Forum de FilmDeCulte

J'avais lu tout un truc sur l'éthique du montage des scènes de roulettes russes dans Voyage au bout de l'enfer.

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CroqAnimement votre

La fin de Killer Joe.


L'impression qu'on va citer 15 000 scènes.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

La scène de meurtre de Witness, de Peter Weir : violente, sanglante, mas toujours à travers le regard de l'enfant qui en est témoin. Je trouve que c'est un modèle du genre.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bon courage.



Essaie du côté de Leone. J'ai pas vu les films depuis un moment mais il me semble que Il était une fois dans l'Ouest et en Amérique (la scène du viol par exemple), sont les plus exemplaires qui soient dans le genre. Peut-être Lynch aussi.

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N'écoutez pas Film Freak

Et Peckinpah éventuellement.

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N'écoutez pas Film Freak

Ah oui, Leone, très bon exemple.
Mizoguchi, peut-être aussi ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Peckinpah je trouve que ça rentre justement dans une forme d'esthétisation de la violence dont parlait Tom plus haut, j'y vois pas du tout un commentaire sur la violence.

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CroqAnimement votre

Je ne sais même pas quoi te répondre. C'est comme si tu me disais que Chaplin ne faisait pas de film sur les rapports de classe.

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N'écoutez pas Film Freak

Mizoguchi, ouais, c'est bien vu !

Vu que l'on parle western, Deadwood a des scènes assez fortes sur ces questions là (rien que la scène d'intro du pilote...)

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ART: Ça mène à l'hôpital. A quoi ça sert, puisqu'on le remplace par la mécanique qui fait mieux et plus vite.

Si je ne devais citer qu'une scène, je dirais la dernière avec Fredo Corleone sur le lac Tahoe (Le Parrain 2).
Et Sinon il y a aussi la fameuse scène finale de To Live and Die in L.A, ou encore celle avec Spider dans Les Affranchis.

J'adore Peckinpah hein mais j'ai l'impression que Tom recherche des scènes où l'on commente un certain rapport à la violence à travers la manière de la mettre en scène (comme chez Haneke comme dit plus haut). Je ne vois pas ça chez Peckinpah. Le rapport à la violence est chez lui directement lié au cinéma et à sa représentation. D'ailleurs je trouve que c'est un peu pareil chez Leone. J'ai l'impression que vous parlez de deux choses différentes (ou c'est moi qui n'ai rien compris).

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CroqAnimement votre

J'ai compris comme toi, il me semble qu'il cherche des films ou des séquences dont le sujet est justement la violence elle-même.

D'ailleurs, Top, tu as Bronson de NWR, où l'ultra-violence devient une forme d'art contemporain.

Elephant?

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Bronson ?

c'est en effet un bon surnom

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