Forum de FilmDeCulte

Le forum cinéma le plus méchant du net...
Nous sommes le 23 Nov 2024, 03:18

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 16 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante
Auteur Message
 Sujet du message: Michael Cimino
MessagePosté: 13 Mai 2014, 18:42 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juin 2013, 15:21
Messages: 2563
Localisation: Le Zócalo
Image


1974 : Thunderbolt and Lightfoot: 4/6
1978 : The Deer Hunter: 6/6
1980 : Heaven's Gate: 5/6
1985 : Year of the Dragon: 6/6
1987 : The Sicilian: 3/6
1990 : Desperate Hours: pv
1996 : Sunchaser: 4/6

Un excellent début de carrière, après Year of the Dragon (mon préféré finalement) c'est nettement plus inégal.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 13 Mai 2014, 20:36 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Nov 2013, 23:05
Messages: 3534
1974 : Thunderbolt and Lightfoot: 4/6
1978 : The Deer Hunter: 3/6
1980 : Heaven's Gate: 4/6
1985 : Year of the Dragon: 4/6

(Avec une petite préférence pour le Canardeur).


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 13 Mai 2014, 22:00 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Déc 2008, 02:29
Messages: 14012
The Deer Hunter son moins bon film ?!


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 13 Mai 2014, 22:40 
Hors ligne
Schtroumpf sodomite
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 22 Mar 2006, 22:43
Messages: 24601
Localisation: Arkham Asylum
Heaven's Gate 3/6

Vu les autres il y a bien trop longtemps.

_________________
N'écoutez pas Film Freak


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 13 Mai 2014, 22:52 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
C'est pour moi, ça... Je copie-colle.

LE CANARDEUR
Premières images, et premiers thèmes qui éclatent aux yeux d'un spectateur ébloui par la virtuosité de la caméra et la beauté prodigieuse du cinémascope. Clint Eastwood en pasteur, poursuivi par un homme armé au milieu d'un plan large fordien: déjà l'importance des rites religieux, initiatiques, sociaux, bouleversés par la violence d'une société moderne dans laquelle des marginaux anachroniques ne peuvent survivre. Alors on fuit à travers les grands espaces américains, au hasard des rencontres. Thunderbolt and Lightfoot (oublions le titre français mensonger et racoleur), c'est l'éclosion d'un talent brut, d'une perle nacrée et fragile, d'un cinéaste surdoué qui allait changer à tout jamais la face du cinéma américain. Car Hollywood ne peut se relever d'une telle claque, d'une telle évidence, d'une aussi grandiose assimilation de tous les thèmes qui ont fait la force et la gloire de la cité des rêves. La naissance cinématographique de Michael Cimino à travers ce chef-d'œuvre discret marque la mort d'un empire, la fin d'une ère, et il devient évident, au vu du miroir qu'il lui tend, qu'un tel cinéaste ne pouvait qu'être absorbé ou rejeté par l'Amérique.
6/6


VOYAGE AU BOUT DE L'ENFER
Contrairement à l'idée reçue, Voyage au bout de l'enfer est moins un film sur le Vietnam que sur son effet sur l'inconscient américain. Le titre original, The Deer Hunter ("Le Chasseur de daims"), indique d'ailleurs plus une épopée intimiste sur un pays transformé par une guerre sanglante, qu'un véritable manifeste sur la guerre elle-même. Certes, le film restera avant tout dans l'inconscient collectif pour ses traumatisantes scènes guerrières, dont l'apogée reste bien entendu la fameuse roulette russe entre prisonniers. Mais le réduire à sa prodigieuse heure centrale serait mal comprendre le propos du cinéaste, dont la thématique s'affirme ici plus que jamais. Amérique dans ce qu'elle a de plus archétypale (mariage, chasse, Dieu, armée), confrontée à l'enfer absolu dans lequel elle envoie ses boys. Les conséquences? La destruction littérale de la conscience humaine, le vol en éclat du rêve américain, l'anéantissement des rites religieux et sociaux par un pays entièrement tourné vers la violence. Et lorsque les repères sont perdus, lorsque tout ce que l'on tenait pour acquis s'évanouit sous nos yeux, il ne reste plus que deux extrémités: le plongeon définitif (Nick) ou le refus pur et simple (Michael).
6/6


LA PORTE DU PARADIS
Le film qui changea à tout jamais le cinéma américain, tel qu'on l'avait connu dans la glorieuse période des seventies. Une œuvre monumentale, dénigrée, violemment refusée par la critique et le public, entièrement remontée, charcutée par les producteurs qui l'amputèrent de plus d'une heure mais qui, en l'état, parvenait malgré tout à se placer en tête des plus grands films américains de la décennie. Qu'en est-il exactement? L'arrivée des premiers colons irlandais en Amérique, et l'accueil sanglant qu'ils reçurent. 3h40 (dans sa version longue) de bonheur absolu, une succession ininterrompue de scènes magistrales et anthologiques, l'ouverture sur la plus belle valse de toute l'Histoire du cinéma, la découverte de l'acteur fétiche du cinéaste (Mickey Rourke). La Porte du paradis défie toute notion critique, repousse toutes les limites de la perfection et entre d'emblée au panthéon des plus beaux films du siècle. Mais au-delà de sa perfection plastique, c'est aussi la confirmation d'un véritable et précieux auteur, dont les thèmes récurrents se font de nouveau ressentir: inadéquation entre le marginal, l'étranger, et cette terre d'accueil que constitue l'Amérique, hypocrisie d'une société rigide, rites salvateurs... Malheureusement, ce film constitue pour Cimino un suicide pur et simple - du moins d'un point de vue commercial.
6/6


L'ANNEE DU DRAGON
1985. Arrive la nouvelle, enfin : Cimino recommence à tourner. Les fans n’en peuvent plus d’attendre, le projet s’annonce énorme, il le sera au point de déchaîner contre lui la communauté chinoise qui y voit une caricature de Chinatown. L’Année du dragon est un semi échec financier, mais s’impose cependant comme un nouveau chef-d’œuvre du cinéaste. La maîtrise de la mise en scène y est éblouissante, le scénario (portant la signature d’Oliver Stone) est absolument bouleversant, les scènes anthologiques s’enchaînent de nouveau et Mickey Rourke trouve là son plus beau rôle. Constituant une synthèse des œuvres de Stone et de Cimino, cette histoire d’un flic irlandais, déraciné, perturbé par la guerre du Vietnam, est une claque énorme dont la toute fin constitue la seule erreur. Remontage des producteurs pour les uns, incroyable beauté du plan final pour les autres. Le mystère reste entier.
6/6


LE SICILIEN
D'emblée l'on remarque ce qui a pu plaire au cinéaste dans ce spin-off du Parrain écrit de nouveau par Mario Puzzo. Une sorte de Porte du paradis sicilienne, dans laquelle les grands espaces sont toujours aussi bien filmés, l'utopie ciminienne (le partage des terres) toujours aussi prégnante, l'importance des rites (religieux, mortuaires, politiques...) toujours aussi évidente. Pourtant, il y manque quelque chose et le film s'impose directement comme le moins bon du cinéaste. La caméra, de précise, passe à hésitante. La scène de danse se révèle aussi limitée que celle de La Porte du paradis était belle. Les acteurs font ce qu'ils peuvent mais semblent un peu trop livrés à eux-mêmes dans une histoire qu'ils maîtrisent mal (bizarrement, Lambert n'est pas ici le pire). Le film conserve en l'état quelques très beaux moments, mais ne restera pas dans l'Histoire au même titre que les autres films du cinéaste. Une déception relative, donc, qui sonne cette fois définitivement le glas du cinéaste.
4/6


LA MAISON DES OTAGES
Cinéaste des rites et de la transmission du savoir, Cimino ne pouvait que s'attaquer tôt ou tard frontalement au problème de la famille et de sa dissolution. Film mal aimé, mal compris, La Maison des otages s'inscrit parfaitement dans une œuvre entièrement tournée vers la notion de traîtrise, opposée à celle de la confiance. Il n'y a pas de méchant ou de gentil dans les films de Cimino, il n'y a que des déçus de l'Amérique, des mavericks qui ont subi le système et refusent de se faire avoir une fois de plus. Mickey Rourke, qui n'est jamais meilleur que lorsqu'il est dirigé par ce cinéaste, engrange un combat loyal contre le mensonge qui assaille une famille en instance de divorce. Qui est le véritable méchant? Le preneur d'otage ou le père qui abandonne sa femme et ses gosses? Filmés comme des héros mythiques (systématisation de la contre plongée), les personnages de Cimino sont des archétypes du combat qui fait rage entre deux mondes, celui, ancien, que le cinéaste vénère, et le nouveau, qu'il rejette. Comme toujours, le salut se trouve dans l'immensité des paysages américains, qu'il filme avec un calme et une sérénité magnifiques.
5/6


SUNCHASER
Voyage à travers les grands espaces fondateurs du mythe hollywoodien, le dernier film du plus grand cinéaste américain de ces trente dernières années constitue avant tout une tentative avouée de retrouver une virginité de metteur en scène, par le biais d'un retour aux origines. Origines du réalisateur (qui a du sang indien), du cinéma (le film est un voyage nostalgique, et visuellement splendide, au travers d'images fordiennes de paysages américains), et horizons perdus au sein d'une capitale qui refuse de reconnaître le génie de l'un de ses plus talentueux hérauts. Pour Cimino, qui n'a eu de cesse de se retourner contre son pays lors de ses précédents chefs-d'œuvre, le salut se trouve dans ce retour aux sources, dans ce périple intérieur au cœur de la mémoire de l'Amérique et de son cinéma. Venu au monde cinquante ans trop tard, à l'image de cet autre marginal qu'était Sam Peckinpah, Cimino ne se reconnaît plus dans le miroir que lui tend aujourd'hui ce support qui s'appelait autrefois le septième art. Alors il entreprend, par le biais de ce personnage de médecin emmené malgré lui à la recherche d'un lac surnaturel (sublimes dernières scènes), ce voyage supposé le ramener à la beauté initiale du cinéma et de l'Amérique. Afin "que la beauté soit devant lui, que la beauté soit au-dessus de lui, que la beauté soit tout autour de lui".
6/6


Et j'ajoute ma (très courte) rencontre avec le monsieur :
http://www.objectif-cinema.com/spip.php?article3671

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 07:00 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 20 Fév 2008, 19:19
Messages: 9899
Localisation: Ile-de-France
Intéressant! Des news sur ses projets? Ou il est trop vieux?


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 07:09 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
On a parlé de La Condition humaine, oui. Mais ça fait dix ou quinze ans que c'est son "nouveau projet". Le problème c'est qu'il a ses exigences, il veut un budget d'au moins 50 millions de dollars. Je pense que son avenir se situe dans les petits projets comme un Coppola, sauf qu'il semble n'en avoir aucune envie.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 07:16 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 20 Fév 2008, 19:19
Messages: 9899
Localisation: Ile-de-France
En même temps c'est son truc les gros films, s'il doit faire des petits films tout mignons car personnels, donc des merdes comme Coppola, c'est pas la peine.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 10:34 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 14 Mai 2014, 10:12
Messages: 3702
1978 : The Deer Hunter: 4.5/6
Prenant. Revu dernièrement et j'avais le souvenir d'un film un peu plus "calme". Or Cimino impose de la tension tout le temps, ça m'a paru presque hystérique.

1980 : Heaven's Gate: 4.5/6
Peut être un peu moins prenant...On est partagé entre la contemplation d'un film avec beaucoup d'ampleur (visuelle, narrative, thématique), ces scènes d'une bobine et le désintéressement envers les personnages. C'est un film qui, par son sujet, devrait révolté mais laisse froid. Quelque chose ne prend pas, d'où son échec (?).

1985 : Year of the Dragon: 5/6
a revoir...je dirais que c'est mon préféré.

Reste à découvrir ses films plus modestes.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 11:00 
Hors ligne
Sir Flashball
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Déc 2013, 01:02
Messages: 23852
Déjà-vu a écrit:
The Deer Hunter son moins bon film ?!


Cooper confond avec ça :

Image

_________________
"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 12:20 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 03 Nov 2013, 23:05
Messages: 3534
Faudrait que je le revois, je suis peut être méchant avec mon 3/6, mais comme pour la porte du paradis, l'intro d'une heure me saoule au possible.

Limite je serais curieux de voir le remontage d'1h40 de Soderbegh, sur ce film, je sais que certains vont crier au scandale, mais personnellement je trouve ca beaucoup trop long.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 12:23 
Hors ligne
Meilleur Foruméen
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
Messages: 86857
Localisation: Fortress of Précarité
Cooper a écrit:
Faudrait que je le revois, je suis peut être méchant avec mon 3/6, mais comme pour la porte du paradis, l'intro d'une heure me saoule au possible.

Limite je serais curieux de voir le remontage d'1h40 de Soderbegh, sur ce film, je sais que certains vont crier au scandale, mais personnellement je trouve ca beaucoup trop long.

Pour une fois, on est d'accord.

Ça m'avait pas soufflé comme film.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 13:35 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Baptiste a écrit:
En même temps c'est son truc les gros films, s'il doit faire des petits films tout mignons car personnels, donc des merdes comme Coppola, c'est pas la peine.


Il avait un temps apparemment en projet d'adapter son roman Big Jane, un road movie avec deux personnages. Je l'ai déjà dit ici, je suis toujours surpris de voir tant de cinéastes rester inactifs alors qu'ils pourraient tourner des projets plus légers. J'admire la dynamique d'un Coppola ou d'un Carpenter (sur Prince of Darkness ou They Live, deux projets à 3M$).

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 14:10 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Mai 2008, 10:03
Messages: 6193
Localisation: Poitiers
Il est mégalo Cimino ; hors de question de se contenter d'un petit budget.

_________________
You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Michael Cimino
MessagePosté: 14 Mai 2014, 15:34 
Hors ligne
Vaut mieux l'avoir en journal
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22923
Localisation: Paris
Je crois que le côté artiste maudit lui convient bien aussi. Il préfère ne pas réussir à monter La Condition humaine que potentiellement se vautrer sur un petit projet.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 16 messages ]  Aller à la page 1, 2  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Articles en relation
 Sujets   Auteur   Réponses   Vus   Dernier message 
Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Re: Top Michael Bay

[ Aller à la pageAller à la page: 1 ... 8, 9, 10 ]

sponge

143

14913

13 Mar 2023, 00:36

Film Freak Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Michael Mann

[ Aller à la pageAller à la page: 1 ... 7, 8, 9 ]

Mister Zob

129

15371

06 Avr 2022, 01:42

flatclem Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Top Michael Crichton

Karloff

14

1743

13 Nov 2010, 12:21

Umanimo Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Michael Curtiz

Qui-Gon Jinn

3

349

08 Oct 2023, 22:00

Arnotte Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Top - Michael Haneke

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3 ]

xTom

34

3900

08 Oct 2024, 18:29

Lohmann Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Top Michael Powell et Emeric Pressburger

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2 ]

Tom

21

2740

17 Nov 2014, 21:01

Tom Voir le dernier message

 


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 1 invité


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
cron
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com
phpBB SEO
Hébergement mutualisé : Avenue Du Web