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MessagePosté: 02 Fév 2021, 10:48 
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Déjà-vu a écrit:
Qui-Gon Jinn a écrit:
RIP Art Core... :cry:

J'avoue c'est un peu self-deprecating de se considérer comme trash.
Il est profem pour pouvoir draguer les jolies Eglantine d'Arte.

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MessagePosté: 02 Fév 2021, 10:50 
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MessagePosté: 02 Fév 2021, 14:06 
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Tous les hommes ne sont pas des salauds, l'un d'eux qui 1/ n'a pas oublié et 2/ éprouve de la culpabilité aide le personnage.

J'ai apprécié que ça ne soit pas juste un film de vengeance «jouissif» à la con, où la fille va faire payer les agresseurs ds un bain de sang. Là son action se deploie à tous les niveaux de la société, y compris au niveau institutionnel (la famille, l'université), avec ce,que ça comporte de côté cahier des charges un peu laborieux ds le scénar. Je dis pas que c'est un chef d'oeuvre...

L'aspect «féministe» de Shadows in the cloud c'est le vieux coup du buddy movie, la femme avec le coéquipier machiste qui doit faire ses preuves pour montrer qu'elle est l'égal de l'homme, et on découvre ah en fait oui c'est vrai peut-être après tout... et là en plus c'est une jeune maman, ben dites-moi, ça dérange, ça déménage même !


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MessagePosté: 02 Fév 2021, 14:24 
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scienezma a écrit:
Tous les hommes ne sont pas des salauds, l'un d'eux qui 1/ n'a pas oublié et 2/ éprouve de la culpabilité aide le personnage.

J'ai apprécié que ça ne soit pas juste un film de vengeance «jouissif» à la con, où la fille va faire payer les agresseurs ds un bain de sang. Là son action se deploie à tous les niveaux de la société, y compris au niveau institutionnel (la famille, l'université)


Le personnage de l'avocat rongé de culpabilité est autre chose de totalement grotesque que j'ai oublié de souligner aussi.

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MessagePosté: 02 Fév 2021, 14:47 
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Art Core a écrit:
scienezma a écrit:
Tous les hommes ne sont pas des salauds, l'un d'eux qui 1/ n'a pas oublié et 2/ éprouve de la culpabilité aide le personnage.

J'ai apprécié que ça ne soit pas juste un film de vengeance «jouissif» à la con, où la fille va faire payer les agresseurs ds un bain de sang. Là son action se deploie à tous les niveaux de la société, y compris au niveau institutionnel (la famille, l'université)


Le personnage de l'avocat rongé de culpabilité est autre chose de totalement grotesque que j'ai oublié de souligner aussi.


Non seulement tu n'as pas parlé de ce personnage (en bien ou en mal), mais tu as affirmé que le film aurait pu s'appeler «Men are trash tellement c'est son unique ligne directrice du début à la fin», ce qui n'est visiblement pas exactement le cas, et cela a à mon avis son importance.


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MessagePosté: 02 Fév 2021, 14:50 
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Justement ça m'a semblé très hypocrite et surtout pourquoi le sauver lui ? Un personnage qui semble instable, qui a eu une espèce de rupture psychologique, comme si c'était le seul moyen de trouver le salut.

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MessagePosté: 05 Fév 2021, 00:36 
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Art Core a tout...faux.

Précisons tout de suite : je trouve pas le film ouf, ce serait un 3,5/6 mais je suis en désaccord sur à peu près tout :

Art Core a écrit:
Le début est pourtant plutôt réussi et intrigant imaginant une espèce de personnage féminin vengeresse d'une manière assez amusante et surtout pertinente (profiter du caractère manipulateur lubrique des hommes et la retourner contre eux).

Heureusement que c'est pas que ça et qu'il y a une intrigue quand même, parce que 2h de la même scène répétée, ça aurait été non.

Citation:
La mise en scène est très pop, il y a beaucoup de musique, c'est stylé, c'est un genre de Nicolas Winding Refn (enfin celui de Drive)

On va graaaaandement se calmer.

Mais cela dit, c'est très efficace, oui. Elle sait ce qu'elle fait.

Citation:
Mais très rapidement va se déployer un récit qui manque totalement d'épaisseur, avec des personnages qui n'existent pas du tout où tu ne fais que sentir que l'intention présidait avant le reste. Il y a un énorme angle mort dans le film qui n'est absolument pas traité c'est ce personnage de Nina.
Cette fille qui a été violée et qui s'est suicidée (?), truc qui n'est jamais étrangement vocalisé dans le film donc ce n'est même pas clair.

Quand même, c'est évident. Suffisamment pour ne justement pas avoir à l'expliciter. Pourquoi en as-tu besoin?

Citation:
Et pourquoi le perso de Mulligan a tout quitté pour elle ? Quelle était leur relation ? La seule chose que l'on voit c'est des photos d'elles quand elles étaient gamines. C'est maigre.

Elle l'explique pourtant à la fin. Elles avaient une amitié totalement fusionnelle, il y avait une émulation certaine.
Elle dit "A 4 ans, elle était déjà entièrement qui elle est. J'étais hallucinée qu'elle accepte d'être mon amie, etc."
Le pendentif avec la moitié de coeur, il te faut quoi?


Citation:
Du coup ça rend tout le parcours du perso hyper maladroit, parce qu'elle est une espèce de victime collatérale de la violence des hommes mais qu'elle ne l'a pas subi elle-même.

Justement, je trouve ça plutôt pertinent comme pas de côté parce que le rape-and-revenge est un fantasme purement masculin. Le film le reconnaît et fait de la victime du viol quelqu'un qui n'a pas pu se reconstruire (et s'est suicidée). C'est la meilleure amie fusionnelle qui endosse la fonction vengeresse. Le film assume son fantasme de fiction tout en reconnaissant une réalité.


Citation:
Et les deux arcs narratifs du film ne fonctionnent pas. D'un côté le perso de Mulligan totalement fucked up qui tous les weekends va aller traumatiser un mec random et le parcours de vengeance plus évident contre les violeurs de son amie.

Je vois pas ce qui fonctionne pas.

Citation:
Et plus le film avance plus il tombe dans le ridicule comme dans cette manière presque parodique de nous montrer le couple qui se forme à base de "montage" risible où ils s'éclatent et font les foufous dans un magasin sur de la musique mielleuse. Tout ça pour évidemment contrebalancer avec le twist le plus prévisible du monde
son mec, prétendument parfait avait été témoin du viol et n'avait rien fait.

Moi je trouve ça plutôt réussi ce montage, trop long et évidemment cliché, mais en regardant leur relation naissante, je me disais "j'espère que ça va marcher pour elle, miskina".

Citation:
Il y a vraiment un problème de ton pas du tout trouvé entre un truc un peu pop en mode thriller léger et malin et quelque chose de beaucoup plus sérieux, premier degré dans le portrait d'un personnage déséquilibré et traumatisé (chose qui n'est jamais problématisé à l'écran et à côté duquel le film passe totalement).

Une fois n'est pas coutume, je m'aligne avec scienezma :
scienezma a écrit:
ça n'est jamais véritablement réaliste, c'est une satire de bout en bout (voir par exemple les scènes dans la famille de la fille, mais aussi celles dans le bar où elle travaille). C'est toi qui semble avoir regardé le film comme un film naturaliste vu toutes les questions que tu t'es posées devant.


Citation:
Tout cela aboutit au dernier acte qui m'a fait rouler des yeux dans les orbites tellement je l'ai trouvé grotesque et surtout atroce. Cette manière de
sacrifier son personnage principal sur l'autel de l'idéologie du film m'a dégouté. Pour moi se révèle là toute la putasserie du film qui méprise son personnage principal.

WTF?
En quoi reconnaître (une fois de plus) une certaine réalité (les femmes finissent toujours victime) = mépriser son personnage?

Là aussi :
scienezma a écrit:
J'y ai plutôt vu un personnage sacrifié non par le réalisateur mais par son entourage, autrement dit c'est un film qui n'est pas très optimiste derrière son faux happy-end ou son côté acidulé et cool, et je trouve ça pas mal.


Citation:
On enchaîne les conneries absolues dans une écriture effarante de nullité
- les mecs à la soirée qui ne reconnaissent pas Mulligan alors qu'ils ont fait leurs études ensemble.

1. Genre je me rappelle de TOUS les étudiants de mon amphi.
2. Il est précisé plusieurs fois qu'elle a physiquement changé.


Citation:
- le mec qui n'hésite pas la buter

On est presque dans la légitime défense, à vrai dire, et le mec le vit mal.
A la limite, si je trouve un truc pas trop crédible ici, c'est plutôt qu'elle fasse rien avec son scalpel ou qu'elle fasse pas semblant d'être morte.


Citation:
- les mecs qui ont été drogué mais qui se réveillent comme si de rien n'était

Bah comme après un blackout dû à l'alcool...

Citation:
- le pote qui voit un cadavre et qui hésite pas une seconde à brûler le corps comme si c'était normal
- Mulligan qui avait tout prévu

Toi t'as regardé le film comme si c'était un Kechiche en fait...

Citation:
dont la possibilité de crever (?)

Qu'est-ce que ça a d'aberrant? Elle se rend SEULE dans un chalet ISOLE où se trouve UNE DIZAINE DE GARS qu'elle sait être des CONNARDS dont l'un qu'elle a l'intention d'AGRESSER. Évidemment que ça peut mal tourner.


Citation:
- Les flics qui arrêtent le meurtrier sous quelle preuve ? Truc qui n'a aucun sens.

La confession de Cassie + son cadavre suffisent à l'arrêter, j'imagine (arrêté ne signifie pas condamné).


Citation:
- Pareil pour la vidéo, donc le viol avait été filmé et la vidéo avait tourné partout et soudain tout le monde semble découvrir qu'il existe une vidéo !

Y a sept ans entre les deux mais bon, soit.

scienezma a écrit:
J'ai apprécié que ça ne soit pas juste un film de vengeance «jouissif» à la con, où la fille va faire payer les agresseurs ds un bain de sang. Là son action se deploie à tous les niveaux de la société, y compris au niveau institutionnel (la famille, l'université), avec ce,que ça comporte de côté cahier des charges un peu laborieux ds le scénar. Je dis pas que c'est un chef d'oeuvre...

Voilà, ce que je reproche au film, c'est son côté catalogue et démonstratif qui fait que c'est sans grande surprise et que ça décolle jamais.

Je suis d'accord qu'il y a surcotage critique mais faut pas déconner...

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MessagePosté: 05 Fév 2021, 01:56 
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Film Freak a écrit:
Citation:
On enchaîne les conneries absolues dans une écriture effarante de nullité
- les mecs à la soirée qui ne reconnaissent pas Mulligan alors qu'ils ont fait leurs études ensemble.

1. Genre je me rappelle de TOUS les étudiants de mon amphi.
2. Il est précisé plusieurs fois qu'elle a physiquement changé.



D'autant qu'elle joue elle-même là-dessus pendant tout le film. Il y a des scènes où je me suis demandé moi-même s'il s'agissait bien de la même personne tant elle change régulièrement de look et quasiment de visage. Dans certaines scènes elle paraît avoir 40 ans, dans d'autres 19 ou 20...


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MessagePosté: 27 Mai 2021, 16:15 
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Il semblerait que pour gagner l'Oscar du meilleur scénario lorsqu'on est une femme, il faille écrire un perso féminin acerbe. Pour son premier film, c'est cette Diablo Cody school of writing que suit l'actrice devenue réal EMERAUDE FENOUIL.
Sarcasme mis à part, c'est vraiment un bon scénar, bien troussé, qui commence là où il faut, qui distille les infos au bon rythme, et qui est une mine de scènes jouissives, gênantes ou angoissantes.

Le positionnement du film est également assez fin, faisant glisser notre allégeance plusieurs fois: pour Cassie ; contre Cassie ; pour Cassie mais pas avec ces méthodes... Bien joué.

Pas grand chose de plus à dire. J'ai juste... wait for it... passé un bon moment.

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MessagePosté: 05 Juin 2021, 09:11 
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Film Freak a écrit:
Art Core a tout...faux.


Art Core a absolument TOUT DIT jusque dans les détails. Scénario HONTEUX.

Quin-Gon Jinn a écrit:
c'est vraiment un bon scénar, bien troussé (...). Le positionnement du film est également assez fin


:shock:

Je suis sorti du film épouvanté par le ratage intégral du film qui tient davantage du tract que du cinéma. Typiquement le genre de film qui joue contre ce qu'elle veut promouvoir, à mon avis.

Déjà, je ne trouve jamais crédible qu'une fille visiblement traumatisée puisse s'en tenir à juste se faire ramener bourrée pour surprendre les mecs et presque didactiquement leur faire la leçon, mais s'en tenir gentiment là. Surtout quand on sait ce qu'elle va faire ensuite.

Ensuite, il y a un lot de scènes vraiment maladroites, mais à la limite, je peux passer dessus. L'avocat qui l'accueille et direct "ah oui je vous attendais ouf" et elle qui le pardonne en direct, c'est risible. Après, elle s'appuie sur lui pour envoyer la police??? (alors que le mec en tant qu'avocat risque d'être accusé dans le cadre de toute affaire pour son comportement à l'époque?).

Que le film ait un ton pop situé entre un revenge movie tarantinien et une critique sociétale, soit. Que ce soit exécuté avec d'énormes sabots, et parfois, une perversité et une incohérence totales, c'est problématique.

La juxtaposition de sa vengeance (soit dit en passant, assez peu inventive et plutôt ennuyeuse pour un film censé être pop) avec son histoire d'amour est peut-être ce qu'il y a de plus con, de plus artificiel, de plus appuyé. Surtout qu'on voit venir le twist à 10.000 km, la réalisatrice a tellement étiré les scènes de bonheur (horribles d'ailleurs, paye ta conception du bonheur en couple, mais bref) qu'à mon avis elle n'a pas dû surprendre grand-monde.

La dernière séquence à l'enterrement de vie de garçon est complètement ratée. On a le cliché de la fille qui est ironique et a une super répartie tout en martyrisant celui dont elle veut se venger. On a ensuite le basculement dans l'absurdité (la menotte lâche? Mulligan a fait exprès pour mourir?), avec une scène qui encore une fois dure, dure, une éternité, pour pas grand-chose, ah si: le jeu d'acteur atroce du "méchant". Et puis les messages envoyés par texto censés être jouissifs pour le spectateur avec le petit smiley final alors que bon, meuf, t'as perdu hein, t'es allée jusqu'à te faire tuer salement (son corps de pantin sous l'oreiller est emblématique de ce sacrifice visuel fait par une réalisatrice qui en a rien à foutre de son personnage au-delà du message à faire passer par tous les moyens) par le bourreau de ton amie et t'es contente?

Et alors je vois des gens, même sur ce topic, qui essaient de s'en sortir en disant: "Ouais mais justement le film dénonce la mécanique folle de son personnage". Pour moi, pas du tout. Il y a déjà plusieurs fois où elle dit avec un sérieux plutôt convaincant (et pour le coup, plutôt justifié il me semble) "Non, je ne pense vraiment pas être folle". Et puis surtout la mise en scène et globalement, la mécanique du film sont tout au service de la mécanique du personnage, qui n'a absolument aucun relief. La mise en scène, le montage épousent son point de vue, jusque dans sa mort où tout est déployé pour en mettre plein la vue au spectateur. L'impression d'être pris pour un demeuré, tout le contraire de La Nuit du chasseur qui est utilisé d'abord comme référence à la télé puis à travers sa musique et sa poétique lorsqu'elle apprend que son copain était dans le coup.


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MessagePosté: 05 Juin 2021, 11:27 
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Ah tu fais plaisir :D.

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MessagePosté: 05 Juin 2021, 11:33 
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MessagePosté: 05 Juin 2021, 11:57 
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Baptiste a écrit:
La juxtaposition de sa vengeance (soit dit en passant, assez peu inventive et plutôt ennuyeuse pour un film censé être pop) avec son histoire d'amour est peut-être ce qu'il y a de plus con, de plus artificiel, de plus appuyé. Surtout qu'on voit venir le twist à 10.000 km, la réalisatrice a tellement étiré les scènes de bonheur (horribles d'ailleurs, paye ta conception du bonheur en couple, mais bref) qu'à mon avis elle n'a pas dû surprendre grand-monde.


Sur ce point très précis je peux être d'accord avec toi, je crois d'ailleurs l'avoir déjà signalé précédemment. C'est moins con que profondément puritain, donc là on pourrait basculer dans un truc qui rende tout le reste fortement discutable...


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