Forum de FilmDeCulte

Dix 6/6 !

*ouais j'avais envie de te lécher le cul*

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C'est pas tous les jours !

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N'écoutez pas Film Freak

A mon tour de modifier mon topten

On vire le maître Cameron, le père Scott, le monde burtonnien, les délires de Fincher, Singer et *my God* même Spielberg. A l'origine, en voyant ma précédente liste je me disais que je ne changerais rien, puis j'ai décidé d'y aller avec le coeur tout simplement.
Apparemment dans le mien, c'est Malick qui se dresse en haut du panthéon.


1. Ligne Rouge, La – Terrence Malick
2. Nouveau Monde, Le – Terrence Malick
3. Bienvenue à Gattaca – Andrew Niccol
4. Autres, Les - Alejandro Amenábar
5. Elizabeth - Shekhar Kapur
6. Petite Sirène, La – John Musker & Ron Clements
7. Moulin Rouge! – Baz Luhrmann
8. Prestige, Le – Christopher Nolan
9. Seigneur des Anneaux, Le (saga) – Peter Jackson
10. Fountain, The – Darren Aronofsky

Pas encore posté ici.
Alors, avec un film par réalisateur :

Le bon la brute et le truand de Leone.
Pulp Fiction de Tarantino.
Casino de Scorsese. Ou Raging Bull ?
L'ultime Razzia de Kubrick. Ou Dr. Folamour ?
Psychose de Hitchcock.
Le Parrain de Coppola.
Hana-Bi de Kitano.
Exilé de To.
Les sept samouraïs de Kurosawa.
Et puis allez, Les Fils de l'Homme de Cuaron. Parce que je l'ai revu y'a pas longtemps et que ça m'a encore scotché

Résultats mis à jour en première page...

Sinon, quelques données sur les réalisateurs et sur les pays...

Les réalisateurs

2 metteurs en scène ont 4 films dans le top de la première page (c'est-à-dire les films cités au moins deux fois) : Sergio Leone et Steven Spielberg. Leur filmo n'a pas la même taille et donc, on peut noter que Leone a presque tout ses films dans le top...

Kubrick et Coppola, 3 films dans le top.

Bresson, Godard, Hitchcock, Lynch, Malick, Mann, Peckinpah, Scorcese, Singer, Stone, Tarantino et Weir : 2 films dans le top...

Pour les pays : sur les 67 films retenus dans le top (car cités au moins deux fois) :

Etats-Unis : 46 films
France : 6 films
Italie : 5 films (dont 5 avec des acteurs américains, et 3 avec une coproduction US)
Japon : 4 films
Allemagne : 2 films (dont un en coproduction avec l'URSS)
Royaume-Uni : 2 films (dont un en coproduction)
Australie : 1 film

Première apparition d'un film d'animation dans ce top avec Mon voisin Totoro de Miyazaki.

Coucou tout le monde, voilà quelques films que je trouve incroyables :

- KISS KISS BANG BANG :
Réalisateur : Shane Black
Année : 2005
(Excellent film, pas si facile à cerner la première fois mais terriblement bien. Conseil : à regarder à plusieurs !!! fou rire garanti !)

- Hard Candy :
Réalisateur : David Slade
Année : 2006
(Excellent thriller qui nous tient en haleine jusqu'à la fin, mais ATTENTION, il ne faut absolument pas lire le résumé ou de commentaires avec de le voir, au risque d'être moins surpris par le film...)

- Memento :
Réalisateur : Christopher Nolan
Année : 2000
(excellent film, un film à l'envers, difficile à comprendre/cerner du premier coup, mais résultat efficace ! )

- Battle Royal
Réalisateur : Kinji Fukasaku
Année : 2000
(Aie Aie Aie...humour noir japonais; un jeu, auquel aucun élève ne peut s'y soustraire, 10 règles, un but : être le dernier survivant ... à voir !)

- Snatch
Réalisateur : Guy Ritchie
Année : 2000
(Aucune présentation nécessaire à faire à ce film très connu, mais à voir absolument une fois dans sa vie ! A la fin, on est sur le cul ! )

- Trainspotting
Réalisateur : Danny Boyle
Année : 1996

- Hooligans
Réalisateur : Lexi Alexander
Année : 2004
(Vous ne regarderez plus les hooligans de la même manière...)

- Layer Cake
Réalisateur : Matthew Vaughn
Année : 2004

Sinon en vrac y a aussi : Match point, Lord of War, le voyage de Chihiro, la haine, les rivières pourpres, requiem for a dream, Las vegas parano, etc....
Voilà ! J'espère que ces films vous plairont autant qu'ils m'ont plus ! A+

Tu as oublié "le plus beau film du monde".

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Que lire cet été ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

LOL... La Forêt de Mogari of Course ! Putain quel caca nerveux pour ça

Pim, pam, poum,
Voilà mon top, en guise de présentations...

1 Mulholland Drive (David Lynch, 2001)
2 2001, l’odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1968)
3 Céline et Julie vont en bateau (Jacques Rivette, 1974)
4 Lost Highway (David Lynch, 1997)
5 The rocky horror picture show (Jim Sharman, 1975)
6 Shining (Stanley Kubrick, 1980)
7 Devdas (Sanjay Leela Bhansali, 2002)
8 Les dents de la mer (Steven Spielberg, 1975)
9 Le rayon vert (Eric Rohmer, 1986)
10 Tout le monde dit « I love you » (Woody Allen, 1996)

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Liza says "Don't drop bombs!"

En fin de semaine, je mets à jour...

Très narcissiquement, ce merveilleux top retrace mon histoire personnelle du cinéma à moi du temps d'une faille temporelle. Une grande partie de ma cinéphilie s'est construite là, entre un Grosquik et deux Balisto.

Le Nouveau Monde (Terrence Malick, 2005)
Parce qu'un film pour lequel on chiale 45 minutes non stop derrière un cyprès après la dernière note du générique, c'est suffisamment rare pour le signaler. Je crois que je n'ai jamais autant pleuré pour un film, pendant et après et bien après (même le déluge post-traumatique du Tombeau des lucioles, c'est du pipi de Félix le chat à côté). Je ne l'ai pas revu depuis. Je crois que j'en parlais mieux à sa sortie.

Barry Lyndon (Stanley Kubrick, 1975)
Découvert sur Canal+, en même temps que L'As des as et Cabou-Cadin. Etrangement, je trouvais le film très accessible, ça a dû me rendre plus intelligente. Plus que l'histoire, la lumière, les costumes, les acteurs, la réalisation (qui ont pris une dimension quasi surnaturelle lors de la re-re-re-re-re-re-revoyure au Max Linder), j'aimais le film pour sa musicalité, ses silences, ses ellipses, sa cadence très solennelle et cette voix off monocorde et pincée dont je ne saisissais pas l'ironie. Et puis pour le trio de Schubert et la Sarabande que j'ai longtemps massacré au piano.

Excalibur (John Boorman, 1981)
Découvert sur La5, en même temps que Youpi l'école est finie et les JT de Marie-France Cubada. Le film réunit quelques grandes passions (la mythologie, la Table ronde, l'ordre chevaleresque et son cortège d'enchantements et de maléfices...), je l'aime donc passionnément, aveuglément. C'est ce film qui m'a fait aimé Conan le barbare, Le Seigneur des anneaux, Beowulf... Je n'ai jamais osé disséqué cet amour révérencieux. Même aujourd'hui, je regarde le film avec un implacable premier degré, je vois à peine le surjeu de Nigel Terry, je déteste à peine Nicholas Clay en Lancelot (mais j'aimais déjà Helen Mirren en sale traîtresse). Et l'épilogue me transporte jusqu'en Sibérie.

The Blade (Tsui Hark, 1995)
Un film qui déchire. Il y a toujours quelque chose qui me chiffonne chez Tsui Hark (trop long, trop court, trop bancal, trop emphatique, trop gonflant, trop graisseux...). Mais ici, c'est l'équilibre miraculeux au milieu du chaos. Tout est amputé, morcelé : l'identité du héros, l'épée brisée, le bras manquant, le manuel de kung-fu incomplet, le montage disloqué et cet hallucinant rythme effréné... J'aime la brutalité toute sophistiquée de la mise en scène, ses coups d'éclat permanents, j'aime l'extrême stylisation des combats, j'aime la manière dont tout est balayé, lacéré, filmé au ras du sol, de la boue, des tatouages, des peaux brûlées, des débris, des cadavres.

L'Homme de la rue (Frank Capra, 1941)
Découvert dans le Ciné-Club de FR3, en même temps qu'Il était une fois la vie. A voir pour Gary Cooper en ingénu immaculé, pour Barbara Stanwyck en journaliste vénale, pour l'intrigue ficelée comme un bon rôti, pour le rythme haletant, pour l'éloquence, l'arrivisme, la manipulation, le pouvoir des médias, les anges et les démons, les imposteurs, les chipies, les clodos sceptiques, les gentils citoyens gonflés d'espoir, les contes de Noël et les suicides à l'Hôtel de ville. Un "Yes we can" avant l'heure.

Suspiria (Dario Argento, 1977)
Alice au pays des ogres. Les plus belles morts du cinéma en jaune fluo, rouge vermillon, et bleu cobalt. Un film qui ne lésine pas sur les barbelés, les stridences et les yeux écarquillés. Un film à écouter (BO fantastiquement glaçante). J'ai toujours été sensible aux environnements de jeunes filles en fleur sous Lexomil (Pique-nique à Hanging Rock, Virgin Suicides...) et toutes les histoires de pensions un peu glauques (même Saint-Ange ne m'a pas déplu). Je crois que depuis la lecture de Jane Eyre, c'est ce qui me terrifie le plus au cinéma.

Porco Rosso (Hayao Miyazaki, 1992)
J'aurais pu citer toute la filmo, notamment Mon Voisin Totoro et Le Château dans le ciel. Mais celui-là synthétise bien tout ce que j'aime chez Miyazaki : la solitude, l'exil, la mélancolie, la vie antérieure, les réminiscences, l'envol, l'émerveillement. Et puis les confidences nocturnes, le cimetière sous forme de voie lactée, le baptême de l'air de Gina, le petit jardin secret, et la partition d'Hisaichi. Et puis un Miyazaki ça rend heureux.

Sueurs froides (Alfred Hitchcock, 1958)
Pour le détail imperceptible, pour le chignon, pour la spirale, la duplicité, le ressassement, l'obsession maladive, la chute... Et pour des banalités que je vais vous épargner.

Lost Highway (David Lynch, 1997)
J'aime autant Elephant Man et Mulholland Drive, mais celui-là m'angoisse, me tétanise, me résiste, me sidère, me subjugue, me laisse perdue et sans voix.

Les Affranchis (Martin Scorsese, 1990)
Je ne l'ai pas revu depuis longtemps, mais pendant longtemps je l'ai regardé religieusement, quasi quotidiennement. Comme un cercle vicieux, une boucle hypnotique, quelque chose de magnétique et d'obsédant... comme une vieille camée. Quand je repense au film, je vois immédiatement la gueule livide de Ray Liotta et ses yeux exorbités. Et c'est à peu près l'état dans lequel je regardais ce film.

Bon, je me suis peut-être plantée de topic.

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Yuddirladada part en rando

Bon, pourquoi ? C'est exactement le genre de post qui correspond au topic...

Ouf.

Tu l'aimes mon top hein.

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Yuddirladada part en rando

Euh... Je dois avouer que Kubrick a une nette tendance à m'emmerder (en particulier Barry Lyndon) ; que, de Malick, je n'ai vu que La ligne rouge, et c'était très soporifique (voix off insupportable)...

Le reste, ça va...

Attention Azuma...

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