Forum de FilmDeCulte

Embargo.

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Un peu pareil sauf que je mets 0/6.
En tant que suite Die Hardienne c'est 0/6 et en tant que film d'action lambda c'est 0/6 (le masque faux cool avec le 1/2 sourire en coin de Willis ne passe plus chez moi).
Et moi aussi j'ai ri...mais au dépend du film et non avec (toutes les tentatives de blagues de McClane sont d'un ridicule achevé : ex:I'M ON VACATION répété inlassablement sans jamais être pertinent(car il ne vient pas en vacances) ou un minimun drôle)
Bienvenue aux Spoilers du rire:


Enfin bref une telle médiocrité à tous les niveaux d'une production de cette ampleur c'est quand même fascinant.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Film Freak, à quel détail "comique" penses-tu à propos de la fin ?

Ce ralenti où McClane et son fils sautent de l'immeuble où l'hélico se crashe et McClane fait un doigt d'honneur au pilote. Juste LA HONTE.

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Ah oui tiens j'avais oublié ce ralenti de merde, j'étais juste atterré...

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Je n'ai même pas remarqué !

Je comprends mieux ta référence à Cursed et Red Planet.

Vu et oublié le jour d'après.

Je ne serais pas aussi méchant que vous, si on repense aux 3 derniers Die Hard évidemment ça fait très mal, si on les oublie totalement on a affaire à un film d'action moyen mais regardable. En plus, ça a le mérite d'être court et rythmé et même si on perd pas mal l'ironie de John McLane dans l'écriture c'est un véritable plaisir de retrouver Bruce Willis. J'aurais même tendance à dire que c'est lui qui tient le film et de loin c'est celui qui a le mieux vieilli par rapport à un Schwarzy ou un Stallone (mauvais comme tout dans The Expendables 2).

Après, ce qui est le plus frustrant c'est qu'on a quand même des scènes d'action à gros potentiel qui pourraient être monstrueuses avec un McTiernan derrière la caméra et là avec un 43ème couteau comme John Moore c'est plaisant mais c'est découpé n'importe comment et on loupe un peu le coche. D'ailleurs, c'est hallucinant de confier une trilogie qui a eu une telle influence sur le cinéma d'action à des Len Wiseman ou des John Moore.

Et puis abandonner ce qui était l'essence même des McT, unité de temps et de lieu, c'est tout simplement reprendre la franchise mais en enlevant le concept qui en fait son succès et banalisant la franchise comme un blockbuster lambda. Si on le juge en tant que tel, c'est comme je le dis regardable, le genre popcorn très vite oublié. En fait, c'est intéressant (ou inquiétant) si on considère ce nouveau volet comme un témoin de l'évolution des gros blockbusters d'action au fil des années. Ou comment on remplace l'inventivité et le savoir faire de vrai bons cinéastes comme McTiernan par des exécuteurs sans personnalités, comment le spectacle devient de plus en plus ultracalibré et le fond vert et le jeu vidéo remplacent le réalisme des situations.

Par réalisme, j'entends surtout le fait que quand au bout d'un moment on tombe de 12 étages ou qu'on fasse de multiples chutes, c'est juste plus crédible. Dans les premiers Die Hard, McLane avait mal, souffrait, était humain quoi, là c'est plus un héros de jeu vidéo qu'autre chose.

Sinon, on va chipoter,le film n'est pas un nanar à proprement parler mais ça fourmille quand-même ce scénario d'incohérences assez marrantes :


Après, le film ne vise tellement pas le réalisme que ça fait évidemment violemment sourire mais que ce n'est pas non plus super gênant. Par contre, c'est clair que dans les premiers ça aurait fait violemment tâche.

A voir pour Bruce Willis donc! C'est pas honteux, j'aurais du mal à dire que la vision du film était une épreuve, mais pas glorieux non plus. A noter aussi que l'acteur qui joue le fils est mauvais, un genre de pseudo Shia Labeouf qui va vire retomber dans l'oubli.

Pas vraiment d'unité de lieu dans Die Hard 3.

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Ca se limite quand-même au territoire urbain de New-york. Après, c'est effectivement moins huis clos que les 2 autres en effet mais je trouve que ça reste dans l'esprit.
Par rapport aux deux derniers...

Le 4 est pas uniquement en "territoire urbain" de Washington?

Le 3 utilise intelligemment l'espace mais faut pas employer des expressions précises à la légère.
Techniquement, même "unité de temps" est faux.

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Le 4 pas de souvenir pour être honnête donc je dois peut-être me tromper en effet. Ca m'a tellement marqué ce film

Pour le 3, je sais pas d'où tu sors ça qu'une journée n'est pas une unité de temps. Après pour le lieu tu as raison, même si on reste sur une ville c'est effectivement une multiplicité de lieux. Ca reste quand-même dans la continuité de l'esprit de la saga, là dans le 5, la géographie et le temps c'est tout bonnement n'importe quoi. Ca me rappelle un Steven Seagal ou il se rend en voiture de Paris à Bastia en quelques heures puis je suis plus sur mais je crois qu'il va à Bordeaux aussi en un temps record. C'est un peu le même genre ici avec le trajet en bagnole Moscou-Tchernobyl qui fait 1000 km dans la réalité et qui est accompli là en 2 coups de cuiller à pot. Ca m'a tué!

Bon c'est 3h, je suis plus trop clair désolé pour les expressions à la légère, je vais me coucher.

Au temps pour moi, je pensais qu'unité de temps était plus proche de temps réel mais je vois en théâtre c'est un jour/24h.

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A un moment ils partent dans la combrousse pour aller sauver la putain de centrale électrique...

A ce moment-là dans le 3, ils partent au Canada aussi (pour la toute fin).

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