Forum de FilmDeCulte

Un statisticien, exploite la base de données intégrant les circonstances de la mort des clients de sa compagnie d'assurance. Il oriente alors la vie de ses proches dont il souhaite se débarrasser pour en augmenter les risques d'accidents mortels.

Un point de départ qui a titillé ma curiosité mais qui s'avère extrêmement décevant. Là où on pourrait s'attendre à une succession de préparatifs à la Destination Finale, on se retrouve face à 3 "accidents" dont 2 hors-champs (et 1 bien naze). On perd donc tout le côté ludique du sujet d'autant que le film aligne des tunnels de dialogues sans intérêt et mal joués pour combler les vides (mais je soupçonne un post doublage vue que c'est une prod franco-italienne) avec des gags dignes de l’époque on va dire...
Ca dure 1h28 mais ça en parait le double tant c'est bourré des histoires du personnages principal avec les femmes (qui ont toutes un bien triste rôle dans le film, c'est le festival de la misogynie. Elles ne peuvent être que nymphomanes ou femmes ou foyer) qui est détestable au plus haut point.
Ca mériterait une nouvelle adaptation (c'est tiré d'un bouquin) actualisé avec les outils informatiques du moment.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Le nom du réal était un indice.

Ma curiosité me perdra. Je lui ai laissé le bénéfice du doute (après tout, j'ai vu que Taxi de lui) ; mal m'en a pris.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Scénarisé par Manchette, j'en garde un bon souvenir dans le genre pochade. L'Agression est plutôt meilleur que les polars italiens que j'ai vus de la même époque. De Pirès, il faut surtout voir L'Entourloupe, avec Marielle et son côté Strip-Tease avant la lettre.
Je serais curieux de revoir celui-là. La critique de la misogynie putative dans un film est bien entendu valable, mais rendue encore plus délicate quand il s'agit d'une comédie satirique (j'imagine que le film est bien de son époque de ce point de vue).

Elle court elle court, la banlieue, c’était pas mal du tout. Ses anciens films ont plutôt bonne presse, non ?

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Le titre aussi, non ?