Forum de FilmDeCulte

Je trouve que ça n'a aucun intérêt de passer 50 heures avec les mêmes personnages. A la fin, ce n'est plus que du feuilleton.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

...

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Super série de posts de ta part.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Disons que quand je lis ça...


...je n'ai pas envie de tirer sur l'ambulance du manque d'exigence.

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Mais quelle ambulance ?
Je te dis clairement que c'est justement le côté low-key de la série qui m'a attiré, et que je voulais donc pas un truc super ambitieux, chose qui me fait généralement chier en format télévisuel.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Là, cette ambulance-là.

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Oui, donc le truc que j'assume complètement, et qui n'a rien à voir avec tes Caribou/pas de goût/points de suspension quand je t'exprime mon désamour de machins interminables comme Breaking Bad, qui mettent 6 saisons à exprimer la même thématique ad eternam.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Assumer ne rend pas le truc moins triste.


Ah bah ça c'est juste de la vanne sur le côté "mec à l'envers".


C'est l'exhaustivité du traitement de l'arc du protagoniste qui est intéressante, justement. Mais soit. Contente-toi de ton "puzzle" doudou.

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Exactement la raison pour laquelle ça ne m'intéresse pas.
L'exhaustivité, c'est vraiment pas de l'art, pour moi.

Y'a plein de talent, sur Breaking Bad, hein, c'est bien écrit, malin, y'a plein de références bien digérées derrière.
Mais la nécessité d'une série télé de durer fait tout retomber pour moi. Au bout d'une saison et demi, j'en avais plus rien à foutre.



Du gars qui boycotte toujours les films d'avant 1970.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Dans les films que j'ai découverts cette année :
Peter Pan (Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1953)
La Belle et le clochard (Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1955)
The Bridge on the River Kwai (David Lean, 1957)
Vertigo (Alfred Hitchcock, 1958)
The Sword in the Stone (Wolfgang Reitherman, 1963)
Marnie (Alfred Hitchcock, 1964)
Les Tribulations d'un Chinois en Chine (Philippe de Broca, 1965)

Et l'an dernier :
Strangers on a Train (Alfred Hitchcock, 1951)
Sissi (Ernst Marischka, 1955)
Sissi - Die junge Kaiserin (Ernst Marischka, 1956)
Bob le flambeur (Jean-Pierre Melville, 1956)
Le Doulos (Jean-Pierre Melville, 1962)
To Kill a Mockingbird (Robert Mulligan, 1962)
The Birds (Alfred Hitchcock, 1963)
Soy Cuba (Mikhail Kalatozov, 1964)
The Graduate (Mike Nichols, 1967)
L'Armée des ombres (Jean-Pierre Melville, 1969)
Stereo (David Cronenberg, 1969)

Et l'année d'avant :
Godzilla (1954)
Mary Poppins (1964)

Et l'année d'avant :
Winchester 73 (1950)
12 hommes en colère (1957)
Un hold-up extraordinaire (1966)

Allez, ccchhhhhhht.

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J'aurais dû écrire 1950. Et pas américains.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Les Tribulations d'un Chinois en Chine (Philippe de Broca, 1965)
Sissi (Ernst Marischka, 1955)
Sissi - Die junge Kaiserin (Ernst Marischka, 1956)
Bob le flambeur (Jean-Pierre Melville, 1956)
Le Doulos (Jean-Pierre Melville, 1962)
Soy Cuba (Mikhail Kalatozov, 1964)
L'Armée des ombres (Jean-Pierre Melville, 1969)
Godzilla (1954)

Et plein de non-américains post-1970.


Allez, coucouche panier.

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1950.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Comme quoi voir des Rossellini de 1950 ne t'empêche pas de te laisser avoir par des copier/coller flatteurs de nostalgie.

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Genre j'ai crié au chef-d'oeuvre, M. le fan de Jumper.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."