Blissfully a écrit:
Pour ma part, je me souviens pas d'une masse de finales sans Français diffusées pour des sports comme le judo, déjà lors des précédentes éditions...
En Judo, là, comme ça, à brûle pourpoint, j'ai un excellent souvenir de la finale de Sydney gagnée par l'Italien Maddaloni, commentée par Rey en direct sur canal, et c'était pas contre un Français. (je m'en souviens, parce qu'il avait marqué une espèce de Ippon de ouf en contre, et Rey a été à deux doigts de dire qu'il avait enculé son adversaire)
Des sports comme le tir à l'arc sont beaucoup moins bien fournis. Sans parler du Hockey sur gazon.
Mais les grands moments étaient quand même plus ou moins encore montrés (Tamura à Athènes, mais bon, c'était en finale contre une française, si je me souviens bien, donc ça compte pas, la rameuse Hongroise, qu'a failli égaler Lewis, Spitz... aux mêmes J.O.).
Là, on a vu quoi? Etats-Unis Chine en Basket, l'Anglaise championne olympique en cyclisme sur piste après l'avoir été en aviron, je pense que c'était aussi parce que c'était pas longtemps après des français.
Mais y a presque rien de montré parmi les choses les plus importantes de chacun des sport. Là, qui peut me dire ce qu'il y a à retenir de la compétition dans 2 ou 3 sports? Ouais, OK, Phelps, le 100mètres en athlé, mais bon, c'est un minimum, non?
Même quand on a quelques informations, c'est vraiment au pif, et on n'a pas tout. Par exemple, dans le sport que je suis le plus, en judo, Tamura, on sait qu'elle a perdu et que c'est un événement, mais même pas que c'est un grand événement d'obtenir comme elle l'a fait 5 médailles dans cinq compétitions olympiques différentes, et que seules six compétiteurs l'ont fait. C'est sur le site officiel des J.O. que je l'ai appris.
Et surtout, le gros truc indéniable, c'est les résumés du jour, ce qu'il s'est passé, c'est tous les français, et seulement les français. Avant merde, on parlait de sport!
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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.
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