Forum de FilmDeCulte

J'ai 15 ans.

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Balzac m’a fait comprendre une chose : la beauté d’une femme est un trésor qui n’a pas de prix...

Bref, juste cela me tenait à coeur de dire que j'ai apprécié ce film.

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Balzac m’a fait comprendre une chose : la beauté d’une femme est un trésor qui n’a pas de prix...

LOL l'excuse bidon!!!
Tu m'aurais dit 8 j'aurais compris, mais 15, y'a du boulot hein.

Je ne veux pas faire le vilain, mais regarde ne serait-ce que dans ta signature: "gisés" au lieu de "gisaient", "ideuses" pour "hideuses", et et je ne parle pas de ton message...

Bref, tu viens donner ton avis, c'est cool, et je ne veux pas te couper dans ton élan, mais relis-toi, et demandes-toi un minimum si ton message sera agréable à lire.

Bon, bienvenue cependant.

(Raah, je reconnais, j'ai honte )

Et merci.

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Balzac m’a fait comprendre une chose : la beauté d’une femme est un trésor qui n’a pas de prix...

L'habituelle contextualisation pré-avis de Film Freak : Pas lu le bouquin, je suis assez indifférent au personnage de Begbeider mais il m'intéresse et ça fait un moment que je veux lire ce qu'il fait, quant à Kounen, je mets 4/6 à Dobermann dont j'aime bien le délire trash outrancier et 2/6 à Blueberry dont j'aime pas le délire psychédélique et chiant et pour ce projet, le teaser me laissait craindre le pire, la bande-annonce m'attirait par contre et au final...

...bah j'ai trouvé ça sympa pendant un bon moment.
Dès le départ, je comprends les avis allergiques de certains. Y a un côté très Dobermann justement, ou ce que j'ai cru comprendre de Begbeider, le côté gamin et le côté poseur, tous deux quelque peu mégalo, alliés l'un à l'autre.

Avec ses trucs débiles (les rails de coke en "666" qui deviennent ensuite "99F", le sperme sur la page avec le chat, etc.), ses caméos triples (ok, c'est quand il badde, super la justification), ses partages en couille réguliers et auto-indulgents (Kounen faut qu'il arrête les séquences-trips, ici la scène de l'overdose ou de l'hallu), le film se décrédibilise...

Alors que le reste du temps il est au pire un sous-Fight Club (même si le réal semble l'afficher, on peut entrapercevoir durant la scène de "l'habillage" qu'un des descriptifs de fringue contient les mots "pas original" et "David Fincher", j'ai pas pu lire le reste mais ça doit dire que le procédé a déjà été utilisé j'imagine), au mieux une succession de saynètes qui semblent marcher sous forme de sketches ou de courts métrages auto-contenus (la démo chez Madone, la "bouse de dernière minute", etc).

Même si parfois trop longs (les flashbacks "branlette" et "découverte de pubs '80s au cinéma s'étirent grave alors qu'ils sont foncièrement pas longs...un comble pour un film sur la pub, censée vendre une idée en 30sec), au même titre que tout le dernier acte, la "fin n°2" (ouais trop top ton idée) qui prend dix piges et qui me fait me demander si c'était dans le bouquin tellement ça sent encore une fois le Kounen sous champi "je vis en harmonie avec les papous" de son précédent film ou de ses docs.

L'univers est sympa, j'aime bien. Le personnage aussi. C'est le genre de connard que j'aime au ciné ou à la télé (cf. Californication).

Dommage que ce qui aurait pu être une charge satirique contre la pub soit constamment parasité par des conneries qui ne mènent finalement pas à grand chose.

3/6

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Pas un sourire, pas un moment où je me dis "tiens, pas con...", pas une seule image qui mérite de rester gravée dans la rétine. Film light, creux, vulgaire, laid, convenu, facile, sans pour autant être léger, frais, sympa ou bien vu. L'illustration est correcte, et l'ambition de bas étage est compensée par un plaisir des auteurs palpable à l'écran. Mais plaisir non partagé. N'étant fan ni de Kounen, ni de Beigbeder ou de Dujardin, ça me laisse plutôt sur mes à prioris. Seul Quivrin s'en sort à la rigueur, pourquoi pas.

1,5/6

Bon les +:

- la mise en scène de Kounen
- les acteurs
- l'esthétique
- qu'il y ait un Jean-Pierre Ranu

Les -:

- le scénario le plus débile du monde qui me donnerait presque envie d'envoyer des cartons de mygales a Nicolas & Bruno s'ils n'avaient pas fait Messages à caractère informatif.
Mais dans le genre "dénonce de la pub", c'est le truc le plus attardé, le plus puéril, le plus minable et plus raté qu'il m'ait été donne de voir. Un travail de golmon.

Le film parvient quand même, étonemment, à me divertir, grâce à Dujardin, Quivrin et surtout Kounen...

2-3/6 environ.

Vu sur canal + ce soir.
Bon j'ai trouvé ça prétentieux et vulgaire (dans le mauvais sens). Enfin pas complétement, y'a des trucs quand mêmes sympa, ça ose, ça a des couilles, des moments de bravoure dans la mise en scène (moi j'aime bien les séquences trip), mais c'est quand même bien vain tout ça. Y'a des trucs qui m'ont fait rire (la vanne du test de grossesse qui sent le pipi, j'ai ri) et des trucs vraiment ratés. Et puis c'est parfois très prétentieux, comme si il suffisait de cracher pour que ça devienne une critique géniale. Non, il manque quelque chose.
Et la fin, là, c'est interdit. Et la dernière ligne de texte, les 500 milliards, ouais à la limite ok, mais la petite phrase activiste-écolo-hippie, stop.
Ca ne sonne pas très bien quoi.
2-2.5/6

Et puis sur le monde de la pub, je préfère de loin le livre D'Augusten Burroughs, Déboire. C'ets d'ailleurs la suite de courir avec des ciseaux, qui avait été en film (très moyen) y'a pas logntemps.

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Vu aussi sur canal, et à part quelques passages qui émergent miraculeusement, c'est de la caricature lourde et pas drôle. Et Jan Kounen est vraiment un gros batard de nous faire croire que son film se termine alors qu'en fait il reste 10 minutes bien inutiles.

Voilà, c'est vu. (j'avais besoin d'un film con hier soir)

Avec son habituelle maîtrise formelle, Jan Kounen réussit plutôt bien à faire passer ses intentions et à faire passer son sens du grotesque. Sauf qu'il ne sait toujours pas raconter et que son regard manque singulièrement d'acuité. Au final, tout ce délire devient particulièrement insistant dans sa volonté d'appuyer la superficialité du milieu de la pub. Cette posture désagréable de petit malin qui veut régler ses comptes, pourtant pas nouvelle de la part de Kounen, décrédibilise totalement le film.

1/6

En somme, comme disait un ami, Beigbeder n'est pas Ellis et Kounen n'est pas Fincher

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There is no such thing in life as normal

Voilà.

Et pourtant ils essayent dur...

Parait que Beigbeder a écrit une nouvelle pour un magazine, pour commenter la crise, et qu'il l'a signé Patrick Bateman...
Fallait plutôt faire une sex tape avec Laura Smet, Fred., là, tu nous aurais fait plaisir.