Forum de FilmDeCulte

C'est pas japonais, ça doit être les maitres du temps de Laloux

Non, mais ça expliquerait pourquoi j'aimais Elton John.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ok merci de la réponse.

Né en 1980.

Aussi loin que remonte ma mémoire, elle est peuplée de films. Peu de découvertes au cinéma - la campagne, c'est vraiment la lose. Mais énorme gavage avec les diffusions télévisuelles, et surtout avec les VHS que nous avions par centaines. Des Disney, bien sûr. Des Schwarzenegger (plus particulièrement Commando...). Mais LE film que j'associe à mon enfance, c'est Les Dents de la mer. Film que je regardais invariablement les mercredis après-midi passés chez ma tante. À la même époque - comprendre : la fin des années 80 -, tournaient beaucoup Alien, Il était une fois la révolution, Le Bon, la Brute et le Truand, Terminator, les Star Wars, Shining, Predator. Je ne cite là que ceux qui m'ont durablement marqué. Sans quoi je me devrais de mentionner Rocky 3, Running Man et Double détente (inséparables dans mon esprit dans le mesure où je me faisais systématiquement le combo, les deux films se succédant sur ma VHS), ou encore Mac et Moi, cet ignoble ersatz d'E.T. Je me souviens également avoir loué au moins cinq fois Crocodile Dundee uniquement pour mater la bande-annonce d'Evil Dead 2 présente avant ce pauvre film. Et puis, à la charnière entre l'enfance et l'adolescence, deux films vus au cinéma m'ont violemment imprégné : Terminator 2 en 1991, puis Jurassic Park en 1993. Ces deux-là, je les ai attendus des mois, me matant des dizaines de fois les quelques extraits dont je disposais en K7 (pour Terminator 2, il s'agissait de la scène de l'évasion de l'hôpital psychiatrique et de celle de la poursuite dans les égouts à ciel ouvert).

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Arguing on the internet is like running in the Special Olympics. Even if you win, you're still retarded.

Ah j'ai oublié de raconter que quand j'avais 10 ans, j'avais supplié ma marraine de m'emmener voir Terminator 2... Elle a refusé. J'étais dégoûté. Je ne l'ai découvert que plus tard, quand il était dispo en location au vidéoclub..

Souvenir atroce aussi, de la même époque, d'un soir où Indiana Jones et la Dernière Croisade PASSAIT A LA TELE et mes parents voulaient regarder je ne sais plus quel débat politique... On était à la campagne donc même pas de magnéto pour l'enregistrer. J'ai sombré dans la rage et le désespoir.

Je termine par citer un autre film de mon enfance qui me vient à l'esprit, que j'adorais: Mort sur le Nil, avec Peter Ustinov en Hercule Poirot.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Plus Le crime de l'Orient Express pour moi... En 6eme / 5eme je me suis gavé d'Agatha Christie, et du coup je ne sais pas pourquoi j'avais un gros rejet d'Ustinov en Poirot (le trauma quand j'ai vu Meurtre au soleil avec une Diana Rigg atroce dedans, alors que gros fan de Chapeau Melon... déjà).

Pourquoi cette question ? Parce que je suis l'un de des deux mecs sur terre à aimer le film ?

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Netflix les gars, Netflix.

Né en 1981.

Ma toute jeune enfance n'est pas réellement marquée par le cinéma. J'y allais peu. Il en était de même pour la télévision. Mon père a cette époque préférait la lecture et il fallait si prendre 2 heures à l'avance ( de terribles supplications) pour qu'on puisse espérer voir un film ou un dessin animé à la télévision.

Mon premier souvenir de cinéma est Taram et le chaudron magique en 1985. J'avais 4 ans. Souvenir d'une séance merveilleuse. J'ai ri. J'ai eu peur. Il fallut attendre des années pour que je puisse revoir ce film qui m'avait marqué. Je me souviens des années plus tard avoir voté à une émission sur tf1 (Il fallait voter pour les extraits des Disney qu'on voulait voir. C'est la seule fois de ma vie ou j'ai appelé ce genre d'émission. J'ai désigné Taram presque impossible à se procurer à cette époque. Rien que pour revoir des images de ce métrage qui m'avait tant plu. Surtout ce personnage bien entendu.



J'ai peu de souvenir de mes autres visions de films de cette période de ma vie. Je me souviens juste du premier film qui' m'ait fait pleurer. Non ce n'est pas Bambi mais Lord Jim. La mort du personnage a été un choc pour moi. Un héros pouvait mourir.



J'ai vu aussi Mission au cinéma en 1986. Ma tante ultra catholique avait conduit toute la famille voir ce film à cause du beau principe d’évangélisation. Autant dire que le film n'était pas des plus recommandé pour un enfant de 5 ans mais je ne suis pas sur que la plus choquée de tous ne fut pas ma tante. L'Eglise ne sort pas grandie du film.



Ma culture cinéphage plus que cinéphile a réellement commencé à 7 ans. Mes parents ont divorcé. J'allais un weekend sur deux chez mon père dont l'attitude pour la télévision a totalement changé. Une télévision avec un magnétoscope a fait son apparition dans notre chambre ( mon frère de 4 ans mon ainé et moi). Tous les samedi nous allions au cinéma et les Dimanche nous regardions un ou films que mon père avait soit acheté ou loué au vidéoclub.
Le choix des films vus à cette période étaient assez aléatoires. On regardait de tout sans se soucier du réalisateur, des acteurs ou du genre de film. Si le titre ou l'affiche nous plaisaient, on prenait. On pouvait aussi bien voir un Van Hamme qu'un terminator. On a enquillé un nombre de mauvais films assez dingues à cette époque : Scorpion rouge, Double Impact, Bloodports, Over the top.





L'avantage de cette non sélection des films est qu'on regarde tout sans se soucier de savoir si c'est un film pour son âge, film intello ou non etc. On ouvre ses goûts à toutes sortes de films.


Je me souviens d'avoir regarder à 7 ans avec mon frère : Voyage au bout de l'enfer qui passait à la télévision. J'en ai fait des cauchemars durant des semaines. Étonnement pas à cause des scènes de roulette russe mais de la scène ou un des héros est enfermé dans une cage dans l'eau. On voit un rat passer. Or Steven termine en fauteuil roulant à la fin du film ( suite à une chute). Or dans ma tête d'enfant immature ( comme quoi on comprend rien quand on voit les films trop tôt), j'étais persuadé qu'il était en fauteuil car il s'était fait bouffer les jambes par les rats. C'était mon cauchemar.

Les films les plus vus à cette époque sont comme pour beaucoup :

- Retour vers le futur
- Terminator 1 puis le 2
- Starwars le trilogie ( que le je regardais dès que j'allais chez un pote au bout de la rue)
- Die Hard 1 et 2
- Total Recall.
- Indiana Jones
- Blade Runner ( le film que j'ai le plus vu)

A cette époque, le ciné est soit français soit hollywoodien. Surtout hollywoodien. J'ai 2 acteurs préférés : Scchwarzy et Harrison Ford. Je me mets à la recherche de tous leurs films.

Découverte du western avec la vision en salle de Danse avec les loups. Une claque.



A partir de 1990 : je deviens un spectateur assidu des soirées western de la dernière séance. Je découvre les films en noir et blanc et les vieux classiques hollywoodiens. Je les regarde tous mais ne retient aucun réalisateur. C'est pourtant là que j'ai découvert Anthony Mann.



Puis arrive 1992 et un voyage en Thaïlande. Un soir avec le guide local, je regarde un film dans une langue inconnue avec des sous titres en thaïlandais. Le film me tue visuellement. Il y a des scènes de fusillades jamais vu ailleurs. Je découvre qu'il y a un cinéma brillant ailleurs. Ce film j'y mettrais un nom des années plus tard lors de sa sortie française. Il s'agit de The Killer



A la même époque, mon père se crée une pièce dédiée aux films dans sa maison. Écran géant, installation sono, et aussi laserdics. Je découvre Histoire de fantôme chinois qui devient mon nouveau film préféré





En 1992 aussi : premier émoi érotique au cinéma. J'entre en douce à la séance de Basic Instinct. Mon père et mon frère allaient voir le film. Durant ce temps là, je devais aller voir un autre film passant dans le cinéma. Je me suis éclipsé en début de film pour entrer dans l'autre salle et me suis installé au fond de la salle. Qu'est ce que j'ai pu visionner ce film l'année d'après quand mon père l'acheta en vhs. Merci Sharon pour ses bons moments.



Je peux réellement mettre une année sur l'arrêt de ma cinéphagie pour la cinéphilie. Il s'agit de 1995.

La séance déclic a été Ghost in the shell. Premier film en VO. Déplacement spécial à Lille pour le voir.Plus beau souvenir au cinéma. En apesanteur durant tout le film. Je me mets en quête de la BO que je fais venir en import. J'attends impatiemment la sortie du film en video.


Allez savoir pourquoi mais c'est avec ce film que j'ai basculé dans la recherche des films en vo et la recherche de nouveaux horizons.

Découverte en 1995 de Miyazaki avec Porco Rosso et du Tombeau des Lucioles lors d'un festival à Lille. Grand choc. Je bascule dans le cinéma japonais. Découverte de Kurosawa dans la foulée à la médiathèque. J'enchaine les sept samouraï, Dersou Ouzala et la forteresse cachée grâce à la médiathèque de Lens





Découverte la même année de Woody Allen avec Maudite Aphrodite. Certainement pas son meilleur film mais c'est celui là qui m' a fait découvrir et aimer ce réalisateur. Je découvre le même jour chez un soldeur. La première folie de Woody Allen (Lily la tigresse). Je découvre les 2 composantes de ce réalisateur.





Je rattrape tous ses films grâce à la médiathèque. Je garde une préférence pour sa période comique.

La même année découverte de Sonatine de Kitano. Mon amour pour le cinéma asiatique est renforcée.



La création d'Arte en 1992 a permis la découverte de nombreux films. Notamment les King hu : Raining in the Mountain et Touch of Zen . Merci Arte



Enfin le dernier acte de ma cinéphilie et mon installation à Lille pour mes études universitaires. Je vais 2 fois par semaines au cinéma d'art et d'essai le Métropole ou le Majectic. J’empreinte beaucoup de films à la médiathèque. J'en regarde 2 par jour. Cette cinéphilie maladive provoquera même mon redoublement une année. Je ne travaillais plus assez.

A la même époque est créée la collection Hk videos dont je deviens un énorme consommateur.


Si j'ai peu d'estime pou Gans en tant que réalisateur, je lui dois la découverte ou re découverte tardive de superbes films.

Né en janvier 87.

J'ai 2 grands frères, on était abonné à canal+, on a surtout bouffé des K7 avant mes 10-12 ans et d'aller plus souvent au cinéma. Je pas vais être original en citant : retour vers le futur, star wars, indiana jones, roger rabbit, jurassic park, ghosbusters, robocop, willow, terminators, les aliens, les batman de tim burton, beetlejuice, nikita, léon, les die hard, gremlins, les y'a t-il un flic, hot shots, jack burton dans les griffes du mandarin, james bond, les arme fatale, goonies, j'en oublie sûrement pleins...

Et puis aussi les jackie chan.

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1er extrait étudié "Les dents de la mer", 1er conclusion : "On s'en fiche de la règle des 180 degrés".

Film qui m'avait énormément marqué dans mon enfance et qui fait partie d'un bon nombre de films que j'étais allé voir avec la tante d'un pote qui m'emmenait au ciné quand j'étais petit, et a commencé à emmener son neveu quand il en a eu l'âge aussi. C'est avec elle que j'ai découvert Charlie donc, que j'ai revu un grand nombre de fois en K7 ensuite, c'est avec elle aussi que j'ai découvert Chérie j'ai Rétréci les Gosses, précédé d'un court métrage en DA de Roger Rabbit.

Je commence par là, mais sinon, il y a une masse énorme de films qui ont forgé ma cinéphilie et que j'ai maté en boucle gamin.

Je suis né en 1983 donc, en Octobre.

Je ne parlais pas français jusqu'à l'âge de 5 ans et demi, et à part les Bip Bip et Coyote, je ne matais pas grand chose à la TV. C'est là que mes parents se sont pointés avec un caméscope qu'on utilisait aussi pour lire des K7 vidéos. Mes premières K7 étaient Dumbo, Merlin l'Enchanteur, Blanche Neige, Fievel, Robin des Bois, des épisodes d'Inspecteur Gadget et de Titi et Gros Minet.

Je les ai matées en boucle. Dumbo a toujours été celui qui m'a le plus plu et le plus touché, peut être parce que j'étais un peu différent des autres gamins de l'école, vu que je sociabilisais peu et parlait si peu leur langue. Encore aujourd'hui, la scène où les corbeaux se foutent de sa gueule me fout la chiale.

Ensuite, il y a eu la salle audiovisuelle de l'école primaire....

J'en parle ici: http://anotherwhiskyformisterbukowski.c ... 09/17/aie/

Il y a donc eu E.T. que j'ai vu dans cette salle, mais Roger Rabbit aussi, qui est devenu mon film favori encore aujourd'hui, Les Secret de la Pyramide qui me foutait les boules, j'avais jamais autant flippé devant un film je crois, à part peut être Taram et le Chaudron Magique.

A la maison, mon papa continuait à m'acheter des films de temps en temps, et j'avais eu Les Grandes Vacances des Tiny Toons, produit par Spielberg. Je crois que c'est la première fois que j'ai remarqué son nom, et remarqué qu'il était un peu partout.

Mon père est rentré à la maison avec un magnétoscope, je devais avoir 9 ans. C'était le soir où Indiana Jones et les Aventuriers de l'Arche Perdue passait. Je l'ai vu la première fois et c'est le premier film que j'ai enregistré. Il y en a eu plein d'autres après, j'ai découvert les Retour Vers le Futur, j'ai enregistré Roger Rabbit et Un Prince à New York.

Ces deux films sont ceux que j'ai le plus vu au monde en fait. Tous les jours, moi je regardais Roger Rabbit, et mon petit frère de 5 ans regardait Un Prince à New York. On regardait chacun le film l'un de l'autre. On a du les voir chacun plus de 150 fois, sans déconner.

Eddie Murphy en général, on aimait et on matait beaucoup, M. le Député et un Fauteuil pour Deux, on a du les voir une bonne cinquantaine de fois aussi.

Puis il y a eu Jurassic Park:



A partir de ce jour, je ne regardais plus le cinéma pareil.

J'avais un cahier, dedans, je coupais des articles et des photos et je les collais dedans, classais le tout par film etc. je l'ai fait jusqu'à mes 16 ou 17 ans je crois. C'est dingue comme à l'époque, des mag comme Picsou Mag étaient riches en infos concernant le ciné, j'avais entendu parler de Avatar avant même que Titanic sorte. Puis acheté d'autres mag, Première, SFX, etc.

Il y a eu Carpenter ensuite:



J'ai commencé à aller au ciné tout seul à un moment. Je devais avoir 14 ans. J'allais parfois aux Halles avec Film Freak, mais surtout, j'allais au ciné pas loin de chez moi, le Gaumont Alésia, celui où je pouvais aller en bus de Bagneux. Je savais déjà que j'aimais la VO et détestais voir des films doublés.

Ca tombe bien, le Gaumont Alésia, une fois toutes les deux semaines ou trois semaines sortait un film en VO, et peu importe le film, j'allais le voir. C'est comme ça que j'ai découvert Buffalo 66, Albino Alligator, Ghost Dog, Chat Noir, Chat Blanc etc.

Autre truc qui a participé à mon appréciation du cinéma, c'est quand j'ai commencé à mater des films à mon père, à lui en faire découvrir. Ca a commencé avec John Woo, il avait jamais vu un film asiatique avant, à part les films indiens qu'il voyait en Irak. C'était génial, et ça l'est toujours, de faire découvrir des trucs, des émotions au type qui m'a donné la vie. Il m'a conseillé aussi quelques films, comme Dog Day Afternoon que vous avez fait perdre honteusement, bande de bâtards, mais c'est sa vision à lui qui a évolué surtout... Quelques années avant, il n'aimait pas les films de SF, les dessins animés, etc. Aujourd'hui, il chiale devant les Pixar, Max et les Maximonstres et District 9.

Enfin voilà, désolé pour ce message (trop) passionné et hyper décousu, mais en gros, c'est les différentes étapes de mon "éveil". Et je suis content aujourd'hui, à défaut d'être scénariste (pour l'instant), de pouvoir participer en tant que prof à l'éveil de certains de mes élèves.

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Tellement d'autres souvenirs, là c'est LOIN d'être exhaustif, mais j'ai l'impression que beaucoup de moments importants de ma vie se sont passés devant un écran de cinéma.

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Né en 1990

Mes parents ne sont pas très cinéphile donc c'est grâce à la télé que je me suis fait ma culture cinématographique, quand j'ai eu mes 6 ans j'ai compris comment le magnétoscope marchait et j'enregistrais absolument tout (Tout les Jean Claude Van Damme sur M6, les ciné-dimanche et mardi de TF1) c'était un truc de dingue tout les mois mon père devait prendre 10 cassettes vierges par mois.

C'était tellement le bordel qu'ils ont du s'abonner au vidéo club du coin qui venait d'ouvrir, la aussi de la pure folie les 4 premiers films loués (Indiana Jones et le temple maudit et la Trilogie Die Hard) je pense que j'avais 7 ans mais sérieusement Le temple maudit et Die Hard 3 m'ont mis en état de choc donc j'ai demandé au gars du vidéo club de me louer tout les films réalisés par Spielberg il me passe Hook, JURASSIC PARK (état de choc) RENCONTRES DU 3eme TYPE et E.T. bon ensuite tout s'est enchaîné James Cameron, les Star Wars, les films d'action HK(LE SYNDICAT DU CRIME j'avais pleuré a la fin du film c'était la 1ere fois que cela m'arrivait), les films indiens que ma mère regardait. Tout ça c'était entre mes 6 et 10 ans mais sans déconner c'est l'une des meilleures périodes de ma vie, je découvrais tueries sur tueries après mes parents ont largement réduit ma consommation de films vu mes résultats scolaires assez nazes

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J'ai toujours rebondi. Quand j'ai fait Jet Set 2 qui a été un échec, je me suis posé des questions et suis revenu avec Camping

Fabien Onteniente, Mardi 12 mars 2013

On a donc été chacun à un bout de la chaîne, Film Freak ....

J'ai commencé à aller au ciné à 6 ans tous les dimanches après-midi et vers 11/12 ans le samedi soir en plus. Il s'agissait souvent du même film que je voyais 2 fois mais ça ne me gênait pas. J'ai donc vu tous les genres de films possibles de tous les niveaux : comédie, péplum, western, policier, cape et épée, etc. Mon père, opérateur projectionniste de formation, passionné de cinéma depuis son enfance, me racontait ses coups de coeur d'alors. Par contre, pour lui, en tant que dirigeant d'une salle de cinéma, il était hors de question d'avoir une télé à la maison. C'est de là, sans doute, que vient mon sentiment de gâchis lorsque je regarde aujourd'hui certains films à la télé, même en tenant compte du fait que le petit écran s'est pas mal agrandi depuis.
Vers 11 ans, j'ai commencé à découper et collectionner les fiches de films dans les magazines TV qui me tombaient sous la main. Je m'en étais constitué une belle collection et ça me permettait de compléter mes connaissances.
Je ne suis pas sûre d'être une cinéphile, tel qu'on le conçoit habituellement mais j'aime le cinéma et son univers.

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Ce carton qu'a du être Jurassic Park en Arménie...

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

Born in 1976

Accro à la tv au cinéma, un père qui t'emmène au cinéma dès ton plus jeune âge voir l'empire contre-attaque ou E.T....forcément ça forge un caractère et des films de chevet:

Les Goonies (que je peux regarder à l'infini)
Retour vers le futur
Labyrinthe
Dark Crystal
L'histoire sans fin
SOS Fantomes
E.T.
Gremlins

Tout ça, pleins de fois...et encore maintenant. Et encore pleins, mais ceux-ci sont vraiment mes bijoux.
PAr la suite, ayant un beau père gestionnaire d'un vidéoclub, j'ai eu l'occasion de voir des milliers de films d'horreur Z en K7 ,face à la mort, cannibal holocaust et autres. ça aussi ça a été une passion.

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