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 Sujet du message: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 12:31 
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Riens du tout (1992)
Pas vu.

Le Péril jeune (1994)
4/6 - c'est grave décousu et sans doute un peu simplet mais sincère et souvent juste.

Chacun cherche son chat (1996)
2/6 - court métrage étiré en ode brouillonne à la femme paumée sous forme de vignettes à gros clichés, après c'est inoffensif mais c'est aussi complètement inutile.

Un air de famille (1996)
3/6 - j'accroche tout simplement pas à l'humour Bacri-Jaoui. A revoir cela dit.

Peut-être (1999)
3/6 - j'admire l'audace du projet mais le résultat apparaît comme un Retour vers le futur moins abouti.

L'Auberge espagnole (2002)
4,5/6 - c'est foutraque mais le bordel est assumé et ça me parle davantage.

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
3/6 - j'en garde pas grand souvenir si ce n'est celui d'un changement de registre pas inintéressant mais sans grande originalité.

Les Poupées russes (2005)
5/6 - comme le premier mais en plus maîtrisé, en plus recentré et sur un sujet qui me parle encore plus. Une vraie intelligence dans l'écriture et de bonnes idées de mise en scène.

Paris (2008)
3/6 - film choral qui tombe trop dans la démonstration en essayant de jouer l'échantillonnage (par les persos, par les lieux, par les séquences, etc), ce qui jure avec la justesse du reste (tout ce qui tient à Duris et Binoche principalement, quelques trucs de Luchini aussi, etc). J'ai toujours pas compris le trip avec les nymphos qui se tapent des manutentionnaires de Rungis.

Ma part du gâteau (2011)
2,5/6 - lorsqu'il se concentre sur l'intime, sur le rapport entre les deux protagonistes, il touche à nouveau à une certaine justesse, avec une vraie habileté dans l’écriture, mais dès qu’il renoue avec sa volonté de propos social, c’est avec de gros sabots. Cf. l’intro caricaturale et le dénouement honteux écrit par un ado.


Moyenne : 3.3/6

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 12:45 
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Je l'aime bien, Klapisch.

Riens du tout (1992)
Le Péril jeune (1994)
Peut-être (1999)
Pas vus.

Chacun cherche son chat (1996)
5/6 - Découvert récemment et adoré. Dans ce film solaire et attachant, l’intrigue volontairement minime laisse place à une galerie de personnages savoureux. Klapisch, dont on reconnaît déjà la patte, s’amuse avec des jeux de montage et de son, et signe une chronique romantico-sociale qui prend le pouls d’un quartier (de Paris), le temps de quelques jours d’été. Un vrai petit bonheur.

Un air de famille (1996)
5/6 - Du Bacri-Jaoui pur jus, assez jouissif de bout en bout... Après, ça peut se voir au théâtre. C'est même préférable, je crois.

L'Auberge espagnole (2002)
5/6 - Hyper attachant et plein de justesse. Vu plusieurs fois..

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
4/6 - Peu de souvenirs, mais ça m'avait agréablement surpris. Elbaz était excellent, je crois.

Les Poupées russes (2005)
4/6 - Une suite très réjouissante mais un peu plus foutraque, je trouve, moins "aboutie". Mais ya Kelly quoi... Pfouhlala.

Paris (2008)
4/6 - Forcément inégal mais c'est le plus émouvant, je pense. Le duo Duris-Binoche était très beau.

Ma part du gâteau (2011)
3/6 - Le moins réussi de ceux que j'ai vus... Comme dit dans le topic, ça fonctionne très bien jusqu'à la résolution, que j'ai vraiment rejetée, et qui laisse un goût amer (dans le mauvais sens du terme).

Moyenne: 4.2/6

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 13:18 
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Riens du tout (1992)
Sympathique, pour autant je n'ai pas envie de le revoir. 2/6

Le Péril jeune (1994)
J'adore. 5/6

Chacun cherche son chat (1996)
J'aime les personnages et l'ambiance, le quartier et les bidouilles de montage/mise en scène. 3,5/6

Un air de famille (1996)
Moi j'accroche totalement, et j'adore sa mise en scène. 6/6

Peut-être (1999)
C'est quand même bien foiré, même si le film me fait souvent marrer. Le film où j'ai compris que Duris, en fait, bah il était bon acteur. 3/6

L'Auberge espagnole (2002)
C'est ouf comme le film est simple... comme l'expérience de Xavier est générique et complètement bateau. Mais du coup, ça offre un dénominateur commun plus large. 4,5/6

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
Je le reverrais bien aujourd'hui. De bonnes répliques, mais la partie braquage est foirée. 3/6

Les Poupées russes (2005)
Y a des scènes extras, et d'autres qui me pèsent, mais dans l'ensemble c'est super chouette. 4,5/6

Paris (2008)
Booooooof. Là aussi, comme d'hab', du bon et du moins bon. Des clichés transformés, d'autres plombants... 3/6

Ma part du gâteau (2011)
J'ai supra peur.


1. Un Air de famille
2. Le Péril jeune
3. L'Auberge espagnole - Les Poupées russes

A noter que j'adore les BO de tous ses films, que j'écoute en boucle.

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 17:07 
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Z a écrit:
L'Auberge espagnole (2002)
C'est ouf comme le film est simple... comme l'expérience de Xavier est générique et complètement bateau.]

Grave. J'avais le souvenir jaloux d'un mec à qui il arrive trop de trucs sympas à l'étranger. Mais en fait non. Pour moi c'est clairement le charme au départ (pas tomber dans le piège d'embellir le séjour Erasmus) mais aussi sa faiblesse puisque non seulement la fin tombe plus ou moins dans le panneau (même le second degré au moment où il demande à une table s'ils sont d'Erasmus ne fonctionne pas) mais surtout le film dans son ensemble ne raconte en fait rien de bien passionnant. C'est vraiment "gentil", quoi.


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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 17:28 
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Disons que le film donne envie d'avoir sa propre expérience, c'est déjà bien. De même que Le Péril jeune donne envie de retourner au lycée pour retrouver ses potes et l'univers de la glandouille. Alors que dans les deux films, c'est un bête apprentissage de la vie, mignonnet et un peu naïf. Je suppose que si Xavier avait vécu des aventures incroyables, on s'identifierait moins. C'est le côté banal du personnage qui accroche curieusement, contrairement aux figures classiques du héros ou de l'anti-héros, Klapisch surfe sur une troisième voie un peu casse-gueule. Ce qui peut expliquer pourquoi Duris a eu tant de mal à piger le personnage.

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 17:58 
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L'Auberge Espagnole dépeint le monde Erasmus avec beaucoup de justesse (j'avais revu le film après le mien).

En fait, qui a eu des échanges Erasmus, par ici?

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 24 Mar 2011, 23:53 
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Riens du tout (1992)
Aucun souvenir, en fait...

Le Péril jeune (1994)
J'étais fan ado, je me suis promis de jamais le revoir

Chacun cherche son chat (1996)
J'aime beaucoup le coup du "ils sont cools, tes seins", le reste c'est anecdotique à en mourir

Un air de famille (1996)
Très bon souvenir, après c'est vraiment du théâtre filmé.

Peut-être (1999)
J'avais trouvé ça profondément ridicule.

L'Auberge espagnole (2002)
Le diptyque m'insupporte...

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
Souvenir d'un machin d'une immense banalité.

Les Poupées russes (2005)
...mais cette suite est encore pire.

Paris (2008)
Ma part du gâteau (2011)
J'ai arrêté les frais.

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 11:46 
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Riens du tout (1992)
4/6 Bon souvenir, mais c'est vieux.

Le Péril jeune (1994)
5/6 Un film générationnel que je ne cherche pas à revoir. Excellent souvenir.

Chacun cherche son chat (1996)
4/6 Je voulais vivre à Bastille, rencontrer des jolies brunettes qui aiment les chats après avoir vu le film. Merci Klapisch...


Un air de famille (1996)
3/6 Du théâtre filmé qui m'avait un peu gonflé. Le pur film Télérama.


Peut-être (1999)
2/6 La chute


L'Auberge espagnole (2002)
4/6 J'aime bcp le débat, mais après ça fonctionne moins.

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
3/6 - bof, bof

Les Poupées russes (2005)
4/6 - Sympa

Paris (2008)
2/6 - Bof bof

Ma part du gâteau (2011)
3/6 - Le film s'améliore au film du métrage, mais bon...


Moyenne : 3,4/6. J'ai l'impression que ça marchait surtout quand j'avais vingt ans en fait.


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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 11:59 
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Riens du tout (1992)
Amusant et bien joué .
3/6

Le Péril jeune (1994)
Un tout petit (télé)film mais assez juste, très bien joué, drôle du début à la fin (enfin, juste avant).
4/6

Chacun cherche son chat (1996)
Un peu déçu à l'époque. C'est mignon, mais ça ne va pas tellement au delà du court-métrage que le film devait être au départ.
3/6


Un air de famille (1996)
J'adore, je ne m'en lasse pas. Chaque personnage, chaque réplique, chaque rebondissement claque bien. Quant à la mise en scène, elle est en parfaite adéquation avec le sujet. Je n'ai jamais compris de toute façon le reproche de théâtre filmé qu'on faisait à certains films.
5.5/6

Peut-être (1999)
Drôle pour toute la partie au présent ("j'avais dit molo sur le destroy !"), beaucoup moins intéressant dès que ça passe au futur.
2/6

L'Auberge espagnole (2002)
Beaucoup aimé, c'est frais, inventif, drôle...
4.5/6

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
Chiant. Bien joué, pas mal filmé, mais chiant.
2/6

Les Poupées russes (2005)
Mon préféré, je trouve ça incroyablement juste, drôle, frais, émouvant, sexy, etc. J'avais un vrai culte pour ce film à l'époque de sa sortie.
6/6

Paris (2008)
Looooooooourd.
2/6

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:09 
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Cosmo a écrit:
Un air de famille (1996)
Je n'ai jamais compris de toute façon le reproche de théâtre filmé

Dans ce cas-ci je pense vraiment que le reproche est injuste. Le mise en scène est ultra secondaire, mais reste propre. Toutefois, c'est clair qu'on prendrait autant de plaisir à voir la pièce sur scène (si pas plus).
Comme toi je la trouve jubilatoire, et les acteurs sont parfaits. Une pensée pour Yordanoff, le mec trop rare au ciné...

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:14 
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C'est simple. Quand la mise en scène se contente d'illustrer un texte en huis clos, avec une unité de lieu, et donc ne fait que reproduire l'expérience théâtrale, sans ses qualités propres - performance des acteurs, proximité... c'est pour moi du théâtre filmé, tout le contraire - par exemple - de Dogville.


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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:22 
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Arnotte a écrit:
Cosmo a écrit:
Un air de famille (1996)
Je n'ai jamais compris de toute façon le reproche de théâtre filmé

Dans ce cas-ci je pense vraiment que le reproche est injuste. Le mise en scène est ultra secondaire, mais reste propre. Toutefois, c'est clair qu'on prendrait autant de plaisir à voir la pièce sur scène (si pas plus).
Comme toi je la trouve jubilatoire, et les acteurs sont parfaits. Une pensée pour Yordanoff, le mec trop rare au ciné...


Moi je la trouve chouette, très classe et particulièrement élégante sa mise en scène. Il convoque ouvertement Kurosawa avec ses 8 personnages de face dans un même plan sans en abuser, il joue sur les miroirs, il ellipse la scène du repas, aucun plan n'est grossier ou au grand angle, on le sent lutter contre un cinéma vérité caméra-épaule, il milite ouvertement pour le film en studio... et tous ces éléments donnent un cachet à l'image assez unique. C'est un huit-clos qui respecte l'énergie du texte et qui met en valeur les comédiens. Mais en coupant le son, on peut comprendre l'essentiel de l'intrigue, et les connections entre les personnages. Il me fait penser à un film assez similaire dans l'environnement, le très beau Le Mari de la coiffeuse de Leconte. Les deux sont baignés par un soleil de fin d'après-midi qui convoque le Sud de la France, des senteurs et des impressions propres aux laborieuses journées en famille. Il évite le jugement sur les personnages, n'en condamne aucun avec sa caméra, arrive à me faire décrocher des sourires uniquement par le biais d'un cadrage adéquat. Non moi je suis très admiratif de cette mise en scène, bien plus que de celle d'un Radford sur Le Facteur par exemple, impersonnelle (alors que l'écriture et l'interprétation de Massimo Troisi et Noiret sont géniales).

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:30 
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D'ailleurs pour ceux que ça intéresse, je mets l'adresse d'un long entretien avec Klapisch réalisé à l'époque de la sortie de Ni pour ni contre. Je suis assez fier de l'avoir interviewé de sorte que l'entretien reste encore aujourd'hui ce qu'il y a de plus complet online sur le personnage :

http://archive.filmdeculte.com/entretien/klapisch2-1.php

Le mec est intéressant et assez atypique.

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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:37 
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Le Péril jeune (1994)

J'ai un rapport vraiment intime avec le film, pour plein de raisons et il supporte chaque revoyure que je m'offre. Il y a énormément d'amour pour les personnages et une légèreté qui n'esquive pas des choses plus graves. Les films de lycée sont rares et celui ci, outre le témoignage d'une époque, retranscrit quelque chose de très identifiant pour ces années.

Chacun cherche son chat (1996)

J'adorais à l'époque de la sortie, parce que c'était un peu mon quartier de l'époque, parce que le ton enlevé et léger fonctionnait à fond. La revoyure a fait franchement mal. Et j'ai croisé y'a 1 mois Garance Clavel, bien content de voir qu'elle n'avait pas disparu définitivement comme nous l'avait dit son agent y'a quelques années.

Un air de famille (1996)

J'ai du le voir deux fois à l'époque du film et j'avais énormément aimé. Il m'en reste que des bonnes choses.

L'Auberge espagnole (2002)

Là encore, une identification de jeunesse à fond. Même âge que le personnage, mêmes problématiques, mêmes voyages estudiantins... Klapisch saisit pas mal de choses, dans quelque chose d'assez bordélique, mais je l'ai revu récemment et j'aime toujours autant le film. L'histoire avec Godrèche, les potes de l'appart, tout ça me touche beaucoup.

Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)

De la sympathie pour le film.

Les Poupées russes (2005)

Comme Cosmo, à l'époque, ça m'avait laissé totalement sur le cul. J'ai du le voir une dizaine de fois et à chaque fois je suis à fond. Il y a des choses super lourdes à certains moments, mais l'histoire d'amour centrale est traitée avec tellement d'amour pour les persos et pour leur histoire, que ça me fait totalement fondre.

Paris (2008)

Ouais là, le gros rejet par contre, les lourdeurs dirigent le film, que ce soit dans la construction ou les personnages.

Ma part du gâteau (2011)

Pas du tout envie de le voir.


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 Sujet du message: Re: Cédric Klapisch
MessagePosté: 25 Mar 2011, 12:41 
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Inscription: 04 Juil 2005, 21:36
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Je trouve toujours que c'est un abus de faiblesse dans l'adaptation de ne pas sortir des contraintes théâtrales, de rester dans le huis clos, l'unité de lieu, de temps. Le cinéma offre tellement de portes pour ne pas rester sur une scène, même avec tous les artifices que tu expliques.


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Cosmo

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