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MessagePosté: 20 Juin 2006, 08:52 
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Découvert hier... Woooow... merveille

C'est hallucinant, j'ai été scotché tout le long, cette tension qui monte crescendo... On entend Geronimo, on l'attend, on l'attend... la peur se lit sur les visage... c'est énorme...

Les acteurs sont énormissime. John Wayne en tete... Andy Devine est divin( tout comme dans l'homme qui tua Liberty valance). Il a une voix terrible...

La musique est superbe

Putain de bon Western, Merci Mr Ford

6/6

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Pvb: "Si à la Saint Valentin elle te carresse la main, vivement la Saint Marguerite..."


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MessagePosté: 05 Nov 2017, 12:08 
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Personne pour ce film ?

Il a effectivement le souffle des grands films décisifs. Je trouve l'exposition particulièrement admirable, en quelques coups de pinceaux on se familiarise avec toute cette galerie de personnages, qu'on pourra certes penser archétypaux, mais j'aime cette façon d'aller droit au but, à part le banquier lourdingue ils sont tous admirables d'une façon ou d'une autre.

Et puis il faut parler de la réalisation qui est éblouissante, les décors naturels sont merveilleux, donnent l'impression d'avoir tous les standards du Western à venir s'ériger avec une majesté incroyable, que ce soit les vastes plans du désert qui s'étendent à perte de vue, ou les Plummer Brothers qui déambulent dans la ville, et la course poursuite des Apaches contre la diligence force le respect, c'est dingue de voir une scène d'action à la Mad Max aussi tendue et percutante dans un film de 1939. Caméra embarquée dans l'action, ça va vite, c'est clair, immersif... C'est très très fort.

Pas mal de touches d'humour bien senties également.

John Wayne a la classe mais je ne suis pas méga fan de son personnage, que je trouve un peu simpliste au final, sans grande surprise et qui n'élève pas le film à une dimension de vrai chef d'oeuvre.
La confrontation avec les frères Plummer est un pas renversante et la fin un poil décevante. Dommage.


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MessagePosté: 06 Nov 2017, 11:12 
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Orson Welles, avant Citizen Kane, aurait tout appris de ce film qu'il avait regardé en boucle (comme tout ce que raconte Welles, ça vaut ce que ça vaut).


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MessagePosté: 02 Oct 2019, 19:26 
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Coïncidence de mon calendrier de visionnage, j'ai revu en quelques jours Le Convoi des braves puis La Chevauchée fantastique. J'avais un souvenir très confus du premier, partiel du second (j'étais convaincu qu'il s'agissait d'un quasi huis-clos dans une diligence, alors que de l'introduction où l'on suit à Tonto chacun des futurs passagers jusqu'au final à Lordsburg, plus de la moitié du film se passe à une certaine distance de cette diligence). Mon souvenir me faisait préférer le second (donc le premier chronologiquement), pour quelques images fortes qui m'avaient durablement marquées, de par son aura cinéphilique plus grande également me semblait-il.

Ma première surprise a été de constater qu'il s'agissait quasiment d'un même film, les deux partageant la même ambition assez folle de synthétiser en 90 minutes mythes et légendes de l'Ouest américain au cours d'un périple (entre deux villes en diligence ou suivant la progression d'un convoi de pionniers vers leur terre promise), où des figures les plus emblématiques (Cow-boy, shérif et indiens) aux moins glorieuses (joueur, putain et alcoolique) du grand Ouest, pas une ne manque. Il est alors intéressant de comparer chacune de ces figures archétypales dans les deux œuvres, leur évolution me semblant caractéristique de l'évolution du cinéma de Ford lui-même sur la longue période.

Le premier d'entre eux est évidemment le Cow-boy, campé par Wayne dans La Chevauchée fantastique, introduit de manière grandiloquente par ce fameux zoom avant. Dans Le Convoi des braves Ford opte par contre pour un acteur moins expérimenté et moins charismatique, Ben Johnson (en fait il y a même 2 cow-boys avec le sympathique Harry Carey Jr., comme s'il fallait bien être deux pour rivaliser avec Wayne). Le glissement est déjà évident ici, effacement progressif de la figure du héros pour mieux mettre en avant les second rôles, ceux qui sont véritablement à l'origine de la légende. De Wayne le Cow-boy en 1939, c'est bien vers Ward Bond le leader des pionniers mormons que la caméra de Ford se tourne en 1950.

La comparaison du reste des 2 castings est du même tonneau. Pour La Chevauchée fantastique Ford a recours à une foule de visages connus, acteur star du muet (Bancroft) ou second rôles aux particularismes aisément identifiables (Devine et sa voix inimitable, Carradine et sa figure émaciée ou Meek et son crâne luisant). Dans Le Convoi des braves, hormis quelques second (presque troisième) rôles récurrents chez Ford, beaucoup de têtes qui me sont totalement inconnues. Ford ne se contente donc pas seulement de déplacer l'objet de son regard, mais également sa nature profonde. Exit donc le casting de "stars".

Son écriture va également s'affiner pour devenir quasiment clinique. La Chevauchée fantastique est un grand film, il n'y a aucun doute là dessus, mais face à son double, on reconnaît quelques lourdeurs que Ford saura corriger par la suite. En terme de réalisation pure déjà, il reste encore quelques scories du muet (il n'y a qu'à voir Les Quatre Fils et ses débauches d'effets de caméra) - le fameux zoom avant trop appuyé, la caméra embarquée sur le toit de la diligence lors de la traversée du fleuve. En 1950 il n'y a plus aucune afféterie ni effets trop voyants. Mais surtout il n'est plus nécessaire d'écrire 10 lignes de dialogues pour saisir toute la profondeur d'un personnage. De la description d'un processus, Ford se contentera finalement de la fulgurance de sa conclusion. Deux exemples.

Le premier est le fameux docteur alcoolique. J'aime beaucoup Thomas Mitchell (chez Ford mais aussi dans les autres rôles où j'ai pu le voir), mais il faut reconnaître qu'il en fait ici des tonnes, et que sa rédemption ne surviendra pas sans avoir auparavant assisté à maintes scènes de soulerie et moults palabres. Mowbray dans Le Convoi des braves est à l'inverse d'une économie totale. Il est extrêmement peu disert, et la dernière parole qu'il prononce (lorsqu'au moment le plus périlleux et après qu'un chariot se soit renversé en tentant de passer un promontoire dangereux) nous glace le sang par son acuité et son pessimisme (en substance, je peux prendre le risque de passer en premier au risque de me tuer, “mon chariot et ce qu’il contient n’ayant que bien peu de valeur”).

Le second la figure de la putain. Amoureuse du cow-boy Wayne, honteuse de sa réputation (sans que l’on comprenne tout à fait si elle est encore une fille de joie), Bancroft roule des yeux, craint d’etre rejetée, reçoit le renfort du shérif avant d’être rassurée par Wayne quant à ses motivations (l'emmener loin de la ville pour vivre dans son ranch). Il ne suffira que de quelques secondes entre Ben Johnson et Joanne Dru pour que tout soit scellé. La route des mormons et celle du trio composé du docteur, sa compagne et la putain étant amenées à se séparer, Johnson décide soudainement de la rejoindre pour lui déclarer sa flamme. Une fois la demande faite, elle le regarde, clairement éprise de lui, tourne néanmoins les talons et cours pour rejoindre son chariot, en route pour la Californie. Il n’aura rien fallu de plus que ce court moment pour que Ford réussisse à exprimer l’amour, la honte et le désarroi qui l'habite.

Deux grands films donc mais ma préférence va finalement au plus récent, quintessence à la manière de Le Soleil brille pour tout le monde du style de Ford sous l'une de ses formes les plus maîtrisées.


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MessagePosté: 21 Sep 2022, 21:40 
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Vu ce soir pour la première fois depuis des années, et c'est vraiment l'obssession lancée à plein régime pour Ford en termes de thèmes et de motifs (hommes de loi, criminels et indiens ambivalents à divers degrés, malhonnêteté de la presse, déterminisme par le tempérament, orchestration de musiques folkloriques etc.). Par exemple, j'avais oublié la séquence finale de déambulation et de traque dans les rues de Lordsburg, désertes, ténèbres écrasantes, à peine tenues à distance par l'éclairage contre les façades et à quel point tout ça est rappelé dans Liberty Valance et ses rues étouffantes. L'irruption de la violence dans ces campements de luxe au milieu de nulle part est toujours présentée avec gravité et angoisse, contrairement à l'excitation des courses-poursuites dans le désert et leur côté "la guerre c'est la guerre".

Très fan aussi du titre original, Stagecoach, déjà de fait quintessentiel. Ca fait un moment que je délaisse les westerns de John Ford dont la découverte m'avait pourtant bouleversé. Ca fait du bien d'y revenir.

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MessagePosté: 09 Fév 2023, 00:11 
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Et c'est parti pour corriger l'une de mes plus grosses lacunes cinéphiliques, et oui, je n'avais encore jamais un film de l'un des papas de Papa.

Sur les bons conseils d'un ami Fordzouze, je me suis fait une petite sélection de dix films pour découvrir le cinéma du borgne, à commencer par celui-ci.

Lohmann a écrit:
ambition assez folle de synthétiser en 90 minutes mythes et légendes de l'Ouest américain au cours d'un périple (entre deux villes en diligence ou suivant la progression d'un convoi de pionniers vers leur terre promise), où des figures les plus emblématiques (Cow-boy, shérif et indiens) aux moins glorieuses (joueur, putain et alcoolique) du grand Ouest, pas une ne manque.

Cela a été ma première (agréable) surprise. C'est presque post-moderne dans son parti-pris. Je pense que c'est ce qui m'a particulièrement parlé. Le côté effectivement "quintessentiel", pour citer Müller.

Müller a écrit:
Très fan aussi du titre original, Stagecoach, déjà de fait quintessentiel.

Lol d'ailleurs pour les marketeux de l'époque qui, après avoir traduit Stagecoach en La Chevauchée fantastique, ont sorti le dico des synonymes pour certains futurs Ford :

My Darling Clementine -> La Poursuite infernale
She Wore A Yellow Ribbon -> La Charge héroïque


(et, dans un autre registre, The Fugitive devient DIEU EST MORT)

Bref, ça marche du tonnerre parce que moi aussi
Mickey Willis a écrit:
Je trouve l'exposition particulièrement admirable, en quelques coups de pinceaux on se familiarise avec toute cette galerie de personnages, qu'on pourra certes penser archétypaux, mais j'aime cette façon d'aller droit au but, à part le banquier lourdingue ils sont tous admirables d'une façon ou d'une autre.

Big up à Hatfield (Carradine).

Citation:
et la course poursuite des Apaches contre la diligence force le respect, c'est dingue de voir une scène d'action à la Mad Max aussi tendue et percutante dans un film de 1939. Caméra embarquée dans l'action, ça va vite, c'est clair, immersif... C'est très très fort.

Actioner made in 1939. Bonnard.

Citation:
Pas mal de touches d'humour bien senties également.

Notamment les plus "problématiques", quand Chris, le tenancier de bar mexicain parle de sa femme Apache partie avec son cheval.

Citation:
John Wayne a la classe

C'est également mon premier John Wayne (hors La Classe américaine) et je me suis surpris à le trouver bon et charismatique alors que je pense que je craignais de le trouver ringard ou trop cliché.

Citation:
En terme de réalisation pure déjà, il reste encore quelques scories du muet (il n'y a qu'à voir Les Quatre Fils et ses débauches d'effets de caméra) - le fameux zoom avant trop appuyé, la caméra embarquée sur le toit de la diligence lors de la traversée du fleuve.

Moi j'ai pensé davantage au tout début, notamment l'alternance entre ces deux types de plans qui reviennent dans les premières minutes (plan d'ensemble un peu théâtral de la "scène", fixe, parallèle au sol et gros plan d'un acteur face cam bien éclairé, t'attends limite le carton de dialogue juste après) :

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Mais le reste s'en écarte assez vite, avec des compositions qui m'ont effectivement "rappelé" Citizen Kane.

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Et ce genre de merveille :

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Et sinon, concernant la fin :
assez surpris par le full happy end, je m'attendais à ce que Ringo crève, laissant la pauvre Dallas veuve avant même le mariage, ou alors qu'il vive mais parce qu'il aurait fait le choix de renoncer à sa vengeance, mais non, il choisit "l'honneur", tue TROIS gars, et le sheriff le laisse partir.


Chaud pour la suite.

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MessagePosté: 09 Fév 2023, 07:12 
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Et donc il y a quoi d’autre dans cette sélection ?


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MessagePosté: 09 Fév 2023, 09:01 
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Cool que tu découvres Ford! Un réalisateur dont je ne partage pas toujours la sensibilité mais qui est tout de même important pour moi (et ça a dû aider de faire mon mémoire dessus). Je n'ose trop te hyper pour La Prisonnière du désert, que je revois régulièrement avec bonheur.


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MessagePosté: 09 Fév 2023, 09:06 
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Lohmann a écrit:
Et donc il y a quoi d’autre dans cette sélection ?

Young Mr Lincoln
The Grapes of Wrath
How Green Was My Valley
My Darling Clementine
Fort Apache
She Wore a Yellow Ribbon
The Quiet Man
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MessagePosté: 09 Fév 2023, 09:37 
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Film Freak a écrit:
Lohmann a écrit:
Et donc il y a quoi d’autre dans cette sélection ?

Young Mr Lincoln
The Grapes of Wrath
How Green Was My Valley
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Fort Apache
She Wore a Yellow Ribbon
The Quiet Man
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Les grands classiques. She Wore a Yellow Ribbon joui d'une réputation un peu exagérée à mon goût. Par contre il faut absolument voir deux des principaux monuments fordien : Wagon Master et The Sun Shines Bright.


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MessagePosté: 09 Fév 2023, 10:04 
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Tiens je note, j'ai moi aussi d'enoooormes lacunes en Ford (j'ai dû en voir 4).

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MessagePosté: 09 Fév 2023, 10:14 
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Lohmann a écrit:
Film Freak a écrit:
Lohmann a écrit:
Et donc il y a quoi d’autre dans cette sélection ?

Young Mr Lincoln
The Grapes of Wrath
How Green Was My Valley
My Darling Clementine
Fort Apache
She Wore a Yellow Ribbon
The Quiet Man
The Searchers
The Man Who Shot Liberty Valence

Les grands classiques. She Wore a Yellow Ribbon joui d'une réputation un peu exagérée à mon goût. Par contre il faut absolument voir deux des principaux monuments fordien : Wagon Master et The Sun Shines Bright.

Si je kiffe les 10 premiers, j'entendrai. On m'a également conseillé :
- THEY WERE EXPENDABLES
- L'AIGLE VOLE AU SOLEIL
- LA DERNIÈRE FANFARE
- LES CAVALIERS
- LE SERGENT NOIR
- LES DEUX CAVALIERS
- LES CHEYENNES
- FRONTIÈRE CHINOISE

En vrai, il m'avait d'abord filé une liste avec 10 films de plus encore avec moult justifications et je l'ai calmé.

Faut aussi que je reprenne Coopola et que je mate quelques films indiens dont les Rajamouli.

Puis ptet Lubitsch après.

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MessagePosté: 09 Fév 2023, 10:20 
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Film Freak a écrit:
- LA DERNIÈRE FANFARE

Celui-là surtout que j'aime tout particulièrement et que j'ai déjà recommandé maintes fois en pure perte à QGJ.


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MessagePosté: 09 Fév 2023, 11:13 
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La réflexion n'est pas nouvelle mais c'est vrai que les titres français prêtent à confusion.
C'est gnangnan Qu'elle était verte, et Yellow Ribbon aussi.


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MessagePosté: 09 Fév 2023, 11:17 
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bmntmp a écrit:
C'est gnangnan Qu'elle était verte.

C'est l'un des plus grands Ford ouais.


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