Forum de FilmDeCulte

https://youtu.be/_9ImA7yhNkw

C'est une rêverie synthétique en plusieurs petits morceaux des années 70.

Très bon concert à Bruxelles hier de Paul Simon. Le petit homme, toujours fringant à 75 ans montre encore une fois qu'il est un mélodiste et compositeur de génie. Accompagné d'un grand groupe de remarquables musiciens multi instrumentistes, il nous livre un concert de 2h 15 ou se mêlent nouveaux morceaux et anciens qu'il remanie plus ou moins selon ses envies et ses capacités vocales de 2016.

1) Gumboots ( instrumental)

2) The Boy in the Bubble

3) 50 Ways to Leave Your Lover

4) Dazzling Blue

5) That Was Your Mother

6) Rewrite

7) Honky Tonk (Bill Doggett cover) ( Instrumental )

Slip Slidin' Away

9) Mother and Child Reunion

10) Me and Julio Down by the Schoolyard

11) Spirit Voices

12) The Obvious Child

13) Stranger to Stranger

14) Homeward Bound (Simon & Garfunkel song)

15) El Condor Pasa (If I Could) ( Instrumantal )1

16) Duncan

17) The Werewolf

18) The Cool, Cool River

19) Diamonds on the Soles of Her Shoes

20) You Can Call Me Al

Rappel numéro 1 :

21) Wristband

22) Graceland

23) Wheels instrumental]

24) Still Crazy After All These Years

Rappel numéro 2:

25) Late in the Evening

26) One Man's Ceiling Is Another Man's Floor

27) The Boxer

Rappel numéro 3:

28) The Sound of Silence ( Paul Simon seul à la guitare acoustique )

et en version acoustique, sublime :

_________________
The Necks : Body

Ah purée chançard. Ça m'aurait bien plu!

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je les avais complètement oubliées, les incursions du Pulp première manière dans l'Acid House, avec un beau titre à triple-sens. Comme souvent chez eux, ce singulier mélange entre parodie déconnante et un forme de lyrisme poignant, une prise au sérieux et sans condescendance de l'objet de leur dérision

Vous prenez la voix d'Elliott Smith, son son lo-fi, son état de dépression chronique, enrobez ça de nappes de guitare Dream Pop/Shoegaze et voici Bored Nothing dont l'album du même nom est d'une indéniable beauté:



Malheureusement il poussera le mimétisme avec son père musical jusqu'à se suicider il y'a environ un mois...

Sur ce morceau, c'est impossible de ne pas entendre Elliott Smith par exemple:

Navré de ne pas poster du Léonard Cohen, mais une vidéo d'autres géants. Je ne savais pas qu'il y avait eu un film (en live partiel?) tiré de Songs for Drella de Reed/Cale. Le regard noir que jette John Cale sr Lou reed au début de Smalltown est impressionant

https://youtu.be/6TFfIgMeYQ0

Du Madeon allégé on va dire.

Walls, un très chouette morceau de Beck, que je n'entends plus que comme un duo:

https://youtu.be/muybdg9TczA

Des gimmicks à la Justice.. Le tout en plus posé et pop.

https://youtu.be/9WUoT6GVtXI

Un nouveau morceau de Jean-Michel Jarre inspiré avec un clip très sympa.

La Pub



https://youtu.be/re4icu2NXO8


La musique en entier



https://youtu.be/1V31VddCA1g

à cause de la bonne utilisation dans Warm Bodies

_________________
Tennis de Table Bordeaux

Je ne connais pas grand chose au jazz, mais ce disque permet encore de ressentir en direct la magnitude du passage du bop au free . On y entend un autre grand musicien: le pianiste Mal Waldron.

Le disque contient un très beau texte de Robert Levin ; un émouvant portrait de Little, mort à 23 ans en ayant juste laissé deviner l'oeuvre qu'il aurait pu construire, 3 ans avant Dophy, son aîné de 10 ans, dont la disparition laissait également une imrpession d'inachèvement, de miracle insatisfaisant, mais Dolphy avait eu le temps d'aller plus loin dans l'élaboration d'un discours musical et politique - il est vrai que l'oeuvre de Dophy est très diverse, sur Conversations on retrouve des tonalités proches de l'expressionisme viennois alors que les sessions avec Little sont très coltraniennes).