Forum de FilmDeCulte

Oulala, j'ai pas trouvé ça terrible.
Pour faire le méchant, je dirai que en effet ça aurait pu être tourné par un étudiant... parce que là, en fait le message est super "facile", balancé sans subtilité toutes les 5 min, donc le film ne sert pas à grand chose si j'ose dire. Ouais internet et les médias c'ets chelou, oui les médias déforment la réalité , sans compter la voix off qui appuie avec encore plus de lourdeur ce qu'on avait déjà compris.
Donc oui à par le message pas grand chose, (ah si j'aime bien l'idée des blacks qui se rebellent et résistent en gang), mais à part ça...
J'en avais rien à foutre des persos et de leurs conneries, ce qui confirme que c''est moins un vrai film qu'une espèce d'idée sur 1h30.
Et là est limite honteuse, le truc écrit par un rebelle de 16 ans quoi.

Nan là vraiment, je trouve ça râté.
2/6 quand même

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Tout à fait... Une espèce d'idée mal incarnée.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Mais c'est pas du tout ça, ça, c'est le constat de départ, mais le film, c'est une progression, une évolution, une tentative d'y remédier avec des échecs, des débuts de solutions, mais toujours incomplète. C'est une éthique un questionnement praxis. Et c'est un constat pessimiste. Pourquoi filmer? quel peuvent-être l'impact et même la possibilité de saisir son objet? La caméra est-elle un outil de transformation du monde? et en même temps que faire d'autre? Quelle est la possibilité d'agir sur un monde transformé comme celui-là?

Je me demandais où était le message quand tout le mode parlait du "message" (et disait accessoirement que j'en parlais) mais c'est pas de ça dont il s'agit!

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

C'est que je trouvais la tournure de la phrase totalement incompréhensible...

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Doll, it's a heartbreaking affair

honnêtement, oui, c'est vrai, en la relisant, y a trop de virgules, c'est un peu n'importe quoi...


Faut que je la coupe, cette phrase

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Me réveiller un jour et vivre dans un monde peuplé de zombies est un fantasme depuis toujours qui me procure une montée d'adreénaline assez fulgurante dès que j'entrevois l'un d'eux dans un film, un film de zombie c'est un climax de 1h30 en somme. .
Donc je suis un fanboy/vendu/fan transi du papa du zombie même si ça ne m'a pas empêcher de m'ennuyer profondément voire de mourir de pitié devant Land Of The Dead.
Une bande d'ado fuient les zombies, ça paraît ultra déjà vu mais c'est une première pour Romero, alors pourquoi pas, ils sont surtout moins stupides qu'à l'habitude et ne se font pas tuer bêtement par un de leurs amis fraîchement mordus parce qu'ils n'avaient pas compris comment le mal se propageait. Ca change.
C'est peut-etre ça l'essence du film de zombie (forme de über-slasher où ce n'est pas un groupe qui chassé mais l'humanité), l'empathie, la compassion envers les héros, si leurs actes vous semblent cohérents et a fortiori leurs morts la tension sera décuplée et c'est une chose réussie dans ce film, non seulement parce que les personnages sont un peu plus intelligents que la moyenne et évidemment le choix de la(les) caméra(s) subjectives.
Grâce à un montage nerveux sans être excité, la tension reste optimale et ne retombent que rarement puisque les personnages connaissent de nombreuses et variées péripéties contrairement à la plupart des films de zombies de Romero où l'action est clôturée du début à la fin. On bouge, on cherche une issue, on se questionne, les choix sont respectables et cohérents, les personnages rencontrés divers et variés (l'hilarant Samuel -l'image du film-).
Le pamphlet anti-média est un peu trop appuyé et gratuit, alors certes ce film est censé être le testament d'une étudiante en cinéma ce qui expliquerait quelques maladresses (mais ce serait un peu facile, George...), en plein milieu du film l'action se coupe et apparaissent des images de reportages télé "à sensations" et une voix off nous explique pourquoi les médias sont très très méchants, un peu déjà vu mais le message tient finalement la route si on prend en compte l'originalité du contexte: c'est bien la première fois (de mémoire) que le sujet est abordé alors que le monde est à feu et à sang; Le film propose en fait une double critique à la fois des médias qui mentent et travestissent la réalité, la folie des images et à l'opposé ceux qui rejettent l'importance des médias: .
Donc j'ai aimé. J'ai aimé le fait qu'on ait peur comme si j'étais avec eux, j'ai aimé me demander comment agir à leur place, j'ai aimé le rythme qui augmente, se tasse, se densifie, j'ai aimé l'évolution des lieux et des rencontres, j'ai aimé la mort des personnages, j'ai aimé les filles, j'ai aimé les quelques scènes comiques, j'ai aimé le début du chaos, j'ai aimé , j'ai aimé le prof alcoolique totalement guest-star dispensable mais essentiel, j'ai aimé Romero en chef de la police.
5,25/6

J'aurais pu allonger encore mais je ne suis pas là pour vous endormir.

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Un barbu remplace un coeur pour me plaire...

putain y aura un 2 quoi...

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On a frôlé la fissure anale...

Je ne sais pas si l'argument est dans le "p" de putain ou le "y".

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Un barbu remplace un coeur pour me plaire...

Et il reprendra directement là où les choses se sont arrêtées dans ce volet,



Mmh.

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Doll, it's a heartbreaking affair

j'espère qu'ils capteront un réseau sur l'île

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On a frôlé la fissure anale...

On en sait un peu plus sur le nouveau film de Romero qui mettra en scène des zombies aquatiques!:

http://www.dvdrama.com/news-29311-le-no ... elles-.php

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Découverte tardive et franchement douloureuse d'un des films de zombies le plus mou du monde. En faisant abstraction du postulat formel totalement raté car très mal pensé (j'adore le moment où un perso dit qu'un mec a du sang sur le bras et là mini flash-back du bras du mec en sang, vachement cohèrent). Romero se tire plusieurs balles dans le pied ne sachant jamais comment coller a son concept de manière pertiente. Et puis il y a un humour qui m'a dérangé tout le long que ce soit le ridicule personnage du fermier Amish où le zombie habillé en momie en passant par la mort sèche-cheveux/baignoire, Claude François style, je n'arrivais jamais à savoir si c'était volontaire ou pas. Quant au message média mes couilles je m'en cogne le coquillard perso alors ça n'a pas vraiment aidé et c'est certainement pas la voix-off qui explique tout qui a changé la donne.
Dans le genre caméra subjective c'est clairement le pire du genre. J'ai largement préfèré Land of thé Dead, plus ouvertement Série B mais au final beaucoup plus sympa. Bousasse.

1/6

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CroqAnimement votre

Et comme si c'était pas assez douloureux comme ça, paraît qu'il faut s'attendre au pire avec le prochain.

Oui j'ai vu ça... Brrrr ça fait froid dans le dos rien que d'y penser.

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CroqAnimement votre

Tout le monde se branle complètement de ce film aujourd'hui, je pense. Surtout après le rouleau-compresseur The Walking Dead débarqué deux ans après.

Mais je l'ai quand même revu récemment, plus par souci d'exhaustivité qu'autre chose, n'ayant déjà pas été convaincu à sa sortie.

Romero s'approprie bien le gimmick du found footage je trouve. C'est fluide, bien monté, bien pensé, bien executé, et avec souplesse... Mais du coup ça s'inscrit sans punch dans ce genre-là plutôt qu'un autre, et Romero y perd au passage sa patte et son style, faits de retenue bouillonnante.

Et qu'est-ce que c'est mal écrit, didactique à outrance, sans aucune finesse, sans essayer d'être évocateur une seule seconde. Ces faiblesses d'écriture, notamment dans les dialogues, étaient déjà envahissantes dans Land. Là c'est la noyade totale. Dur de faire cohabiter ça avec Knightriders par exemple, et son drame humain bavard et polyphonique, justement parce que le vrai souci y est indicible. Dans Diary il faut tout expliquer, expliciter, répéter à outrance, au cas où on aurait pas compris. En fait, ça fait premier jet tout du long.

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Looks like meat's back on the menu, boys!