchekovo-bergmanien mais un peu décalé) autre film là aussi assez atypique mais intéressant dans sa filmo

Liste de rattrapages illico.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Le mec qui insiste.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Dis-le cinq fois devant un miroir !

J'ai vu Radios Day y a genre 20 ans à la BiFi. Aucun souvenir.

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the fablesmen
the fablesmen
the fablesmen

voilà, je suis irréprochable.