Forum de FilmDeCulte

Il n'a pas été vendu..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Contrairement aux amis du réal.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Blague à part, t'as pas aimé?
Les notes m'ont l'air assez honnêtes, quand on regarde le site de Captain.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Si si j'ai trouvé ça cool et rafraîchissant.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

ah putain merde. c'est dommage. Bon ben ce sera en VOD...

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J'ai adoré !

C'était d'autant plus touchant qu'on aime et connait bien Benjamin, et donc ça m'a beaucoup ému. Peut-être le meilleur film de super-héros réaliste depuis Incassable ? Bien écrit, très bien réalisé, avec un casting au poil et des séquences très réussies.

4,5/6

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I think we're gonna need a helmet.

Oui et c’est bibi qui s’en occupe..

A cette occasion j’ai revu le film et je l’ai encore plus apprécié que la première fois et j’augmente ma note à 4,5.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Très sympa. Superbe casting et très bonne direction d'acteurs. Sujet à la fois original et deja vu. C'est la force du film. On se dit souvent, on a déjà vu cela et puis un petit truc, un angle d'attaque fait qu'on trouve cela fort.
Mon petit bémol vient de la durée du film trop courte pour que la relation du père et du fils soit suffisamment développée pour que la scène de " réconciliation" fonctionne à fond niveau émotion.
Sinon belle réussite pour un premier film. Je vais conseiller.

Premier film d'un (ex) foruméen auquel je n'accroche pas. J'ai trouvé ça faible, beaucoup trop artificiel et surtout avec un scénario qui pour moi accumule les maladresses du premier film en voulant trop en mettre, en voulant rendre le tout parfaitement rond et au final en étouffant totalement ses personnages. Les deux versants m'ont semblé sacrifié et globalement raté que ce soit le teen movie dont la majorité des scènes auraient toutes leur place dans le topic "les poncifs du cinéma" et le film sur le deuil dont le high-concept s'évente vite et s'avère rapidement répétitif et surtout cache-misère d'une exploration psychologique du personnage quasiment nulle. Le virage limite film de genre sur la fin est d'une rare maladresse. J'irai même plus loin en disant que le traitement du traumatisme du personnage, de ses troubles mentaux, est très problématique et d'une rare hypocrisie (il faut remplacer un frère par un autre). Encore une fois parce qu'on est trop obnubilé par le fait d'écrire un scénario parfaitement rond avec ses péripéties artificielles et ses coutures de scénario tellement grossières de planting and payoff (une vidéo lambda où l'on voit le perso conduire, ce sera évidemment réutilisé à la fin, son pote lui dit un secret mais évidemment qu'il va le répéter...) et qu'on ne se laisse pas le temps de faire vivre ses personnages. C'est vraiment "le scénario de premier film pour les Nuls" avec son opposition de caractère ultra facile entre les deux frères, des symboles gros comme une maison (le blouson sérieux...) et des accumulations de choses superflues qui ne font que parasiter le coeur du film réduit à peau de chagrin.
Beaucoup de scènes pas loin d'être embarrassantes quand même comme les deux scènes qui font très "mauvais teen movie US" (quand il est à poil et la scène de course). Des trucs pour moi interdits genre on joue au basket on tombe et on se retrouve l'un sur l'autre à 5cm l'un de l'autre. Tout ça est trop factice, trop facile et manque d'organique. Et le film assume pas non plus un côté artificiel qui aurait pu le sauver d'une certaine manière. Pendant le visionnage j'arrêtais pas de le comparer à Le nouveau découvert tout récemment et qui était un peu l'inverse, une approche du teen movie sans péripéties, beaucoup plus dans la chronique simple et dans la captation de quelque chose de spontané et c'est du coup beaucoup plus réussi.

Bref pas mon truc même si le film est bien interprété (quoique je supporte pas la gueule de Benjamin Voisin), la musique est pas mal mais vraiment je trouve qu'il aurait fallu désosser le scénario, lui retirer tous ses artifices très "courtmétragistes" qui témoignent d'un manque de confiance dans ses personnages et dans son histoire qui pour moi est un peu rédhibitoire. Assez surpris parce que j'avais bien aimé la simplicité du court multiprimé du réal.

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CroqAnimement votre

Durant le film, j'ai beaucoup pensé au film Le Monde de Charlie.
Sinon, oui, Benjamin Voisin j'ai du mal, mais il joue bien le connard.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

J'avoue . Mais tant mieux que le film fasse plutôt l'unanimité ici.

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CroqAnimement votre

Those two are so gay.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Objectivement, t'as globalement raison sur tout, sauf que j'ai été très sensible aux émotions du film, et tout particulièrement au sous-texte super-héroïque, à la sincérité du projet. J'ai trouvé que dans un cadre de scénario très programmatique, propre et scolaire, Parent était parvenu à faire exister quelque chose de précieux, et à allumer une belle petite flamme passionnée. Vraiment un beau petit film, qu'on peut totalement prendre en travers de la gorge (moi perso le petit gars timide qui ne sait pas comment aborder une meuf, ça me sort pas les orbites depuis 20 ans), mais qui est tout simplement un conte mignon, malin mais sans twist, aux codes US recopiés mais digérés. Pour l'instant c'est mon film de foruméen préféré, parce que c'est très dur de faire naître des émotions, en tous cas je n'en ai pas si souvent que ça. Et celui-ci m'a ému.

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I think we're gonna need a helmet.

Tout pareil que Z.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"