Forum de FilmDeCulte

De tête y a NIXON, sinon récemment FAIR GAME, CONVICTION, l'autre jour j'ai maté THE SPECIAL RELATIONSHIP (sur Blair/Clinton) et y a ça.

C'est vrai que c'est un truc assez répandu récemment.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Tu quoque fili?

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Milk aussi parmi les film récents.

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There is no such thing in life as normal

Ah siiii... et la fin est tellement émouvante qu'il passe encore bien, cuilà..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

J'ai pas encore vu le film, mais j'en ai déjà marre des gens qui l'appellent LES INTOUCHABLES.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

D'ailleurs soit dit en passant, je trouvais déjà le titre un peu chelou avant de voir le film mais même après je le comprends toujours pas. Intouchables dans le sens où ils sont dans leur "délire" ? Vraiment pas terrible.

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CroqAnimement votre

Un peu HS mais je comprends toujours pas non plus le titre "Restless".

Bonne idée, n'empêche!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Une explication peu convaincante, là :

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CroqAnimement votre

Intouchables au sens indien. Tous deux sont des exclus, comme des hors castes, à l'image des intouchables en Inde.

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Tennis de Table Bordeaux

J'ai pas vu le film mais de l'extérieur j'ai l'impression qu'ils sont "intouchables" parce que c'est des mecs à la marge de la société - handicapé, racaille - mais qu'après leur bonne humeur/joie de vivre/leçons tirées grâce au scénario les aident et font d'eux des mecs "hors d'atteinte". Et après ils balancent Frank Nitti du toit.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'ai pensé tout pareil. Même la ref geek.

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oui, le terme indien était évidemment un moyen d'introduire cette métaphore. Même principe que Les Puissants, mais avec un double sens qui tombe à pic. C'est quand même le message du film. Du moins c'est ce que j'ai pensé en voyant l'affiche.

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Tennis de Table Bordeaux

Je rejoins l'ambiance générale: c'est très sympa. C'est calibré, c'est vraiment une formule éculée (deux mondes totalement opposés qui se rencontrent - le fait d'avoir choisi un noir bien noir plutôt qu'un beur accentue ça encore plus), mais ça fonctionne bien. C'est prévisible, il n'y a pas beaucoup d'histoire et ça fait un peu suite de sketches, parfois, mais la drôlerie de certaines scènes (et de ceratines vannes sur les handics) et le capital sympathie du duo emporte la mise. On passe un bon moment même si, à la fin, je n'ai pas pu m'empêcher de penser "ah bon ben ce n'est que ça, en fait" - à cause de ce succès démesuré.

Cluzet est bon, sans plus, Omar Sy est excellent quand il tchatche, moins quand il doit être sérieux ou émouvant.

Un 4/6 avec une petite dose d'indulgence quand même.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Le meilleur, quand un film français a un succès monstre, ce sont les petits papiers qui analysent le phénomène en le théorisant à donf :

http://next.liberation.fr/societe/01012375312-la-preuve-par-l-uf

Ici, on explique comment Intouchables va faire réélire Sarkozy, façon Les Guignols avec Chirac.

tiens, y a plus de sopalin

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I think we're gonna need a helmet.