Mon Colonel a écrit:
Canard_WC a écrit:
le problème, c'est que c'est la parole de l'un contre l'autre, c'est invérifiable, et en même temps samia est vraiment bouleversée.
pas évident à vivre ce genre de situation... on se sent bien démunis !
il est préférable que ce soit un délégué du personnel qui l'accompagne, adressez vous aux délégués.
c'était son dernier jour...
(je m'étais inscrite sur une liste pour être déléguée, mais on n'a pas gagné).
Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi il a attendu le dernier jour de travail de Samia (elle a été embauchée en mars 2007) pour lui dire que son boulot était moyen.
Je ne comprends pas l'intérêt de cette démarche.
Ensuite, s'il n'avait rien à se reprocher, pourquoi est-il sorti de son bureau peu après l'entretien avec Samia pour la "suivre" ? S'il n'avait rien à se reprocher, il serait resté dans son bureau non ? et en plus, plutôt que d'essayer de comprendre ce qu'elle lui reprochait, il a voulu la virer ilico ! si c'est pas une attitude louche ça...
Et comme je l'ai écrit, Samia était vraiment bouleversée ! on ne peut pas simuler un tel état. Ce qu'il lui a dit était suffisamment grave pour que sa première réaction soit l'incrédulité, puis l'humiliation.
pour répondre à Sim, je drais que je n'ai pas beaucoup d'estime pour cette personne car il est du genre à aller dans le sens du vent, il est toujours d'accord avec la direction, il protège ses petits intérêts personnels d'abord.
Ce n'est pas sur lui que je compterais si on (les salariés) avait maille à partir avec la direction.
A son désavantage, je dirais aussi qu'il est hypocrite et obséquieux (ce constat fait l'unanimité sur le plateau et chez le client, son surnom c'est "suce-boules" !), et qu'il a des idées "limite" sur certains faits de société.
Ce matin, je l'ai vu en grande discussion avec des collègues, il doit essayer de défendre son point de vue (Samia est une simulatrice selon lui et c'est lui l'offensé) et de faire le gentil (enfin, l'obséquieux je dirais) pour avoir l'opinion du plateau de son côté.