Forum de FilmDeCulte

* 1981 : Piranha 2 : Les Tueurs volants 1/6
Rien à dire. Grosse daube...

* 1984 : Terminator (The Terminator) 5/6
Sommet d'un genre, mais pas sommet du 7ème art.

* 1986 : Aliens le retour (Aliens)
La version courte : 3/6 - La version longue : 5/6 (la fin interminable est regrettable)

* 1989 : Abyss (The Abyss) 2/6
Carton patte et situations ridicules...

* 1991 : Terminator 2 : Le Jugement dernier 3.5/6
Sympa, mais sans surprises.

* 1994 : True Lies 2.5/6
Amusant mais n'a rien pour rester en mémoire.

* 1997 : Titanic 6/6
Le cinéma a changé d'ère avec ce film. Une grande réussite.

Je n'en ai vus que quelques uns:

The Terminator: 5/6 (je l'ai vu après Terminator 2, qui a été une grande découverte)

Abyss: 5,5/6 J'aime cette ambiance particulière du monde sous marin; un Jules Verne moderne.

Terminator 2: 6/6 Extra! la brute mécanique qui s'humanise, la poursuite à moto, le monstre mercuriel.. et même la fin sympa.Mon préféré...Le début est un grand moment, tout en fait!

Titanic 4,5/6 plus conventionnel et moins surprenant, evidemment, même si c'est bien ficelé.

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Preso en la carcel del amor oscura

The Terminator (Terminator, 1984)
4.5/6 d'après mes très vagues souvenirs, j'ai toujours préféré le deuxième.

Terminator 2: Judgment Day (Terminator 2 - Le jugement dernier, 1991)
6/6. Grand film de mon enfance. Vraiment le spectacle total, je l'ai revu il y a pas si longtemps et ça marchait encore à mort sur moi.

True Lies (True Lies, le caméléon, 1994)
5.5/6. Le Schwarzie-movie dans toute sa splendeur, vraiment c'était le pied. Un des films fétiches de mon enfance (oui j'étais fan de Schwarzie!).

Titanic (1997)
4/6. C'est long quand même, mais ça reste sympa (peu de souvenirs aussi).

Avatar (2009)
Je sens que ça va être tout ou rien celui-là.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

The Terminator (Terminator, 1984): excellent film, très série B dans l'esprit. A mon avis son meilleur film.

The Abyss (Abyss, 1989)
film ambitieux auquel il manque une ligne directrice forte. Souffre d'un trop-plein. Mais y a de belles choses qui me rendent ce film attachant, la trop rare Mary Elizabeth Mastrantonio en premier lieu. Y a des séquences magnifiques entre elles et Ed Harris qui m'ont rappelé les poèmes d'amour fou de Borzage. Ca n'est pas rien.

Terminator 2: Judgment Day (Terminator 2 - Le jugement dernier, 1991)
ce film m'avait déprimé comme pas possible quand je l'ai découvert il y a bien longtemps. Ce parfum d'apocalypse m'avait laissé une empreinte durable, même pas vraiment liée au film je pense, celui-ci a sans doute joué le role de déclencheur quelque chose de plus profond. revu des passages à la télé, c'est plus grossier que le premier et ça donne un peu trop de leçons par rapport au premier mais les scènes d'action poutrent. c'est une des seules fois où j'ai été scotché par les effets spéciaux d'un film aussi.

True Lies (True Lies, le caméléon, 1994)
souvenir d'un truc ultra-con et ultra-jouissif. je sais pas si je tiendrais aujourd'hui sur toute la durée du film.

T2 3-D: Battle Across Time (1996)
Fun mais ça vaut pas Retour vers le futur dans le même parc.


Titanic (1997)
Revu il n'y pas si longtemps que ça et ça tient la route grâce à un scénario d'une précision ahurissante. Bon, les stéréotypes sont ultra-caricaturaux, l'histoire d'amour est niaise, la mise en scène a parfois la finesse d'un pachyderme mais on ne s'ennuie pas une seule seconde pendant les trois heures et quelque tellement c'est bien ficelé, bien agencé. Et bien interprété aussi.

bref, j'aime bien ce gars.
Un savoir-faire exceptionnel au service d'une vision du monde d'adolescent. Je souhaiterais qu'il se comporte un peu plus en exécutant et un peu moins en Ôteur. mais c'est mal barré.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

The Terminator (Terminator, 1984)
Découvert récemment et adoré. Le contraste entre le peu de moyen et tout ce que le film provoque tant dans l'ampleur de l'univers que l'on devine que dans le croisement horreur/action/SF, c'est vraiment la grande classe. Si tous les autres films Terminator tiennent, c'est essentiellement en récoltant ce qu'a semé celui-ci.
5/6

Aliens (Aliens - Le Retour, 1986)
Revu il y a peu, et c'est une sacrée bombe. Niveau SF/action, je ne crois pas qu'on ait fait mieux depuis. Cameron a un talent certain pour planter les mythologies et c'est vraiment l'as du hors-champs (des chiffres qui défilent sur un écran suffisent à nous mettre dans un état de panique totale). Ce que ce mec a pu créer avec si peu (six aliens, pas un de plus !), c'est de la folie. Je trouve en outre que cette thématique de la mère donne au film une grande densité. Et puis le cadeaux geek final, la cruauté du film, l'inventivité de l'arsenal militaire futuriste... c'est le pied absolu. Y'a clairement un héritage des classiques de la série B chez Cameron, qu'il a su faire fusionner avec l'évolution technologique du cinéma. Je regrette beaucoup qu'on ait perdu aujourd'hui cet esprit très artisanal dans la conception des blockbusters. Y'a encore un peu de ça chez Raimi, de moins en moins chez Spielberg, et plus du tout chez Lucas...
5/6


The Abyss (Abyss, 1989)
Trop peu de souvenirs, si ce n'est une belle émotion à la fin. Trop juste pour noter. A revoir d'urgence donc...


Terminator 2: Judgment Day (Terminator 2 - Le jugement dernier, 1991)
Revu récement. C'est très sympa, y'a plein de trucs qui marchent (comme la relation John/T800) et des scènes d'action qui déboitent. J'aime bien aussi l'utilisation des trucages high-tech dans un esprit très série B. Après je trouve le film un peu trop adolescent dans sa façon de traiter ses thèmes. Et puis le surplus de moyen m'impressionne beaucoup moins que l'inventivité de Cameron avec trois bouts de ficelles...
4/6

True Lies (True Lies, le caméléon, 1994)
Vraiment très fun et décomplexé. Je me suis franchement marré à certains passages.
4/6

Titanic (1997)
Pas revu depuis sa sortie (le jour même, donc bien avant tout le ramdam my-heart-will-go-onesque), où le film m'avait grave fait chier, noyé que j'étais dans sa guimauve, ses stéréotypes et ses considérations sociales pour attardés mentaux.
Mais bon, je lui redonnerais bien sa chance aujourd'hui...

Avatar (2009)
Je suis partagé entre l'envie de retrouver Cameron et l'indifférence absolue que me provoque la BA et son univers. On verra bien...

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N'écoutez pas Film Freak

?


J'aimerai bien savoir en quoi, concrètement.

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Je me fais un peu chier, donc zyva pour un top Cameron...

The Terminator (Terminator, 1984) 4/6
Plutôt fascinant même s'il a mal vieilli...

Aliens (Aliens - Le Retour, 1986) 2/6
Je dois être le seul foruméen à ne pas aimer... et j'avoue que ça me rend triste. Dans sa version longue, c'est un film trop long trop bourrin trop bons sentiments. Même dans l'action il y a un trop-plein. Je comprends toujours pas comment on peut regarder des chargeurs de mitrailleuses automatiques se vider avec intérêt. Je sauve l'intro du film (bel hommage à 2001) et le duel final, dantesque.

Terminator 2: Judgment Day (Terminator 2 - Le jugement dernier, 1991) 4.5/6
Dans son genre, un film impressionnant.

True Lies (True Lies, le caméléon, 1994) 4.5/6
Alala, film d'enfance maté pas mal de fois, True Lies est jouissif de bout en bout, et allie parfaitement humour et action. Le couple Schwarzie/Lee Curtis fonctionne à merveille.

Titanic (1997) 3/6
Je ne déteste pas le film, je le trouve pas mal foutu sur de nombreux points. Ca se suit bien, la scène du naufrage est impressionnante. Mais c'est une grosse machine à la sentimentalité d'ado assez exaspérante, et qui incarne bien les limites d'un réalisateur certes habile mais qui n'a pas grand chose d'intéressant à dire sur la réalité.

Du genre ?

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Les gentils pauvres qui savent faire la teuf et les méchants riches tout coincés du cul.

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N'écoutez pas Film Freak

Oui enfin c'est pas n'importe quels riches qu'il nous montre, mais sinon oui, y a quelques petits trucs trop faciles comme ça. Enfin c'est pas le premier cinéaste à caricaturer les riches et les bourgeois, c'est ce que fait Oliveira dans son dernier film également, d'une manière bien plus convaincante, je te l'accorde.

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Tu veux vraiment discuter avec moi en comparant le discour social de ces deux films ? Ou t'a juste envie que je te fouette grosse salope ?

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N'écoutez pas Film Freak

Et pourquoi pas ?



Et pourquoi pas ?

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Parce que ça va te faire mal.



Parce que ça va te faire mal.

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N'écoutez pas Film Freak

Mais non, ça me ferait mal si je voulais placer Cameron au dessus de Oliveira au final de cette conversation, ce qui n'est absolument pas le cas, tu le sais, et je ne comprends même pas que tu puisses en douter.
Je trouvais juste intéressant de rapprocher deux formes de caricatures, plus ou moins assumée chez l'un ou chez l'autre. Quand je lis Oliveira parler de "phénomène qui affecte l'âme des riches", je me dis que parler de caricature et de généralisation concernant ses films récents ce n'est pas une fabulation.
Je voulais juste discuter ciné, mais j'ai dû oublier où je me trouvais.

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Je ne pense pas qu'il y ait de la caricature chez De Oliveira _du moins son dernier film relève-t-il d'un certain héritage romanesque_ mais je reste persuadé que sa vision du désir bourgeois est extrêmement juste. Tandis que Cameron, comme 99% des cinéastes hollywoodiens, je le crois juste totalement dénué de sens social. D'où sa vision caricatural (ou plutôt grotesque) des choses.

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