Forum de FilmDeCulte

Ah bah je pensais que t'allais nous éclairer!

J'ai fait un drôle de rêve cette nuit aussi, moins délirant que celui de Gerry cela dit.

Je rêve que je rentre chez moi un soir, et là je vois une carte de la taille d'une carte bleue coincée entre la porte et le cadre de la porte. Je comprends aussitôt ce qui s'est passé, je pousse la porte et je vois qu'elle est ouverte et que j'ai été cambriolé. Tout est retourné et sens dessus dessous. Je fouille tout l'appart pour voir ce qu'on m'a volé. Rien. On ne m'a rien volé, ce qui m'inquiète encore plus. Je retourne vers la porte et je vois des billets de train scotchés à la porte.
Ensuite des mecs (dont un gros à la mine patibulaire qui tient un bar dans ma rue) se pointent chez moi pour boire l'apéro en me disant qu'ils ont vu que la porte était ouverte. Ils me demandent pourquoi mon appartement est en vrac, et rient quand je leur dis que j'ai été cambriolé. Me souviens plus de la suite.

Il y a 2-3 nuits, j'ai rêvé de la fin du monde en mode War Of The Worlds. C'est le chaos et des machines ultra-flippantes envoient des ondes dévastatrices. A un moment, je suis avec mon père dans ce qui semble être chez nous (enfin on est dans une pièce) et une boule d'énergie arrive dans la rue et dévaste tout sauf là où on est posé (me fait beaucoup pensé à la séquence de Cruise qui court en multiple plans, mais là c'était en une fois). Vraiment très dark comme ambiance, avec le sentiment que tout est fini dans une vaste giga-violence.
A un moment, je cours en tenant par la main quelqu'un dans une sorte de campagne dévastée et je lui dis un truc du genre : "C'est déjà arrivé y'a 2 ans."

Cette nuit j'ai rêvé que je découvrais la BA du prochain film de James Gray. Il y avait un plan de malade, une espèce de travelling bizarre qui s'approchait d'une fenêtre. Enfin bref. Je ne me souviens plus du reste, je vais devoir attendre la sortie du film en 2012 ou 2013.

Je viens à peine de voir ce message.

Génial.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Bon, je suis malade comme c'est pas permis depuis 2 jours, et je sais pas si pour vous c'est pareil, mais moi dans ce genre de situation je fais des rêves de malade. En l’occurrence, le pire c'était hier soir : j'ai passé la nuit assis sur mon canapé avec le bide en vrac car j'avais envie de chier et de dégueuler alors que j'avais l'estomac totalement vide. Paradoxe quoi. Segmentation fault.

Donc toute une nuit à fixer, assis, le mur devant moi, et à devenir maboule, mi-éveillé mi-endormi. Je cherche à comprendre comment mon corps fonctionne. J'imagine d'abord que mon cul est une sorte de turbine et que je dois la désencrasser pour qu'elle se remette à tourner. Ensuite je me rappelle que Walter White (je me suis enchaîné les 4 saisons de breaking bad ces derniers jours) ne fonctionne pas comme ça. Je peux lui faire confiance, c'est un chimiste. Mais d'un autre côté, sponge en est un aussi et on peut pas lui faire confiance à cet ivrogne.

Je reviens à une conception de mon cul beaucoup plus charale, et je me dis que faudrait littéralement que je me le retourne sur moi même pour virer toute la merde. Comme une chaussette qu'on retourne, mais avec un anus. Mais je me demande si c'est possible. Car du coup faut passer tout le corps, les bras, la tête. Je vais donc voir sur le forum, et là, Marlo me dit qu'il l'a déjà fait et que ça marche nickel. Tout le monde le traite de facho. Mais Art Core arrive avec un grand sourire en disant que lui aussi l'avait fait, et que c'était super. Je me dis que ces deux homos sont des gros marioles et que la dernière fois que je les ai vus, ils m'ont dit que Tintin était un bon film quoi.

J'en viens donc à imaginer une solution mi technologique, mi biologique : retourner mon cul par la science. Tout est une équation. Et à partir de là, toutes les 5 minutes, un petit bonhomme bleu vient me voir et me donne un truc à "retourner". La première fois, c'est simple. Il m'écrit : ":". La retournée est simple, je la lui donne : "..". Mais au fur et à mesure qu'il revient, ça devient de plus en plus dur. Il commence à me filer des pulls à retourner, des trucs ou il faudrait être plusieurs pour le faire, etc. Je commence à avoir sévèrement la pression. Je me rebelle, je lui dit que j'ai pas que ça à foutre. Et là, sanction : "Ok, puisque c'est comme ça, tu me retourneras 2 fois d'affilée ça :"



LE BOUZIN DE CONTACT QUOI

Je fonds en larmes, j'implore le gars de sa pitié. Ça me prendrait une éternité de le faire. Il me dit "ok, je vais te filer un truc plus simple : un temple maya".

Voilà, je me souviens de rien d'autre. J'ai hâte de la nuit qui arrive.

LOOOOOOOOOOOOOOOOOOL

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Netflix les gars, Netflix.

S'il y avait encore un top forum, ce serait le message de l'année.

Merveilleux !

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, énormissime !

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CroqAnimement votre

C'est un honneur que d'être cité dans un message aussi ouf.

Je viens juste de rêver que l'aviation Belge vient de bombarder la route à coté de chez moi en biplan. Le mec a viré trop court et s'est ensuite crashé dans un arbre.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Même tes rêves sont militaires en fait !

ça m'arrive assez souvent que des trucs militaire stressants du passé reviennent oui, même 20 ans après.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Le rêve commence dans la banlieue Nord Est de Paris, dans une sorte de cabaret. Ya au moins un cousin et d'autres connaissances. A la fin du spectacle ya des filles qui font de l'effeuillage gentil sur une scène circulaire qui tourne au centre du théâtre. Mon cousin se lève trop tôt et du coup son abonnement à l'année est annulé (400€).
Plus tard, dans l'appart (imaginaire), je lui dis que c'est injuste et qu'il devrait réclamer.
Plus tard, je suis dans une espèce de fac avec des statues de semi-chevaux en ambre.
Je discute pas mal avec les gens, ya des vieux potes.
Je me retrouve (plus tard) enfermé dans un colisée, juste avec des haillons, pendant une durée indéterminée (10+ ans). On me nourrit à peine, je dors à même le sol dans une cellule. Enfin je sors pour combattre. Je prends un coca et des sandwichs à un distributeur. on me file une épée en bois pour m'entraîner. Je m'entraîne quelques jours, puis vrai combat. Je gagne, alors je choppe une lance qui traîne et je tue l'impératrice d'un bel arc parabolique. Je hurle, tout le monde hurle, des types (notables) arrivent vers moi, je fais "le Roi est mort, vive le Roi. Ca
vaut le coup de tenter, non ?". Les types me guident vers le siège de l'impératrice. Je me demande ce qu'ils vont faire de moi, peut-être que si je suis docile et que je prête serment ou quelque chose ils me laisseront partir. Et en fait ya un gars en tenue d'apparat à la mine désolée qui me dit de m'assoir, mais que je dirigerai avec des conseillers. J'enlève ma côte de maille brillante et je m'assois sur le trône en haillons. Regards désaprobateurs,
les notables ne savent pas trop quoi faire de moi. On me les présente, des gens sympas.
Je demande si je peux nommer quelques conseillers à partir de la plèbe. Mon conseiller principal me regarde et me dit "Vous savez, vous parlez de la plêbe là. il ne sont pas aptes à diriger". Je lui dis qu'il y en a quand même quelques uns qui valent le coup.
Il soupire et accepte ("Mais pas trop", précise-t-il). La journée se finit, je descends un escalier avec les conseillers qui m'expliquent comment marche le protocole etc... Je leur demande si je peux passer par l'escalier monumental. Ils me disent qu'ils ne l'utilisent presque jamais, ou que pour les grandes cérémonies. Je me renseigne sur les horaires : 7h30-20h. Prenant, je pense. Je me dis qu'il faudra que je me renseigne sur le salaire. Avant de sortir d'un batîment qui, de dehors, à l'air d'un immeuble de bureaux, on me dit qu'il vaut mieux que je laisse la couronne ici. Alors je la laisse.
Un des conseillers me dit qu'il prend le RER pas loin, qu'il peut me montrer le chemin.
Je le suis. On arrive au RER, il y a un jeune qui s'accroche à mon épaule, je me dégage, le mec me dit :"Mais tu comprends pas, l'autre meuf là, elle m'a pêté le nez." Et juste à côté, il y a effectivement une femme d'environ 35 ans, sèche, brune, en train de rire aux éclats.
Je me dépêche de prendre le RER. Bien entendu, il y a trop de lignes (D1, D2, D3), je me perds. Je finis par sortir quelque part, ya une réplique du Palazzio Piti de Florence par la fenêtre, et ya des cartes des transports de plusieurs grandes villes du monde affichées dans les couloirs : Londres, new York, Kinshasa, mais pas Paris.
Je finis par réaliser que je suis à Charles de Gaulle. Faut que je reprenne un ticket. Mais ya des files d'attente incroyables à toutes les machines. Je me réveille.

Il manque quelques enchaînements mais c'est du bon rêve bien délirant.
Le plus rigolo c'est comment tu te souviens de petits détails insignifiants....

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I am the constant. You were always a variable.