Forum de FilmDeCulte

Le truc, c'est que je sais vraiment pas comment interpréter cette fin. Autant, c'est clair qu'elle implique de continuer à se détacher de ses illusions, mais je me demande si le parcours sur la montagne ne fait pas pour le coup partie de l'illusion elle-même...
Un peu poussif, peut-être, mais pour moi, c'est le seul moyen de sauver le film...

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Bah non, il aurait pu nous révéler le secret de l'immortalité cet imposteur!

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Surtout qu'on le connait déjà le secret.

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Dis moi tout, maître.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Pour moi, c'est un film qu'il faut voir en salle.

Ouais bon bah ça sera tout pour moi hein.

Plus digeste qu'El Topo, tout du moins plus cohérent et mieux structuré, La Montagne Sacrée confirme que je préfère quand Jodorowsky s'adonne à l'imagerie onirique - ce film-ci comporte sans doute ses plus beaux tableaux, globalement tous regroupés dans la première moitié du film cela dit - qu'à la critique sociale, qui passe par une peinture grossière d'à peu près tout.

Une main lourde que l'on retrouve ailleurs également et qui a tôt fait de me souler (quand à la fin le mec dit à la meuf "Frotte ton clitoris contre la montagne, offre-toi à elle" ou un truc comme ça, j'ai ri et soupiré simultanément en mon for intérieur) et qui m'empêche de faire quoi que ce soit d'autre que de regarder ça de l'extérieur, intrigué par la reproduction de trips hallucinogènes à l'écran mais jamais enivré par l'expérience.

Et comme la spiritualité (du film) glisse sur moi comme autant de balivernes...

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Ci-git la rétro Cronenberg.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Non je l'ai maté tout seul hier ça.

La rétro Cronenberg, on a failli la réactiver tout à l'heure mais on a préféré mater The Dark Crystal.

Et on allait enchaîner avec Labyrinth mais ça sera Don't Look Now à la place.

#questiondefeeling #coupdepoker

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Mouais! C'est le troisième Jodo que je regarde, j'avais suradoré Santa Sangre qui derrière ses délires visuels était vraiment touchant, un peu emmerdé devant El Topo et là c'est mieux mais j'ai un peu tendance à trouver le film vain.

OK il est admirable dans tous les délires visuels qu'il propose, l'imagination de Jodo est folle, mais ça s'arrête là. Je trouve les 108 minutes un peu longuettes et le film aurait gagné à être resserré. Et puis cette fin, je la trouve nulle et comprends mal la branlette dessus. Plus que chercher un sens, c'est plus du foutage de gueule style "je sais pas comment finir mon film" et ça tombe totalement à l'eau.

Après je comprends que le film soit culte par l'imagerie onirique unique qu'il propose mais bon 108 minutes de tableaux surréalistes qui manquent de rythme.

4/6