Forum de FilmDeCulte

1942 : Ceux qui servent en mer (In Which We Serve) coréalisé par Noel Coward

1944 : Heureux Mortels (This Happy Breed)

1945 : L'esprit s'amuse (Blithe Spirit)

1945 : Brève Rencontre (Brief Encounter)

1946 : Les Grandes Espérances (Great Expectations)

1948 : Oliver Twist

1949 : Les Amants passionnés (The Passionate Friends)

1950 : Madeleine

1952 : Le Mur du son (The Sound Barrier)

1954 : Chaussure à son pied (Hobson's Choice)

1955 : Vacances à Venise (Summertime)

1957 : Le Pont de la rivière Kwaï (The Bridge on the River Kwai)

1962 : Lawrence d'Arabie (Lawrence of Arabia)

1965 : Le Docteur Jivago (Doctor Zhivago)

1970 : La Fille de Ryan (Ryan's Daughter)

1984 : La Route des Indes (A Passage to India)

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

J'en ai vu 2-3 récemment, et j'ai trouvé ça à chaque fois assez exceptionnel. Donc pour me donner de l'inspiration pour continuer dans sa filmo, j'ouvre ceci.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

1948 : Oliver Twist . Bien mieux que le Polanski. superbe Alec Guiness

1955 : Vacances à Venise (Summertime)

1957 : Le Pont de la rivière Kwaï (The Bridge on the River Kwai)

1962 : Lawrence d'Arabie (Lawrence of Arabia)

1965 : Le Docteur Jivago (Doctor Zhivago)

1970 : La Fille de Ryan (Ryan's Daughter)

1984 : La Route des Indes (A Passage to India)

J'ai vu ceux là et je les aime tous beaucoup. Certains lui colle le terme cinéma à la papa, académique etc mais j'aime beaucoup.

C'est tout sauf académique...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

1945 : Brève Rencontre (Brief Encounter)

Vu très jeune, je n'en garde que quelques bribes. Très envie de le revoir.

1946 : Les Grandes Espérances (Great Expectations)

Idem, mais moins chaud pour le revoir, parce que j'ai lu le roman y a pas longtemps.

1952 : Le Mur du son (The Sound Barrier)

Traite du même sujet que The Right Stuff, mais sous un angle totalement différent, et ça donne un film moins ample, qui cherche moins à raconter la grande histoire que chroniquer une obsession. J'ai trouvé ça magnifique.

1957 : Le Pont de la rivière Kwaï (The Bridge on the River Kwai)

Grand film, qui commence à se brouiller dans ma tête. Il faut absolument que je le revoie.

1962 : Lawrence d'Arabie (Lawrence of Arabia)

Idem. Et une orgie formelle absolument incroyable.

1965 : Le Docteur Jivago (Doctor Zhivago)

Vu gamin, je ne m'en souviens absolument pas. A revoir aussi.

1984 : La Route des Indes (A Passage to India)

Et ça, c'est juste un des plus grands films de l'histoire du cinéma. C'est déjà plastiquement à tomber, mais c'est aussi un drame humain qui fend l'âme, et une adaptation de Forster qui n'a pas à rougir devant le roman.

Les autres, pas vus !

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ce qui n’est pas très compliqué !

Je ne trouve pas non plus mais je ne suis aps bon juge car je n'ai jamais compris ce que cela voulait dire.

On a pourtant souvent qualifié David Lean des pires adjectifs : compassé, raide et, horreur, « académique. Il se faisait allumé par certains critiques qui ne voyaient que l'aspect grosse production et machine à oscars de certains films.

Je conseille fortement la fille de Ryan adaptation libre de Flaubert qui pourtant se fait laminer à sa sortie par la critique. On parlait de cinéma désuet. Un grand Mitchum. C'est beau et surtout émouvant.

Formellement c'est assez dingue.

Il est vrai

Académique ? Consensuel, ça le résume assez bien :

https://www.critikat.com/actualite-cine ... e-tambour/

Ahah rien qu'en lisant le para sans regarder l'auteur j'ai reconnu le style de Tetsuo (et son dégoût bien connu du Tambour).

Concernant Lean, Brève rencontre découvert récemment m'a bien plu, ainsi que Vacances à Venise. Les deux sont des études de la "possibilité d'une île" en amour, sujet Ô combien universel, et de ce fait le côté classique de ce cinéma y souffre moins, trouvant une profondeur naturelle, avec une forme d'élégance qui cache une amertume infinie.

En revanche, oui, Lawrence d'Arabie, ça m'avait semblé coller parfaitement à l'académisme, je m'y étais beaucoup ennuyé. Le grand livre d'Aventures à l'ancienne illustré... Quant à la beauté formelle, en dehors des moyens de blockbuster, y a rien qui m'avait chamboulé. Je dirais bien qu'il faudrait que je le revoie, mais mon souvenir est tellement celui d'un ennui poli que c'est clairement pas une priorité.

Vu Le Pont de la rivière Kwaï adolescent.

J'ai reconnu à son laïus sur l'indignation et la révolte.



Dans mon souvenir, mais c'est lointain, et c'est pour ça que je veux très vite le revoir, c'est un très grand film sur l'hubris, sur l'homme face à son rêve, un thème que Lean explore aussi de façon magnifique dans Le Mur du son.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

En effet le portrait nuancé de l'homme est ce qu'il y a de plus intéressant, la perfection qu'il semblait incarner se craquèle lors d'un derniers tiers plus beau que le reste, dans mon souvenir.

On parlait musique dans le topic Donner, et on pourrait en parler ici car les BO de Jarre sont des chefs-d'œuvre. Oui j'aime enfoncer des portes ouvertes.

C'est vraiment un compositeur super hétérogène. Sa BO de Witness est insupportable, par exemple.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

En l'occurence je parlais de Lawrence et Jivago.