Forum de FilmDeCulte

Moins degueu et plus gamin je pense. Mais tout aussi nase probablement.

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Oui, je voulais dire dans le genre du potentiel court-métrage astucieux avec deux ou trois bonnes idées, malheureusement étiré sur 1h30...

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Tiens ça faisait longtemps. Long shot qui devient :

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CroqAnimement votre

Ça va, y'a pas "sexe" dedans.

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Netflix les gars, Netflix.

Les Russes ne boiront pas de Coca-Cola !, comédie d'espionnage encore amusante mais un peu bâclée de Comencini, avec Nino Manfredi dans tous les plans,
s'intitule en V.O. Italian Secret Services.

On perd toute la dérision masochiste du nationalisme blessé et l'acuité politique : ces "services" etant des quatrièmes couteaux maffieux qui se subsistent par avidité, connerie, et surtout grâce à la faiblesse des acteurs historiques originaires, à la mémoire glorieuse de la résistance au fascisme. Mais surtout, il n'est nulle part question de s'opposer aux Russes ou soviétiques dans la V.O. mais au contraire à un discret complot néo-nazi qui se cache derrière un proto-yuppie en vacances. Le film est justement beaucoup moins démodé que s'il avait eu un contexte "guerre froide".
On a dû faire avec Comencini l'inverse de ce qu'on avait fait 15 ans plus tôt à Fuller pour Port de la drogue. En 1968 les communistes ne faisaient plus peur aux distributeurs français, en tout cas moins que l'extrême-droite.

Ce titre français résume, en revanche, parfaitement l'intrigue d'une autre comédie d'espionnage antérieure de 6-7 ans, située à Berlin : One, two, three de Billy Wilder, dont le titre originale est quant à lui quelque peu cryptique.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Gontrand a réussi à s’adonner à son jeu préféré (le name-dropping) jusque dans ce topic

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Putain mais masquez-le tous...

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Oh mais moi j’aime bien Gontrand. C’est même pas une critique vu que ça me fait marrer et que c’est parfois intéressant (selon le sujet).

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En plus en regardant la dernière demi-heure, il y a bien un twist mal branlé et poussif (mais donnant l'occasion de scènes drôles) qui concerne bien les russes et Coca-Cola .Du coup le titre français reste à peine moins lâche politiquement que je ne l'ai initialement prétendu, mais spoilie allègrement le film. Film retors. A côté du caractère improbable et échevelé de l'histoire, le film de Zadi est ramassé sur lui-même comme une œuvre de Beckett.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Exemple de plus

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C'est bien pour cela que je serai infoutu d'écrire un livre , à moins de passer 10 fois plus de temps pour retirer que pour mettre et finir dans la rue.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

COBWEB de Kim Jee-woon devait s'appeler DANS LA TOILE mais vient d'être rebaptisé...ÇA TOURNE À SÉOUL! (point d'exclamation inclus).

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LOL ! (point d'exclamation inclus)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ça soule.

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CroqAnimement votre