Forum de FilmDeCulte

En 1844, la fille d'un fermier, Miranda Wells, est invitée par une relation Nicholas Van Ryn à venir faire un séjour dans sa maison pour tenir compagnie à sa fille. A son arrivée, la jeune fille trouve ses hôtes très étranges.

Et le fantôme de Rebecca pèse là-dessus, dès le générique qui ne se rappelle pas qu'il était à Manderlay à nouveau mais qui lèche les recoins de sa baraque gothique dans laquelle il se passe toujours des saloperies à base de portrait de femmes mortes et cie. Et même si je suis toujours client de ce quasi-genre, je trouve le film un peu décevant, dans sa volonté de faire monter la sauce son mystère jusqu'à son final un peu propret...je trouve que le sujet ne prend jamais vraiment son envol. Quelques pistes sont jetées ici ou là (le fantôme au clavier, la révolte paysanne) mais sont plutôt laissées en plan...reste la relation Vincent Price / Gene Tierney assez plombée par le jeu à côté de la plaque de Price.

Après, pour une première mise en scène en plus, la réalisation tient vraiment bien sur ses genoux, et la direction artistique soignée rend tout ça très regardable...mais je trouve le film un peu inachevé.

3/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

C'est le résumé d'Allociné, ils oublient juste de parler du cousinage mais sinon c'est ça...bon elle les trouve étrange 3 secondes hein et après on passe à autre chose.



Tu as 2 petites scènes là-dessus mais c'est un peu laissé en plan justement...quand Price réclame ses dûs et une autre scène dans une sorte de taverne.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Comment est le scénario ? Je veux dire, quelle forme il a ? Le truc un peu déconstruit genre flashbacks (comme plusieurs autres films du cinéaste), ou bien linéaire ?

J'ai le dvd de Cléopatre chez moi... Je repousse chaque jour le moment de le regarder.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Oui, c'est un des rares Mankiewicz qui m'ait laissé presque froid (tiédasse on va dire). Je lui préfère largement SOMEWHERE IN THE NIGHT sorti la même année.

Ah c'est parfaitement linéaire Le Château du dragon.



C'est très bien Cléopatre ça passe tout seul...

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Doll, it's a heartbreaking affair