Forum de FilmDeCulte

Un peu pareil dans Venus noire, même si c'est volontaire.

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I think we're gonna need a helmet.

Je ne l'ai pas vu. Mais pour prendre un plan tout bête, celui où Bacri sort de son sous-sol et qu'il voit les tronches de sa famille réunies qui le regardent, ce n'est pas possible au théâtre, c'est un gag qui ne fonctionne que par la mise en scène de Klapisch. Et ce genre de plan pullule dans le film.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Chez Jeunet, le plan aurait vite donné un truc grossier à la courte focale avec déformation du visage.

Bon bah je préfère le "théâtre filmé".

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I think we're gonna need a helmet.

Le pur théâtre filmé existait aux origines du cinéma où les films étaient réalisés en plus fixes sans montage. La mise en scène, induisant un rregard unique le plus neutre possible donnait à voir un spectacle vivant imprimé sur pellicule. Mais dès qu'il y a des choix de cadrages et de montage ce n'est définitivement plus du théâtre mais du cinéma.

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CroqAnimement votre

Au-delà de la mise en scène, c'est aussi du côté du scénario et de la narration qu'un air de famille fait "théâtre filmé".

Dixit: Un mec qui ne va jamais au théâtre.

Je crois vraiment que tu fais un amalgame bêta sur les scènes d'exhibition, alors qu'elles sont pleinement pensées et mises en scène. Mais bon on en a déjà parlé.

Sinon Chereau c'est du théâtre filmé... Ca ressemble à des spectacles de Patrice Chéreau.

Ah si, quatre fois cette année, et j'irai de plus en plus. Ça me plait.



Encore une fois, ce n'est pas péjoratif dans ma bouche, car il n'y a aucun film que je taxerais spontanément de "théâtre filmé". Cette expression ne me parle pas. Tant qu'on peut détailler ce qui cloche dans une mise en scène, à quoi bon regrouper la singularité de ses défauts sous une même appellation vague. Dans le Kechiche, toutefois, c'est le propos, c'est recherché, c'est justifié. Donc j'applique l'expression de façon littérale.



J'adore la mise en scène de Chéreau, son découpage, sa caméra épaule... Si La Reine Margot (6/6), c'est du théâtre filmé, ben putain...

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I think we're gonna need a helmet.

Tu es allé voir quoi au théâtre?

Qui se jouent encore : Diplomatie à la Madeleine avec Arestrup et Dussolier, et Hitch au Lucernaire de Boulan et Riou.

Pourquoi, tu veux voir mes billets ?

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I think we're gonna need a helmet.

Pour voir tes goûts et en discuter.

Bien joué.

J'ignore ce que je verrai prochainement, mais en juillet je vais déguster sans faute le Richard III de Spacey et Mendes.

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I think we're gonna need a helmet.

Ca passe où? Marigny?

Londres.

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I think we're gonna need a helmet.

Le Péril jeune
4/6

L'Auberge espagnole
4,5/6

Les Poupées russes
5,5/6

Paris
3/6

Ma part du gâteau
2,5/6

Riens du tout (1992)
J'en garde un très bon souvenir, peut-être parce que j'ai connu le Bon Marché de cette époque ; je me demande ce que j'en penserais aujourd'hui.


Le Péril jeune (1994)
Pas vu.


Chacun cherche son chat (1996)
Gros faible pour ce film, intimement lié à ma rencontre avec mon mari.


Un air de famille (1996)
D'excellents moments de théâtre, mais la limite du système Bacri - Jaoui.


Peut-être (1999)
Pas vu.


L'Auberge espagnole (2002)
J'avais beaucoup aimé, sans doute en raison de Barcelone où j'avais passé d'excellents moments à la même époque.


Ni pour ni contre (bien au contraire) (2002)
Pas vu.


Les Poupées russes (2005)
Découvert hier et je ne comprends pas la cote de ce film, même si certains passages sont amusants - je ne pardonnerai jamais à Klapisch d'avoir raté la superbe scène (sur le papier) sur Mysteries de Beth Gibbons.


Paris (2008)
Pas vu.


Ma part du gâteau (2011)
Pas vu.

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There is no such thing in life as normal