Forum de FilmDeCulte

Non mais ça j'avais compris, mais justement ça m'a gêné de rajouter cette énorme problématique (surtout pour un noir dans les années 30) par dessus la question raciale bien plus pertinente et surtout bien plus construite. Là c'est posé comme ça. Bon c'est pas grand chose mais j'ai pas aimé.

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CroqAnimement votre

SPOILERS

Vu le 5, pas encore vu le 6 donc spoilez pas.

Super personnage de Looking Glass en effet traité en mode LEFTOVERS (ou le peu que j'en ai vu tout du moins). C'est vraiment dans des moments comme ça qu'on sent le pouvoir du format sériel, comment on a le temps de vivre avec les personnages pour mieux découvrir leurs contradictions et donc leur humanité.

J'aime les dérapages WTF comme la scène avec Veidt sur le satellite. Imagerie folle, jusqu'au-boutiste, très dans l'esprit de la B.D. tout en proposant un truc nouveau.

Moins fan du CD explicatif et du Sénateur qui explique son plan, bof.

Enfin, je reste fasciné par comment le script réussit à faire de Tulsa le centre du monde. Je sais pas si j'aime ou pas, mais c'est étonnant, on arrête pas de se dire "Mais pourquoi on est là ?" et en même temps ça choque pas.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et donc, quand tu bosses chez Premières, tu peux te contenter de traduire mot pour mot un article d'un site américain, en le raccourcissant histoire de gagner encore plus de temps :

http://www.premiere.fr/Series/News-Series/Watchmen-Damon-Lindelof-explique-pourquoi-il-a-demasque-Hooded-Justice?fbclid=IwAR0mezq0YFSmhQ4hKzQlr-AZn2Yb-_64PzWAhC4E0eglXZfxgNxr16VkPvs

https://collider.com/watchmen-hooded-justice-explained/

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L'article US est en lien dans l'article français.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bah ouais, mais de là à TRADUIRE et à signer de son nom, je trouve ça abusé.

J'ai bossé dans la presse, et je sais qu'il y a des contraintes de temps, des brèves que tu copie-colles, ça pas de problème.
Moi même, j'ai repris des structures et des angles d'articles en anglais, mais toujours en utilisant mes mots, en écrivant des phrases différentes. Là je trouve ça abusé, il a beau mettre le lien, ça n'excuse rien.

Il faut mettre un bandeau "d'après un article de Collider adapté par_", pas balancer ça comme tel.

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Épisode 7 :

Encore une fois, je trouve qu'il y a une idée mortelle de suite/spin off/fanfic : à quoi ressemble un Vietnam où la guerre a été gagnée par les USA et notamment grâce au Dr Manhattan? En cela, l'intro est superbe et j'ai vraiment cru que ça allait être un épisode aussi bon que les deux précédents...puis la série est retombée dans son principal défaut.

En effet, Watchmen est devenue la meilleure série à montrer comme exemple du "show, don't tell". Dès que ça montre (flashbacks, origin stories, actions entreprises), c'est fort, c'est incarné. Dès que ça blablate, Zzzzzz. Et cet épisode 7 cristallise bien cette dichotomie.

Dans l'ensemble, ça reste un bon épisode et je suis curieux de voir où va mener le twist couillu de fin d'épisode mais c'est quand même parfois laborieux.

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Un peu pareil, je ne sais pas trop quoi penser de cet épisode. Le twist est évidemment super excitant, mais apparaît vraiment abusé pour le coup.

Je redoute quand même une fin un peu attendue et banale, avec tout qui se retrouve expliqué et surligné. Le méga plan des méchants a pas l'air ouf, et Lady Trieu a perdu en mystère. Et puis y'a toujours ces trouvailles à la Lindelof qui semblent juste là pour faire "cool" (l'éléphant), sans que ça n'ait grand sens.
Mais je garde la foi, parce qu'il y a moyen de faire un beau sans-faute.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Bien aimé cet épisode encore une fois super classe et d'une densité dingue mais en effet les dialogues sont un peu trop explicatifs et le twist de fin c'est tellement gros que ça m'a gêné plus que surpris.

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CroqAnimement votre

En tout cas quand tu vois l'ampleur visuelle/thématique/imaginative/romanesque de cette série par rapport à ce putain de Mandalorian, tu te dis que certains gèrent mieux leur fanfictionnisme que d'autres...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Magnifique épisode 8 qui a blowé mon mind. Robert Frost avait dit un truc du style "En lisant un poème, on ne devrait pas pouvoir deviner quelle partie de la rime est venue avant l'autre". En voyant le titre de l'épisode, "A god walks into Abar", mon esprit était en feu en mode "Est-ce qu'ils ont pensé à ce titre en premier, ou est-ce qu'ils ont pensé au nom du personnage, ou est-ce que c'était une blague dans la writer's room...?" - bref, en micro ça m'a renvoyé au kif global de cette série avec tous ces renvois en interne, vis à vis de la B.D., vis à vis de la culture at large (géniale blague sur l'appropriation culturelle)... Cette écriture aux niveaux infinis. Fort.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Oui c'est vraiment fort ce qu'ils réussissent à faire. Si le final est non deceptif, on a une des séries les plus originales depuis un moment.
Et je partais avec un fort apriori à base de pas de fan Lindelof jusqu'ici, de à quoi bon le matériau génial de base se suffit à lui même, etc

Tout pareil. Ils m'ont explosé dès le titre. Et j'étais mort de rire au "je suis confus". Les voyages temporels y'a que ça de vrai.

Y'a une scène post-générique, vous l'avez vue ? Y'en avait-il d'autres avant ?

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Scène de merde, idée de merde. Les voyages temporels y a que ça de vrai mais les paradoxes de prédestination, c'est un twist du genre devenu old as fuck. J'en peux plus. Ça se croit malin mais c'est d'une facilité et d'un vain achevés.

Sinon l'épisode est très bien, notamment pour tout ce qui touche au romantisme, superbe. Mais au vu des dithyrambes, je m’attendais à plus mindblowing. L’épisode remplit des trous plus qu’il ne fait avancer l’histoire.

Et la représentation visuelle du perso fait plus cheap et moins "hors de ce monde" que la version Snyder.

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L'idée en elle-même est très belle (je parle d'Angela qui entre en contact avec son grand-père, pas de la conséquence).


Évidemment, mais ici je trouve pas que ça fasse malin justement. C'est pas amené comme un twist de ouf, mais plutôt comme une connerie pour boucher un trou, comme tu dis. J'aime la manière dont c'est fait, le ton... J'aime voir Manhattan destabilisé, moins omniscient.


Il est moins blanc C'EST ÇA ??

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Beaucoup aimé cet épisode encore une fois qui parvient à s'insérer parfaitement dans le cours de la série mais qui en même temps parvient à trouver un ton totalement à lui, un romantisme inattendu et émouvant avec une construction narrative d'une densité et d'une ambition quand même assez dingue. Après je trouve qu'il y a toujours des lourdeurs dans l'écriture (revoir des choses qu'on a déjà entendu pour expliquer un truc) ou des vulgarités que je trouve un peu mal placées (Abar qui répète "Motherfucker" à la fin alors qu'on est plutôt dans un moment émouvant, je sais pas ça m'a sorti du truc et comme FF le truc du grand-père c'est tellement con que j'espère que c'est pas la seule explication). Et ouais visuellement Manhattan assez cheum (sinon bien aimé le seul plan totalement tosgra sur la grosse teub de Calvin).

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CroqAnimement votre