Forum de FilmDeCulte

Ouf, j'ai un peu de marge !!

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Prove it.

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FF, t'es pas invité à la noce !

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Toi t'es invité à manger son os.

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Toi t'es invitée à manger son os

Toujours d'humeur aussi agréable !

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Ça tombe bien, j'ai un peu d'Homer !

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Netflix les gars, Netflix.

Nan mais il est plus drôle que ça en vrai, Noisette, je te promets.

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Moi j'la kiffe cette blague.

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Netflix les gars, Netflix.

Les Grandes gueules de Robert Enrico ( 1965)

Quand on parle de films sérieux avec Bourvil, on pense souvent au cercle rouge de Melville. Chez moi, c'est toujours les Grandes gueules qui me vient à l'esprit.
Hector Valentin ( Bourvil) hérite d'une scierie en très mauvaise état. Il décide malgré tout de la remettre sur pieds. Deux anciens détenus venus accomplir une vengeance ( Lino Ventura et Jean Claude Rolland ) le convainquent d'embaucher des détenus en liberté conditionnelle. Hector devra faire face à la reticence de la population locale d'avoir des voyous en voisins, à la concurrence d'une boite moderne qui fera tout pour le détruire mais aussi à la difficulté à gérer un groupe d'hommes à forts tempéraments.

Ce film est une des rares tentatives de western à la française. Ici, on a une relecture moderne d'une histoire classique de western. Il suffit de remplacer le ranch par une scierie.
Le film tient surtout pour son casting de gueules toutes plus parfaites les une que les autres. Le film plaira aux amateurs d'amitiés viriles mais aussi aux fans de Ventura ( toujours impeccable dans son registre) et de Bourvil. Ce dernier exploite à merveilles ses capacités cachées de jeux. On découvre un homme qui peut passer pour un leader, un homme physqiue, drôle mais aussi émouvant. A l’instar, je trouve le final très poignant. C'était une époque bénie ou on refusait le happy end obligatoire. Saluons le script de Giovanni d'après son roman le haut -fer. Giovanni était non seulement un bon scénariste, un bon romancier et un réalisateur non négligeable (Dernier domicile connu ).

Vraiment un film à redecouvrir

Top 15 sans ordre particulier (sauf le premier)

L'armée des ombres
Le doulos
Les maudits
L'important c'est d'aimer
Le vieux fusil
Garde à vue
Le convoyeur
Les chansons d'amour
Les choses de la vie
Ca commence aujourd'hui
Le salaire de la peur
L627
La bête humaine
Une étrange affaire

Ah, je l'aime bien celui-là aussi !

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Ah tiens j'avais pas fait celui-là.

Allez 15 par ordre chronologique:

-La Règle du jeu. Jean Renoir (1939)
-Madame de... Max Ophuls (1953)
-Un condamné à mort s'est échappé. Robert Bresson (1956)
-L'Année dernière à Marienbad. Alain Resnais (1961)
-Chronique d'un été. Jean Rouch et Edgar Morin (1961)
-Le Mépris. Jean-Luc Godard (1963)
-Les Parapluies de Cherbourg. Jacques Demy (1964)
-La Maman et la putain. Jean Eustache (1973)
-Céline et Julie vont en bateau. Jacques Rivette (1974)
-Sans soleil. Chris Marker (1983)
-A nos amours. Maurice Pialat (1983)
-De Bruit et de fureur. Jean-Claude Brisseau (1988)
-Disneyland, mon vieux pays natal. Arnaud des Pallières (2000)
-La Vie nouvelle. Philippe Grandrieux (2002)
-Hadewijch. Bruno Dumont (2009)

J'écarte les Bunuel et autres Dreyer.

J'ai pas encore trouvé le courage d'explorer sérieusement le cinéma classique français et certains auteurs m'ont échappé (quasiment rien vu ou il y a trop longtemps de Melville, Tati etc.).
Bref j'ai encore du boulot.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

-Les Yeux sans visage
-La Maman et la putain
-L'armée des ombres
-Pierrot le fou
-Domicile conjugal
-Buffet Froid
-Garde à vue
-Les Compères
-De battre mon coeur s'est arrêté (j'aime bien également l'original avec Keitel)
-Plein Soleil (je garde tout de même une préférence pour le remake, la fin de celui-ci est plus marquante, mais l'optique choisie dans le film de Minghella est beaucoup plus intéressante)

Les évidents dans mon top de tous les temps :

- Mon Oncle
- Peau d'âne
- Irréversible

Et sans trop réfléchir :

- Un prophète (ou De battre..)
- La cérémonie.
- La vie de Jésus.
- Vincent, François, Paul et les autres.
- Le goût des autres.
- Les triplettes de Belleville.

Et dans le franco-"autre-machin" :

- La Pianiste.
- Amour.

Alors tu te refuses de mettre deux Audiard pour le principe, mais deux Haneke ça te pose pas de problème ?