Forum de FilmDeCulte

Oui c'est amusant de voir les deux le même jour en fait *penser à se faire une dose de kiwis le matin*

Deutsch ist klasse, chapitre deux.

Alors c'est clair, à côté de ça, n'importe quelle messe protestante passera pour des bacchanales disco. Mais au-delà des habits austères, je trouve le film dense et intelligent dans son portrait d'une meuf toutes cernes dehors, dépression post-natale en plaques sur la gueule, intelligent dans le cheminement minutieux qu'Atef observe (autour du mari par exemple, comment on nuance le statut conventionnel du mari qui ne voit pas), et, comme Gegenüber, la façon dont le tabou rejaillit sur l'extérieur, l'impuissance et l'incompréhension traduite en rejet et en violence, des désordres hormonaux de l'une aux valeurs chamboulées des autres. L'actrice, avalée par la mer ou les bois, porte tout ça fort.

4/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Y a déjà des projos de presse pour les films de la Semaine de la Critique?

Ou de la Quinzaine aussi apparemment.

*aux aguets*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Tout à fait (bon j'ai pas de meilleure photo mais c'est vrai). Judith Engel, vue dans Le Bois lacté, Le Libre arbitre et Tatort.

Une filmo très bacchanales disco elle aussi

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Doll, it's a heartbreaking affair

up, c'est ce soir

D'accord avec Léo et Bliss. Et j'aime beaucoup l'évolution scénaristique du film, que je trouve intelligent, car reposant sur un équilibre tenu entre fragilité et remontage de pente, ce qui est tellement anti-mécanique.

Belle révélation, et encore un signe de bonne santé du cinéma allemand, après le génial "Libre Arbitre".

5/6

Ah, permets-moi de te rectifier : c'est pas Judith Engel qui joue la mère dépressive, mais Susanne Wolff.



Judith, elle joue la soeur du mari, Elise.

Et c'est sorti cette semaine dans 6 cinémas ! (dont un seul à Paris) Su-per.

Le topic des fantômes...

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On a frôlé la fissure anale...