Forum de FilmDeCulte

Slate c'est the new RUE89 et c'est pas un compliment ....

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Ah ah je tombe justement sur ce tweet qui se fout de la gueule d'une journaliste de Slate (à juste titre) :

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CroqAnimement votre

Quand elle parle de sa voix reconnaissable, j'ai pensé à Popeck....

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Patrick Bruel : "de quoi elle se plaint la masseuse, elle pourra raconter à ses copines qu'elle a branlé une star ?"
On tourne en boucle sur des clichés là. Marcela Iacub a écrit un livre pour dire qu'elle avait couché avec Strauss-Kahn. J'ai une amie d'amie dont c'est aussi un titre de gloire, lequel doit être partagé par pas mal de monde. Next.

Ce tweet en dit plus long sur un Ignoble Fasciste que sur Slate.

C'était Qui-Gon ou Tetsuo qui avait raconté une histoire de tournage où Bruel emmenait une figurante faire un tour aux toilettes?

J'ai découvert un truc pour réhausser le sandwich club à l'emmental. Melanger deux épices italiennes : beaucoup de pasta al rosso, puis un peu de pasta al funghi...

1 an de confinement pour en arriver là.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Même le cul, tu arrives à rendre ça chiant.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Si l'organe en jeu est un forum PHPBB de 15 ans sur lequel lorgnent des désœuvrés de 50 ans, ce n'est pas forcément un mauvais signe pour moi...

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

J'ai l'amie d'une amie qui dit en ville qu'elle s'est tapée DSK
La vie sexuelle de la bourgeoisie française en 2021.

Encore plus snob que les vacances à Antibe avec une nageuse sportive en rupture de ban.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

C'est pas 2021 mais on s'en branle, tu peux transformer l'anecdote, inintéressante, à ta guise.
Mon amie, nympho sur les bords, a pu me dire une fois qu'elle a le fantasme de la fille du régiment (qui se fait prendre par tout le régiment). Bref, c'est pas très intéressant et les discussions de cul avec elle sont soûlantes même si elles sortent de l'ordinaire. Pas sûr que ce soit une Catherine Millet qui passionnait les lecteurs en... 2001 ou, pour ce qui est de son amie, une Marcela Iacub.

Ah si j'ai qd même pas mal tiqué quand elle dit "quand j'ai terminé ma prestation", ça en dit beaucoup sur la façon dont elle ressent la chose...

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Enfin écouté. En fait c'est super soft comme récit: le mec tente rapidement mais la meuf n'y va pas direct, ça se passe en plusieurs temps... Je m'attendais à quelque chose de vachement plus cash et gênant.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Oui mais c'est justement ce que je trouve un peu insidieux. Ce récit positif, sympathique, d'une femme "libérée" qui parle de cul sans tabou. Mais au final les faits sont là, un mec qui refuse de l'embrasser, qui n'a aucune intention de lui rendre le plaisir qu'elle lui offre, qui attend d'elle une "prestation" (mot qu'elle utilise elle même) et qui aujourd'hui est passé à autre chose (jusqu'au jour où il aura envie de se refaire sucer). Ce que je trouve ironique c'est que le début du podcast parle du célibat et tu imagines que ça va être une histoire de couple mais en fait elle finit plus célibataire que jamais à la fin, c'est assez triste en fait derrière l'anecdote.

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CroqAnimement votre

Oui dans l'ensemble c'est un peu pathétique.
Je sais pas si elle joue à la conne au début ("il m'a parlé de son divorce" mais lol) quand elle dit qu'elle pensait pas que la discussion entamée était une drague de la part du gars - on dirait ces meufs qui croient qu'un mec leur demande leur numéro pour aller boire un verre "en amis" - mais elle essaie clairement d'inscrire cette histoire dans le cadre d'un moment "humain" (le fait qu'ils aient beaucoup discuté de trucs "persos" en amont puis après la pipe, que ça ait pris plusieurs jours/tentatives, et ce détail de "et là son père l'appelle et il parle à son père devant moi" qui est certes humain mais qui entre aussi dans le délire "ohlala je suis une privilégiée de vivre ça") et c'est ce qui atténue un peu le côté starfuckeuse et l'indéniable réalité psy qui est, pour le dire vulgairement, "je suis flattée qu'une célébrité ait insisté pour que je le suce, moi qui suis grosse et poilue même si je baise en moyenne 3 mecs par semaine".

Après, comme je le disais, je ne suis pas choquée par la nature unidirectionnelle de la transaction - je suis sûr qu'il existe moults échanges Tinder de la même nature - surtout qu'elle a été amenée, refusée, réfléchie, consentie, répétée. On n'est pas dans le même registre que les anecdotes sur Patrick Bruel ou Jean-Luc Delarue qu'on a pu lire ici. Il va sans dire que le mec "ose" cette proposition parce qu'il sait qu'il est qui il est mais elle ne paraît pas exclusivement motivée par le starfucking (même si ça joue indéniablement) vu ce qu'elle dit de son appétit sexuel (les 3 mecs qu'elle s'est tapé cette semaine-là).

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