Forum de FilmDeCulte

Ca tue ce truc, c'est génial, le dispositif, les voix toutes parfaites et claires, cette distance et cette intimité dans de brefs échanges. Et le fait que t'as pas envie de jouer au club game si c'est pour jouer avec des règles aussi débiles

Excellent doc en effet, le mec est à la fois immédiatement détestable et fascinant par son petit pouvoir ridicule. Et ce monde de la nuit, tellement ridicule, tellement superficiel, c'est assez génial à voir.

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CroqAnimement votre

Présentation édulcorée d'un métier. Mais la réalité n'est sans doute pas compatible avec les contraintes d'un documentaire. Bon titre, ceci dit

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Tennis de Table Bordeaux

Dieu sait que ce n'est pas mon monde, mais je vous trouve bien emportés (et aigris). Ce n'est un "petit monde" que pour ceux qui ne veulent pas se donner la peine de voir plutôt un ensemble d'invididus bien différents qui cherchent simplement à passer la nuit dans un endroit qu'ils apprécient. Après, qu'on soit pathétique avec quelques verres dans le nez, c'est pas nouveau - mais détestable, non. Vous réagissez comme ceux qui critiquent le "petit monde du cinéma", comme un tout uni et individisible.

Ah non mais moi je le déteste pas, il me laisse plutôt indifférent. Mais là il y a le côté boîte parisienne branchée où on vient se montrer (les mecs qui annoncent direct où ils bossent) qui fait bien pitié, l'inverse des boîtes beaufs de province (ce serait marrant de faire la comparaison d'ailleurs).

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CroqAnimement votre

Les "attends je connais Machin" ou "je bosse chez Machin", "j'ai dépensé tant ici", déso pas déso mais je trouve ça minable. Et ne sois pas naïf, "simplement à passer la nuit dans un endroit qu'ils apprécient"? Il est indéniable qu'il y a un sens à vouloir et à pouvoir intégrer cet endroit spécifique. C'est pas juste pour s'amuser, ça dit quelque chose.

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Je pense qu'on réagit naturellement comme ça quand on se fait bloquer par un videur à l'entrée. Dire qu'on connait quelqu'un à l'intérieur ou qu'on y a déjà dépensé beaucoup de thunes (pour signifier qu'on y est habitué), ce sont des arguments qui se tiennent... J'ai dû tenir le premier argument dans le passé.

Ensuite ça me parait naturel (même si c'est laid) de vouloir fréquenter des lieux où on trouve des gens semblables à soi... L'entre-soi et l'ostracisme, on les retrouve dans tous les lieux, y compris les plus pourris. Art Core fait à ce niveau une différence entre ces boîtes select et les boites beauf de provinces, pour moi elle n'a pas lieu d'être, les boîtes ont toujours fonctionné là-dessus, et en province on vient aussi en boîte pour se montrer (pour un mec qui vient presque au second degré comme Art Core, t'en as 9 qui y vont pour exhiber leur ceinture Dolce&Gabbana).

Mais arrête avec ce truc !

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Merci de me donner raison.

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Tu viens d'en assurer la pérennité.

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J'adore plein de nouvelles expressions qui arrivent dans le langage courant, mais elle-ci, elle est immonde. C'est gogol au possible.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Je suis d'accord dans le fond mais là il est indéniable qu'il y a une attitude urbaine d'un milieu plutôt élevé (ou qui prétend l'être) qui respire la suffisance. La pauvre meuf qui dit "demain je vais appeler untel et untel" parce que le mec veut pas la faire rentrer c'est pathétiquement drôle mais ça témoigne bien de quelque chose.

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CroqAnimement votre

Moi c'est la formule originale ("Désolé mais [insérer ici argument contredisant l'interlocuteur]") que je trouve ridicule. L'excuse n'a pas de sens.

En vrai, je l'utilise rarement. Là c'est un hasard.

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Ben tu t'excuses de contredire quelqu'un.
Mais sinon, j'ai rien contre l'idée de l'expression, mais en application, c'est laid putain.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

"Tant que c'est pas Sarkozy", réponse géniale du videur
Matté que des bouts pour le moment mais je suis déjà à fond sur le dispositif, je regarde ça dès que je peux.