Forum de FilmDeCulte

Maté les deux premiers épisodes. C'est beau, la musique est bien, l'ambiance est appliquée, mais putain, ces deux heures là, ils auraient pu les faire en 15 minutes.

Je sais pas si je vais tenir jusqu'à la fin si le rythme reste tout mou comme ça.

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Vu les 8 épisodes.

C'est super chouette, bien joué, avec des passages de pure aventure.

L'histoire est complètement conne, mais la greffe des hommages est sympathique (ça m'a donné envie de remater E.T.)

Par contre c'est longuet, prévisible et déjà vu... mais ça m'a pas gâché mon petit plaisir d'été.

4/6

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I think we're gonna need a helmet.

Je n'aime en général pas les séries télé, dont l'intérêt se dilue quasiment toujours dans la longueur. Mais là, comme c'est court, et que le sujet me parle, j'ai tenté le coup.

Je n'ai vu que deux épisodes pour le moment, mais je trouve ça très cool jusqu'ici. C'est superbement illustré, avec un casting de haut niveau, une musique qui tue bien, et un scénario suffisamment intriguant pour tenir en haleine. J'ai pas été gêné par le rythme pour le moment, ça prend son temps pour poser les personnages et les faire exister.
Evidemment, ça n'invente rien du tout, c'est de l'hommage sans génie, mais c'est du très bon divertissement. Et ça me donne envie de revoir Super 8.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ca ne révolutionne rien effectivement mais je m'en fiche ça fait tout à fait son office, j'aime beaucoup l'ambiance et l'esthétique.
Tout est effectivement un "comme..." mais j'aime ça, on se sent directement familier.
Je serai moins unanime sur le jeu des acteurs, la grande soeur qui nous fait la biche à grosse moue j'ai juste envie de hurler quand je la vois. Eleven ça pourrait être mieux aussi je trouve.

Une saison 2 par contre me fait peur.

Ben c'est un peu le but, non ? Dans le genre ado insupportable, elle se pose là.



Là, d'accord.
Par contre, les trois autres gamins, ils sont excellents. Surtout l'acteur qui joue Dustin.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Maté 2 épisodes. J'en materai pas plus.
Sans déconner, je vous trouve d'une indulgence folle... A part la "reconstitution" des films Amblin, il y a quoi de nouveau dans cette série ?? Absolument que dalle.
Chaque élément, chaque scène, chaque perso est pompé sur l'un des films de notre jeunesse. Comme le dit Freak, on a tantôt 10 minutes tantôt 2 épisodes d'avance sur ce qu'apprennent les personnages eux-mêmes. Même le casting de gueule (bordel ils sont tous tous trop moches) me paraît ultra forcé à ce point-là. Rematez Super 8 ou même Small Soldiers, dans le même genre c'est quand même d'un autre calibre.
Non et puis surtout, encore une fois série oblige, tout est d'une LENTEUR effarante. Le nombre de séquences inutiles en 2 petits épisodes, pfoulalalalala... La meuf va acheter un téléphone, on filme le moment OU ELLE LE BRANCHE. Le mec du resto appelle les services sociaux, alors que deux scènes plus tard quand la meuf arreive IL LUI REPETE "AH VOUS ETES LA NANA DES SERVICES SOCIAUX QUE J'AI APPELÉ ? VOUS AVEZ FAIT VITE" et j'en passe. Le mot ellipse semble complètement absent de ces écritures qui font tout pour remplir du minutage. Et je parle pas de la gamine gogol qui dit un mot quand ça arrange le scénario, mais qui reste muette 90% du temps parce que sinon on comprendrait tout dès le départ. Interdit.
Même le côté "on refait les années 80" ne tient pas vraiment à fond. Ok les costumes sont biens, ok ya de la machine à fumée et des vélos... Mais chaque chambre qui a son lot d'affiches de films: paye ton décor de film d'étudiant. La zique, qui normalement devrait être orchestrale pour du Amblin, est faite avec des synthés de merde à la Carpenter, parce que c'est tendance et moins cher. Et puis mince quoi, au bout d'un moment chaque scène est tirée d'un autre film... C'est plus de la ref là, c'est juste du copié-collé honteux. "Oh, le gamin va s'exprimer à travers l'énergie de la maison ! Comme dans Poltergeist !" "Super, on a plus qu'à mentionner le film lui-même DANS LE MÊME ÉPISODE AU CAS OU UN SPECTATEUR NE PIGERAIT PAS", non mais sérieux... On est pas dans le clin d’œil là, on est dans le plagiat ridicule.
Ah sinon, même si les acteurs sont corrects, mention spéciale à Winona Ryder qui joue la détresse aussi mal qu'une comédienne de Plus belle la vie... Quelle tristesse.

Non sérieux, dans le genre "j'ai VRAIMENT digéré mes influences pour vous ressortir au moins quelque chose de jamais vu", je préfère remater Kung Fury tiens.

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Netflix les gars, Netflix.

On est d'accord. Moi je peux pas.

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Netflix les gars, Netflix.

Mais quel grincheux celui là.

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Mais grave.

Fini la saison, d'ailleurs. J'ai enchaîné six épisodes, j'étais à fond. C'est évidemment plein de défauts, mais c'est juste charmant, drôle, et frais.



C'est juste LE PRINCIPE. C'est un puzzle fait de tout un tas de films des années 80, c'est assumé à fond, et c'est juste ridicule de parler de plagiat. Cette série, c'est un peu comme un collage, et ça ne s'en cache jamais (d'où les affiches dont tu prétends qu'elles font "film d'étudiant", elles sont là pour bien te montrer le caractère assumé de l'exercice). Et c'est ça qui est bon.



Où ça, interdit ? C'est juste un peu facile, mais ça participe à la construction d'un personnage un peu autiste qui a quand même vécu 12 ANS DANS UN BUNKER.
Ca m'a pas gêné une seule seconde.



D'un côté tu te plains que ça reprenne trop de trucs de tes films d'enfance, et là, tout à coup, c'est pas assez ? Faudrait savoir.
Et je trouve la zik au poil : parfaite pour l'ambiance de la série.



Cf. plus haut. Ce n'est pas de l'hommage et du clin d'oeil, c'est du puzzle. Dans le genre, je trouve que ça marche parfaitement.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Non non. Je comprends davantage sa position que les dithyrambes.


Le grand n'importe quoi de l'argument.


C'est tolérable mais franchement facile.


Pas du puzzle, parce qu'il n'y a rien de ludique, mais du collage, comme tu l'as dit. Du copiage/collage même.

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Faut que tu revoies le sens du mot dithyrambe, là.



Non. La série est très cohérente à ce niveau-là : c'est un puzzle qui additionne des scènes du cinéma des années 80 pour créer sa propre intrigue. Les Duffer ne prétendent jamais à plus que ça, c'est très clairement montré par les affiches qui ornent les différentes chambres des personnages.
C'est un exercice de style limité, mais c'est amusant et frais.



Mais ça passe, parce que c'est cohérent avec la personnalité de la gamine, qui n'a jamais eu d'amis ou de famille. Logique qu'elle prenne du temps pour leur faire confiance ou pour s'exprimer, c'est pas comme si elle faisait ça volontairement. En plus, elle a la trouille.



C'est du puzzle, car il s'agit de faire avancer une intrigue originale par des morceaux directement empruntés au cinéma de genre. Retrouver d'où venait quoi, j'ai trouvé ça très ludique.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ça rejoint donc ce que j'ai dit en préambule: vous êtes très très indulgents.
Moi l'hommage ça me va pendant 20 minutes, sur une série entière je trouve ça assez scandaleux en fait.

J'imagine les mecs exposants leur concept :
- "alors on va refaire tous les films qu'on aime bien, pendant 6 heures d'affilée"
- "mais vous rajoutez un truc original ?"
- "ah non non. Mais on met des affiches de film pour montrer qu'on sait ce qu'on fait !"
- "génial, signez ici. Et trouvez-moi un Bontempi !"

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Netflix les gars, Netflix.

Perso j'y vois bien plus une adaptation non officielle des bouquins de Stephen King (dans la narration, la caractérisation, la structure) que des prod Amblin dont les emprunts ici sont purement cosmétiques.

J'y ai un peu pensé aussi.
Et là aussi, je me suis dit "mieux vaut relire les bouquins".

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Netflix les gars, Netflix.

Je trouve ça plutôt réussi sur ce point. Même si certaines scènes me donnent l'impression qu'elles ont été d'abord pensées pour l'écrit et non pour l'image.



J'ai préféré ça aux adaptations de Darabont par exemple, qui en rajoutent sur les aspects que j'aime le moins chez Stephen King (l'émotion facile, les "hate sinks" livrés en pâture au lecteur). Là je trouve que l'alchimie entre les persos réussit à porter l'histoire jusqu'au bout.