Forum de FilmDeCulte

Ma femme fatale est en train d'hypnotiser Mimi en fait... petit petit petit

d'ailleurs Jay Baruchel vit à Montréal !

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Janet

Allez, GRF avec Baruchel à BK.

Deux jours à tuer de Becker :

Grosse déception.
Déjà, j'ai trouvé ça assez mal filmé, la caméra qui tremblotte et les plans inutiles d'une seconde qui se succèdent à vitesse grand V, très peu pour moi.
Ensuite, hormis les scènes de la voiture, du repas et de l'auto-stop plutôt bien écrites mais que j'avais déjà vu, bah il ne reste pas grand chose quoi, et une fois que Dupontel se casse à la campagne (en passant par Valognes, ma ville natale *non mais je le précise quoi, c'est pas tous les jours qu'on cite cette ville merdique de 9 000 habitants dans un film...*), c'est du grand vide.
Mais surtout, la fin est extrêmement décevante quoi, pourquoi cette morale à la con ?
Ça ma beaucoup fait pensé à mes rédac' de collégien, j'écrivais les emmerdes, le cauchemar ou la descente aux enfers d'un gars et une fois que ça arrive à son apogée, il se réveille en sursaut, trempé de sueur. Bah là c'est pareil, sans couille.

2/6.

*Regarde du film français, qu'ils disaient...*

Dans ce cas, fallait mater du Jacques Becker, pas du Jean.

D'ailleurs il a fait quoi de bien le Jacques, à part Le Trou, que j'ai déjà vu (et adoré) ?

Touchez pas au Grisbi et Falbalas.

J'aime moins Casque d'Or, même si c'est à voir.

lol, clair !

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N'écoutez pas Film Freak

Revu Innocence d'Oshii. J'ose pas ouvrir un topic qui serait redondant par la faute d'une fonction recherche inaboutie qui se conclut par l'acceptation de l'inexistence d'un précédent sujet, mais j'aime beaucoup ce film. Visuellement éblouissant, ambiance totalement envoutante et récitations philo bien drôles et, en fait, bien justes. La fin est une tuerie, magnifique simplicité du plan à double signification, entre la poupée à réminiscence du Major et symbolique d'un monde voué aux machines à rêver. Beau.

Même en le découvrant à l'Orient-Express, j'ai réussi à être ébahi. Gageure.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Ce qui est dingue, c'est que c'est pas du tout un trip constant, une sorte d'ébahissement béat. Tout est expliqué, quand Descartes ou autre sort d'une bouche, on le souligne, quand le rêve devient réalité, on est déplugué en concentrant l'action par un long plan,... Bref, la mise en scène et les dialogues sont didactiques, mais le truc de ouf c'est qu'on a quand même l'impression de flotter, de ne saisir que la queue du chien et de cerner que tout est limpide (le Major réinterprété par une poupée en est un exemple magnifique) mais facilement adapté à notre imagerie ou visuel. La scène de l'auto-flinguage est à mes yeux unique, ce mélange de parano subjective et d'incompréhension du phénomène présent, pfffui.

revoyure (un tout petit peu inquiète avant de mettre le dvd après toutes ces années) de RoboCop : bah certes ça a un peu vieilli et les p'tits trous du scénario sont visibles mais on s'en fout, c'est jouissif, ça défouraille, ça prend pas de gants, c'est charal, c'est drôle, c'est tordu, i love it.

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Ah, Robocop, c'est inlassable....

J'ai découvert Looker de Crichton à Bercy dans une copie un peu pourrave, mais le film est vraiment très fun, étonnamment visionnaire pour son époque malgré un aspect un peu kitsch... Un techno-thriller assez sexy avec un Albert Finney qui découvre toute une conspiration autour d'images publicitaires. Bonne pioche !

Demain, je vais me faire son Coma.

Et au delà de ça, c'est quand même super intelligent et visionnaire.

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Que lire cet été ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Je me refais un visionnage régulièrement. Il fait partie de mes films de chevet (avec prédator, the big lebowski et starship troopers).
Et à chaque fois le même pied, je trouve pas que le film ait particulièrement vieilli (a part certains FX ahhh ED 209 je l'adore) et surtout son propos est plus que jamais d'actualité.

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