Forum de FilmDeCulte

Anne, journaliste dans un grand magazine féminin enquête sur la prostitution estudiantine. Alicja et Charlotte, étudiantes à Paris, se confient à elle sans tabou ni pudeur. Ces confessions vont trouver chez Anne un écho inattendu. Et c’est toute sa vie qui va en être bouleversée.

Rattrapage du précédent film de la réalisatrice en compétition cette année à Berlin avec des homos chez les curés... Là, c'est Binoche en journaliste bobo qui s'acoquine avec des escorts étudiantes façon Marie-Chantal découvre le tapinage. Contrairement à la série de canal ou Léa, c'est pas traité sur un mode pro-glauque et on y célèbre un peu la vertu de l'argent -sans trop y perdre son âme pour changer- via deux nanas, Anaïs Demoustier avec toute une chapelade de scènes de cul plutôt excitantes qu'elle réussit à illuminer par sa grâce et son naturel, et une polonaise avec des seins énormes qui elle n'a qu'une scène hot mais franco-uro, et se bourre un peu la gueule le reste du temps pour oublier. La catastrophe, c'est vraiment ce personnage de journaliste avec une Binoche toujours en mode hystéro "à cœur ouvert" qui pète un câble devant ces jeunettes qui s'envoient en l'air alors qu'elle se fait chier à enchaîner avec les petits dej ricoré avec sa nouillasse de fils en rébellion et les dîners d'affaire de son Louis-Do de Lo' de keum (avec en sus une scène prenons-nous la tête la teub à l'air en retentant de baiser et puis non, qu'on n'avait plus vu depuis les drames psychologiques français des années 80)...
2/6

Pas eu le courage d'affronter la neige et le froid pour son nouveau...

Ca remonte à quand le dernier bon film avec Binoche ?

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"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice."
- George Orwell

Elle devient le pendant féminin de Daniel Auteuil

Ce sont ses 50 ans l'an prochain, donc un très bon bon film pour fêter ça serait chouette

Comment le film se compare-t-il avec Jeune et Jolie?
Cela dit, c'est vrai que le personnage de Binoche, et son couple avec Louis-Do je ne pas quoi, ont l'air horrible.
Ce qui est bizarre, c'est qu'on voit Binoche habillée en pute sur l'affiche alors qu'elle joue une journaliste qui s'offusque qu'on puisse se prostituer sans éprouver le sentiment d'une souillure ou de quelque chose comme ça.
C'est quoi "le message" du film, donc? Est-ce que son enquête est censé redynamiser sa vie de couple, ou en montrer la vacuité? Est-ce qu'à un moment Louis-Do, la voyant arriver dans une tenue particulièrement affriolante, et user de manière de qui ne conviennent pas à son rang de femme bourgeoise, la traite de pute et la repousse avec dégoût? (la bande-annonce donne l'impression qu'une telle scène existe).

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Hé ça a l'air cool.

Ca l'air d'être un bon film en effet avec de beaux numéros d'actrices. C'est un film qui mérite effectivement d'être redécouvert.

il n'y a pas grand chose à garder du film.. sauf la partie Anais Demoustier

Je n'avais jamais vu de film de Malgorzata Szumowska, réalisatrice polonaise souvent en compétition à Berlin. Bon, j'ai choisi celui-ci pour le casting - j'adore Joanna Kulig depuis Cold War pas seulement pour sa beauté irradiante (ses seins bordel) mais aussi pour la flamme qui irradie son regard. Bref, la première heure est plutôt intrigante, bien rythmée entre les scènes de sexe très crues et les aller-retour fantasmés de cet improbable personnage de journaliste. Hélas, c'est ce personnage qui finit par gagner la partie du scénario et le récit de s'enfoncer dans des poncifs psychologiques de bas étage (mention spéciale à l'ado (mal) joué par François Civil). La mise en scène est si grandiloquente (Beethoven, sérieusement?) qu'elle transforme le dernier acte en farce macabre (pourquoi pas), mais sans oser franchir le pas du film de genre (je m'attendais à une autre fin, à vrai dire). Pas terrible du tout.

2/6

J’avais trouvé ça affreux. Noony avait raconté ici que le film faisait partie d’un pack que Potemkine avait signé, et qu’ils étaient tenus de le sortir en BR pour pouvoir aussi sortir Melancholia.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Mais oui Marianne Slot qui produit, avec Zentropa en associé.