Forum de FilmDeCulte

Dans les années 1930, Mathilde, fille du célèbre professeur Stangerson, est victime d'une tentative de meurtre alors qu'elle était seule dans sa chambre. Joseph Rouletabille, accompagné de son ami et photographe Sainclair, se rend au château du Glandier pour élucider ce mystère. La présence du célèbre reporter n'est pas du gout de l'inspecteur Frédéric Larsan et du juge de Marquet.

La déception.

J’en gardais un souvenir vif et enjoué, mais si j’apprécie toujours autant l’orfèvrerie de la direction artistique, le casting de gueules / stars (sauf Olivier Gourmet que j’ai trouvé vide), et la fluidité de la mise en scène, tout cela m’a paru un peu... ampoulé.

C’est doute à cause de l’histoire originale, dont la résolution est globalement super chiante et décevante au possible, et à laquelle le talent manifeste de Podalydès n’a pas réussi à donner corps et vie lors de cette nouvelle vision… Même LA scène de l’horloge, ça m’a pas fait trop d’effet cette fois-ci…

Après, ça reste plein de bonnes choses, et ca devrait presque être le standard de qualité visée pour les films grand public français, mais pour employer une formule à la con : « ca pourrait durer 20 minutes de moins ».

Du coup ça ne m’a que moyennement chauffé pour rattraper la suite…

La suite est sympa mais moins bien.

Mais tu sors quand même.

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Non, c'est la marque de fabrique de ce réalisateur horriblement surestimé qu'est Podalydès : encore un dialoguiste moyen qui se prend pour un écrivain.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Pareil que Jeronimo et Castorp: souvenir d'un truc qui n'a jamais le dixième du dynamisme fun qu'on s'attend à trouver.

Podalydès et Desplechin, ces deux énigmes qui ont dû choper Bob en 1999 et lui faire dire "Cirrus, Dolphin, Socrates..." pour qu'il les aime encore aveuglément à ce jour.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

C'est ici les obsèques de Film Freak ?

J'avais adoré le roman (durant mon adolescence) et j'aime beaucoup beaucoup les Podalydès Bros., mais j'avais moi aussi été fort déçu par cette adaptation légère et tintinophile mais qui toutefois peinait à trouver son ton et son rythme.
Ceci dit la DA et le cast faisait passer le temps sans trop d'ennui... (plus des masses de souvenirs, d'ailleurs)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Plutôt celles du bon goût.

Y a un fan de Mouret qui me charrie, c'est trop.

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Ah ben tiens vu sur Arte il y a deux semaines. Je me suis endormi après une heure et quelques, jamais fini et pas prévu de le faire. Je m'attendais à un truc enlevé et ludique, j'ai eu droit à du vieux théâtre poussiéreux soporifique.

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CroqAnimement votre

Confirmation de la déchéance de ce forum en 19 ans.

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C'est toi le fan de vieux théâtre poussiéreux et soporifique.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

J'ai adoré, trouvé ça sensationnel.

Ça y est, on rêve de Macron, on a son poisson-pilote qui vient nous renifler le chibre.

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On ne rêve pas de Macron, c'est une réalité.

Je suis gêné, je vais supprimer le topic

Je l'ai vu mais je n'en ai aucun souvenir.