Forum de FilmDeCulte

Une filmographie malheureusement bien courte

À propos de Nice (1930)

La Natation par Jean Taris ou Taris, roi de l'eau (1931)

Zéro de conduite (1933)

L'Atalante (1934)

Zéro de conduite (1933)
Film ovni, onirique, surréaliste, anarchique. Total enchantement.
6/6

L'Atalante (1934)[/quote]
Souvenir plus diffus, mais souvenir d'un immense Michel Simon et d'un côté naturaliste très avance sur son temps.
5/6

Même notes que Lohman.

Zero de conduite, ça me fait penser légèrement à Suspiria.
Par contre l'Atalante je ne qualifierai pas ça de naturaliste.

Je ne dis pas que c'est naturaliste, mais qu'il y a un côté naturaliste, un peu comme dans Casque d'Or de Becker.

Immense Jean Vigo. J'aime tout de lui.

À propos de Nice (1930) : 6/6

La Natation par Jean Taris ou Taris, roi de l'eau (1931) : plus anecdotique mais plaisant.

Zéro de conduite (1933) : 6/6

L'Atalante (1934) : 6/6

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CroqAnimement votre

J'ai vu A propos de Nice mais je ne m'en souviens plus (ni de ce que j'en avais pensé).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

A propos de Nice : 4,5/6
Taris, roi de l'eau : ça ne se note pas vraiment
Zéro de conduite : 6/6
L'Atalante : 5,5/6

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A propos de Nice : 5/6

Les premières séquences laissent craindre un documentaire plan-plan et régionaliste, mais le film prend progressivement beaucoup plus d'ampleur, et j'ai été étonné par la puissance d'évocation et la modernité du montage souvent intactes. C'est une sorte de chaînon manquant entre l'esthétique soviétique et la fibre plus subversive du premier surréalisme, avec un propos politique encore plus anar et populiste. Le raccord entre le carnaval et la parade militaire ou l'enterrement en accéléré, qui décrit un serpent urbain, sont visionnaires.
C'est un cinéma qui charrie quelque-chose d'archaïque en même temps qu'une capacité perdue à capter, pour le transfigurer, le réel , comme si l'opposition entre documentaire politique et film d'art était l'effet d'une réaction venue après-coup.

Je ne savais pas que Boris Kaufman était le frère de Dziga Vertov puis, plus tard, le caméraman d'Elia Kazan et de Lumet Politiquement très intéressant tout ça.
Il a aussi participé à un film de Samuel Beckett (avec Buster Keaton).

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Je suis passé à coté de l'Atalante, je ne me souviens que dun SImon insupportable (et incompréhensible).. faut que j'essaie les deux autres.

Pareil.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Oui, sa performance est comme un gros pain dans la gueule. Il joue un personnage fini à la pisse mais mène le film à la baguette. J'ai adoré alors que je pensais que le film serait une croûte.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Huhu.

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