Forum de FilmDeCulte

This is... the walking against the wind!

Un peu de discrétion quand même !

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TBA A AIME THE FOUTAIN! TBA A AIME THE FOUNTAIN!

*Discré-quoi?*

Je vais repouvoir te draguer toi, t'es en manque de tendresse.

C'est globalement très bien foutu pour ce que c'est mais je trouve ça un poil trop simple et finalement trop déjà vu...dans la manière de filmer le Viet Nam, dans le camp de prisonnier, dans la préparation de l'évasion, etc...

Après, c'est 1h59 qui passent vite et un Bale un poil différent pour une fois (hey tu souris!) et toujours aussi bon et dévoué (l'homme au plus grand nombre de yoyos niveau poids?).

La fin parvient à être émouvante (forcément).

4/6

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Je m'emmerde donc je fais remonter le fil pour me foutre de la gueule de l'affiche, je viens de remarquer un truc : dessus, on y voit un Blackhawk. Helico qui n'a pas ete utilise au Vietnam.

La minute nécessaire de Deudtens?

Et t'as attendu un mois pour nous la faire, celle-là?

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

bah je cherchais un wallpaper de film pour le mettre au boulot a la place de la photo de moi en train de dormir sur ma chaise qu'ont mis mes collegues farceurs. Et je suis tombe sur ca. Voilaaaaaa.

J'ai enfin réussi à regarder ce film que je cherchais à voir depuis 10 ans !

Un peu comme Film Freak au dessus, c'est très bien, le film m'a happé, c'est bien tendu, mais dans le même temps un peu simple et déjà vu.

4/6

Etrange que j'ai pas posté dessus à l'époque... Le film souffre tellement de la comparaison avec LITTLE DIETER NEEDS TO FLY, le doc sur le même sujet qu'Herzog avait fait dix ans plus tôt, où le vrai Dieter reconstituait avec des mecs sa marche forcée à travers la jungle (le quinqua grisonnant qui marche avec un pilori autour du cou, ça vaut son pesant de cacahuètes).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Peu de souvenirs du film, à part Bale qui endure les pires atrocités en mode détente comme s’il était dans un parc d’attractions. J’avais beaucoup aimé, faut que je le revoye.

4,5/6

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Pourquoi je n'avais encore pas vu ce film alors que j'adore les survivals et que j'adore Herzog ? Un mystère. D'autant que le film m'a vraiment beaucoup plu. C'est du pur Herzog, avec un sécheresse et une ligne claire que j'adore. Pas de chichi, une mission lambda, un crash qui arrive tout de suite et c'est parti. Et à partir de là le film est fascinant, survie en milieu hostile par un personnage principal excellent. D'ailleurs c'est vraiment une prestation étonnante (et géniale) de Bale, alors qu'on aurait pu attendre une interprétation douloureuse et contrite à la DiCaprio dans The Revenant c'est au contraire un personnage très souriant, très positif, toujours prêt à faire une vanne et à rester positif (bon un peu moins sur la fin). Mais on retrouve le côté prestation sacrificielle avec dégustation de vers, arrachage de sangsue, tortures diverses filmées longuement etc... Et puis j'adore les personnages secondaires. Steve Zahn hyper touchant, le toujours taré Jeremy Davies (que j'aime cet acteur même s'il joue un peu toujours pareil, quel dommage qu'il ait totalement disparu).

Vraiment un excellent film, parmi les meilleures fictions de Herzog et maintenant il faut absolument que je voie le documentaire, Little Dieter needs to fly (quel titre) qui précède avec le vrai Dieter. C'est assez marrant et d'ailleurs sans doute unique dans l'histoire du cinéma un réalisateur qui fait à la fois un documentaire et une fiction sur le même sujet.

Deux bémols, la musique un peu pompière de Klaus Badelt et surtout cet épilogue horrible en mode héros américain (avant de se terminer sur un arrêt sur image truc que je déteste) totalement hors sujet dont on se demande si c'est pas un rajout de la prod tant ça tranche avec le reste. Soudain toute la tristesse et la lourdeur de ce qui vient de se passer semble néantisée (Dieter a quand même assisté à la décapitation de son pote juste à côté de lui) pour une note d'espoir totalement factice et artificielle. Dommage mais ça n'a pas gâché le plaisir du reste.

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CroqAnimement votre

"Vraiment un excellent film, parmi les meilleures fictions de Herzog et maintenant il faut absolument que je voie le documentaire, Little Dieter needs to fly (quel titre) qui précède avec le vrai Dieter. C'est assez marrant et d'ailleurs sans doute unique dans l'histoire du cinéma un réalisateur qui fait à la fois un documentaire et une fiction sur le même sujet."

Alex Parkinson vient de le faire avec le documentaire le survivant des abysses puis le film Last breath.

Ah oui en effet.

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CroqAnimement votre

L'épilogue a qqch d'ironique quand même : on lui demande en quoi sa foi en Dieu et en son pays l'a sauvé, en quoi il croit, et il répond : "Je crois que j'ai besoin d'un steak". Et il répète sa devise : "Remplis ce qui est vide. Vide ce qui est plein. Et gratte là où ça démange". Pas vraiment le couplet héroïque attendu. La "note d'espoir factice" de cette scène me semble ajustée à cette attitude "souriante et positive" que le personnage affiche tout le long du film et dont tu parles avant, non?

Beaucoup aimé aussi. Le documentaire (vu après) m'avait moins marqué.